Perception : Luhman 16 A et B

Mise à jour le 09 décembre 2015
Mise à jour le 29 mars 2016

L'apparence de grande taille des êtres (voir ci-contre) rappellera sans doute quelque chose à certains d'entre vous. Je pense qu'il s'agit seulement d'une apparence, une sorte de seconde « peau » : le visage est une surface toujours en mouvement permettant, lorsqu'on la regarde, d'observer des expressions qui l'on reconnait sans difficulté (sourire et expression neutre pour les plus récurrentes). Leur mode de communication est principalement télépathique. Leur langage est calme et monocorde, volontairement apaisant. J'ai eu affaire surtout à des êtres doux et bienveillant, ce qui ne signifie pas qu'au sein de leur espèce, ils le sont tous.

Maintenant, ce qui suit est écrit au conditionnel, car à travers certaines observations, il existerait un ensemble de planètes se situant à environ 6,759 année-lumière de la Terre, vers la constellation des Voiles et se localiseraient en particulier autour de  wise-1049-5319 (Luhman 16 A et B)Selon moi, ce système planétaire serait relié d'une façon ou d'une autre à un autre système planétaire gravitant autour de ζ Reticuli.

La particularité de cette expérience m'a montré qu'il était possible d'éprouver des sensations dans deux endroits différents en même temps, avec un certain degré de conscience perceptible dans 2 « corps » distincts (le premier étant moins subtil que l'autre). Tout dernièrement, une autre expérience du même acabit (spontanée, et sans accompagnateurs) s'est présenté à moi, comme pour me confirmer cette possibilité.

Un autre particularité de cette expérience, est le ressenti continu de son caractère réel. Je pouvais aisément « décrocher » de cette perception, et constater l'instant d'après la même sensation d'être « tiré au loin ». Cela n'a généré aucune tension physique dont j'ai pu me plaindre, ni sur le moment, ni les jours suivants. Le voyage aurait ainsi duré près de 12 heures. Le vaisseau n'était pas de grande taille, circulaire, et il ne nécessitait que 3 « pilotes ». On ne m'a rien expliqué ; seulement demandé d'attendre. On ne m'a pas mis à l’écart, mais laissé dans la « pièce » principale de l'appareil. J'ignore s'il disposait d'autres « pièces ». Mon regard était délibérément tourné vers l'avant, et je n'éprouvais aucun désir d'observer l'endroit dans lequel je me trouvais. C'était d'être blasé par une vue que l'on connait, avec cette impression d'avoir déjà effectué ce genre de voyage. Je n'en garde cependant aucun souvenir.

Ce qu'on m'a permit de voir est très limité. Je me souviens du moment où nous sommes arrivés dans ce système planétaire. On m'a parlé de l'existence d'au moins 2 planètes beaucoup plus peuplées que les 3 autres ; celle que nous abordions posséderait une atmosphère dont la tonalité se situerait dans les verts (#4BE860). Ensuite, c'est le noir complet jusqu'à atterrissage. J'ai vu alors un groupe de 6 ou 8 individus arriver au moment de notre débarquement. Sur cette planète, ces êtres possédaient la capacité de se déplacer dans les airs. De nouveau, le noir complet. Je me souviens ensuite d'attendre dans une cellule disposant d'une fenêtre sans vitre ni barreaux. Je voyais de la lumière et la façade d'immeubles, dans les couleurs se rapprocheraient de ces villes de l'astral que j'ai vu graviter autour de certaines planètes de notre système solaire. Son infrastructure et ses habitations couleurs pastelles semblaient tout à fait de cette matérialité inconnue pour nous. L'attente m'a paru assez longue. J'ai été réveillé brièvement dans mon sommeil. Il devait être 2 ou 3 heures du matin. Je m'exprimais devant des gens apparemment importants. L'hémicycle présentait de nombreux gradins ; les plus hauts étaient plongés dans la pénombre. Il y avait de nombreuses personnes, mais je ne voyais pas distinctement leur visage. Ce que je peux dire, c'est que ce n'était pas des visages lisses, mais rugueux. Les êtres qui m'avaient amené jusqu'ici n'étaient pas les mêmes que ceux que je rencontrais - bien qu'il y en avait aussi dans l'hémicycle ; il étaient ensemble, bien que de races distinctes. Je sais - mais je ne me souviens pas à quel moment on me l'a dit - que leurs décisions se faisait lors d'un grand Conseil siégeant dans cet hémicycle ; cette colonie paraissait même très fière de leur indépendance vis-à-vis des autres colonies.

J'avais le sentiment que l'on me posait d'innombrables questions auxquelles on attendait des réponses. On m'avait prévenu que c'est ce dont on attendrait de moi. Je ne dispose pas de beaucoup de souvenirs à ce sujet. Les discutions portaient sur un sujet de sociologie, sur l'existence, quelque chose de cette nature probablement. On semblait me présenter comme le sujet d'une expérience « réussie » que les visiteurs s'évertuait à faire authentifier dans cet hémicycle - les visiteurs n'ont pas été bavards à ce sujet. Malgré ces « preuves », quelque chose n'allait pas. Pour finir, leur Conseil a décidé que les visiteurs devaient me ramener. ceux-là étaient manifestement contrariés. J'ai appris lors du voyage de retour - même durée ! - que les visiteurs devraient partir étudier d'autres planètes, sans possibilité de retour. Aucune autre explication ne m'a été donné.

