La densité du mental
Dans cette approche, j'ai mis en évidence (au moins) deux adaptations vibratoires du mental, deux façons personnelles de positionner son esprit ou son corps face aux contraintes internes (les pensées, les émotions, les douleurs, etc.) et externes (situations, environnement, les autres) imposées par son interaction sociale.
Les précisions suivantes sont des suggestions en regard d'un tact énergétique.
Le mental est beaucoup plus facilement palpable quand il se retranche derrière ses automatismes de défense : il crée systématiquement un écart avec les émotions qui déterminent ces automatismes. Le mental et les émotions prennent alors chacun une consistance qui les distingue plus ou moins naturellement l'un de l'autre. C'est un état d'être où les pensées et les émotions quittent les habitudes et ne sont plus homogènes : le phénomène devient vraiment perceptible pour l'individu quand celui-ci prend conscience de son retrait face à ses émotions c'est-à-dire au moment où il a le sentiment que ses émotions ne l'atteignent plus (1). C'est exactement ce qu'il se passe : le mental migre dans une zone à l'écart de toute sensation physique. Je pense que la production de GABA qui en est à l'origine semble indiquer un mécanisme défensif du corps visant, dans sa recherche d'homéostasie, à expulser le mental dans une zone de retranchement (le corps mental apparemment), là où il n'est plus capable temporairement de l'influencer physiquement (2). J'ai observé ce décalage chez beaucoup d'individus et cela conforte certaines impressions montrant qu'en se situant en conscience dans le plan mental, on n'est plus en phase avec son corps ; j'aurai crû que le corps serait protégé par cette opération, comme chez l'enfant autiste que j'ai reçu, alors qu'il se produit tout l'inverse quand le mental est «devant» (ces personnes ayant effectivement l'habitude d'en demander trop à leur corps). Il semble donc que les déplacements de conscience ne pose aucun problème physique lorsqu'ils sont temporaires, mais tout un tas de problème lorsqu'on le vit sous la contrainte (traumatisme, chimie moléculaire, accident, peur, etc.). Il est donc très important de considérer que l'état psychique d'un individu qui se place in-situ au delà du corps éthérique et plus loin que son corps astral signifie qu'il doit nécessairement résoudre à la fois ses difficultés physico-matérielles (environnementales) et physico-psychiques (historiques, situationnelles) pour prétendre évoluer dans ce plan matériel ou pour tout simplement ressentir du bien-être.
À ce moment là, à travers l'apposition des mains, j'ai constaté qu'on ne rencontre plus aucune résistance (mentale) pour atteindre les émotions contenues dans le corps éthérique : le phénomène tend même à rendre les émotions impersonnelles, mais suffisamment palpables pour permettre d'en délivrer le corps. Pour que son effet soit bénéfique dans le temps, il est alors nécessaire de se saisir du mental et de le ramener doucement vers le corps pour s'assurer que la personne prend conscience des changements vibratoire dont le corps éthérique (surtout lui) fait l'objet (3). C'est cet approfondissement qui suggère que les émotions éparpillées dans le corps éthérique sont bien de nature physique même si elles sont préalablement marquées par la nature subtile du mental. Je suppose qu'il s'agit d'une différence de densité qui souligne des différences de nature vibratoire entre les émotions plus denses que les pensées. Il est ainsi remarquable d'observer qu'un individu peut très bien placer physiquement son mental « devant une émotion » ou subtilement « derrière une émotion », en fonction de la meilleure résistance qu'offre l'un ou l'autre aux atteintes extérieures. Il en résulte un certain nombre de comportements, de motivations, et de rapports humains que l'on ne saurait appréhender sans situer clairement l'origine des réactions propres à chaque individu.
À ce moment là, à travers l'apposition des mains, j'ai constaté qu'on ne rencontre plus aucune résistance (mentale) pour atteindre les émotions contenues dans le corps éthérique : le phénomène tend même à rendre les émotions impersonnelles, mais suffisamment palpables pour permettre d'en délivrer le corps. Pour que son effet soit bénéfique dans le temps, il est alors nécessaire de se saisir du mental et de le ramener doucement vers le corps pour s'assurer que la personne prend conscience des changements vibratoire dont le corps éthérique (surtout lui) fait l'objet (3). C'est cet approfondissement qui suggère que les émotions éparpillées dans le corps éthérique sont bien de nature physique même si elles sont préalablement marquées par la nature subtile du mental. Je suppose qu'il s'agit d'une différence de densité qui souligne des différences de nature vibratoire entre les émotions plus denses que les pensées. Il est ainsi remarquable d'observer qu'un individu peut très bien placer physiquement son mental « devant une émotion » ou subtilement « derrière une émotion », en fonction de la meilleure résistance qu'offre l'un ou l'autre aux atteintes extérieures. Il en résulte un certain nombre de comportements, de motivations, et de rapports humains que l'on ne saurait appréhender sans situer clairement l'origine des réactions propres à chaque individu.
(1) C'est le même état d'être que l'on retrouve après avoir absorbé des psychotropes. Je pense que ces derniers affaiblissent durablement le mental au lieu de l'aider à faire face au trop plein d'émotions. Il en découle forcément une dépendance.
(2) Cela suggère encore une fois que le mental (l'esprit, l'âme, etc.) est potentiellement exogène au corps physique dans la mesure où ils se séparent l'un de l'autre après la mort. Il rend compte d'un environnement qui lui est étranger (le corps), tout comme sont étrangères les autres consciences qui font leur propre expérience de leur environnement.
(3) Le flux énergétique en est considérablement ralenti, ce qui ne facilite pas le processus d'harmonisation.
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