Quelques étoiles "proches" ou d'un certain intérêt
Pour ma part, si je devais résumer ce voyage, mon premier sentiment serait celui de prétendre que je n'ai rien vu de spécial, et de garder des conversations que des traces éparses sans réel contenu ; un minimum de chose m'a été montré, le but n'était vraisemblablement pas de cet ordre !

J'ai des raisons de penser que leurs « expériences » auraient commencée à partir du 6 janvier 2015 et qu'elles se seraient terminées le 4 mars 2015.

En dépit de leur apparente « gentillesse », j'ai le sentiment que certaines choses ont été faites sur mon corps - plus qu'à mon esprit : marquage, opérations, prélèvements. Je n'ai aucune certitudes, rien que de brefs moments où je perçois plusieurs opérations médicales différentes, ressemblant plus à de la vivisection, ne présentant aucune douleur physique, ni me de gêne émotionnelle. Je vois qu'ils sont au moins quatre, penchés sur la zone opérée ou occupés à manœuvrer un bidule, je vois différents appareils volumineux portés (ce qui dans d'autres circonstances aurait été risible) utilisés avec le plus grand soin, j'entends même leur voix. Ce qu'ils font, je l'ignore. Quelque chose à été fait auparavant, nécessitant que ce soit retiré. Quoi ? Je l'ignore bien entendu. Dans ces conditions, tout à été soigneusement « enlevé », mais un questionnement récurrent persiste. « Pourquoi ? » Narcissique sans doute. Je ne dispose malheureusement pas d'autres informations sur le sujet, pas plus que de souvenirs sur ce qu'il s'est réellement passé. Je laisse donc cette info en guise de témoignage, car il est probable que d'autres personnes m'accompagnaient. Surement que d'en parler ne rime à rien. Pourtant, aujourd'hui on me laisse faire (1) et j'en ignore la raison, sinon que c'était peut être le bon moment d'en parler, parce qu'on ne parle pas suffisamment de ces choses-là en France, maintenant, pour tenter de passer à autre chose.

Edit du 29/03/2016
Après (beaucoup de) réflexion, le texte du 15 juin 2013 pourrait présenter certaines similitudes avec cette expérience. Dans les deux cas, la notion de distance tout d'abord, l'hémicycle, ensuite, la perception du réel, y sont présents de façon récurrente. Ce sont, selon moi, des indices importants ! Je ne dispose malheureusement que d'une vue d'ensemble s'accordant seulement à quelques détails, à la manière de bulles de souvenir remontant de temps en temps à la surface. Dans mes rêves aussi, je constate ce genre de récurrences ; elles me permettant justement de comprendre que le scénario n'est pas forcément celui qu'il est supposé montrer. L'hypothèse d'une mémoire implanté pour dissimuler une autre réalité semble s'en rapprocher le plus, mais elle n'est pas la plus pertinente. C'est un avis à prendre cependant avec beaucoup de précautions.

Le phénomène d'abduction pourrait se définir comme le fait d'arracher la conscience de son environnement (réalité dimensionnelle) pour l'amener dans une autre dimension, par des entités désireuses de l'étudier (dans le meilleur des cas, puisqu'elles nous libèrent ensuite). Ce principe exclus, sans le rejeter, l'abduction directe par des entités physiques. Ce passage s'effectuerait à l'aide d'un transfert de masse de la conscience dans le corps énergétique (nous faisant croire ensuite qu'il s'agit de notre corps physique). Il s'agirait pour nous d'un état assez commun au rêve, dans un phase dans laquelle nous ne sommes pas forcément, ni toujours conscient. Toutefois, je crois que cet état de conscience alternatif apprend de ses aptitudes à se déplacer hors du corps (même inconsciemment) et comprend plus ou moins rapidement la nature de ces déplacements. Le passage dans une autre dimension ne permettrait pas sans un minimum de conscience de sauvegarder la nature de ces déplacements. Il n'en resterait alors qu'un bref souvenir, voire une sensation. Il semblerait que ce soit un perte d'information se produisant durant le retour de la conscience dans son état « normal », c'est-à-dire dans le transfert de masse de la conscience d'un état énergétique à un état physique. La multiplication de ces expériences, permettrait justement à la conscience de récupérer progressivement des bribes d'information dans un milieu qui s'apparenterait à ce moment précis à une autre réalité. J'ai découvert en l'occurrence ce genre de sensation lors de sortie hors du corps volontaires ou spontanés.

Cela ne résout en rien ce qu'il se passe vraiment - et dans mon cas, cela ne permet pas de dire ce qu'il s'est réellement passé. 

------- NOTE DE FIN DE PAGE ---------
(1) Arrêt brutal du pc, coupure de courant inopiné, déconnexion du modem, mauvaise manipulation se finalisant par une perte irrémédiable de données, tous ces phénomènes sont devenus assez courants, en particulier lorsque des informations « sensibles » sont communiquées à d'autres personnes. 

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