Notre aura dit tout !
photo kirlian |
texte modifié le 01 novembre 2017
Au risque vous surprendre, oui, votre aura, comme la mienne, dit « tout ». Notre aura communique dynamiquement avec notre environnement ; il y a forcément un intérêt à ça ; notre gentillesse, notre bonté, notre savoir-faire, notre maîtrise et pour certains, leur convoitise, leur perversité, leur narcissisme, voire, leur machiavélisme sont donc des indicateurs importants pour qui fait le choix de ses relations. Elle est notre carte d’identité énergétique : elle exhibe ce que nous pensons et ce que nous cachons ; parfois sous la forme d'images, de son, de saveur, de tact... Elle transporte intégralement notre histoire individuelle avec un certain exhibitionnisme. Toutefois, si on est capable de tout connaître à propos d'un individu, « tout » n’est pas accessible au premier coup d’œil. Il existe différents niveaux de profondeur, des couches qui, sans se superposer, indique parfois leur ancienneté ou la volonté d'être caché. Dans mon expérience, ce qui apparait en premier dépend est variable ; il peut s'agir :
- d'un trait de caractère (celui qu'on veut donner, celui qu'on ne veut pas) ;
- d'un savoir-faire (sa maîtrise ou non) ;
- d'une intention (bonne ou mauvaise ;
- d'une souffrance (récente ou ancienne) ;
- d'un secret (culpabilité, cadavre dans le placard) ;
- d'une attitude face à la vie (bien-être, mal-être);
- d'une émotion (immédiate ou passée) ;
- de ce qui nous habite à ce moment-là ;
- de ses interactions avec son environnement (puiser ou rejeter) ;
- de ses cohabitations avec l'invisible ;
Ce que je sais d'une personne dépend de la situation au cours de laquelle je rencontre cet individu, de son attitude avec moi, de ce qu'il fait pour attirer mon attention ou ce qu'il ne veut pas que j'observe, de l'énergie qui circule si je ne suis PAS en contact direct avec lui. Certaines émotions (de joie, de bonheur) vont avoir l'effet de m'atteindre aussi surement que la colère ou l'angoisse. Ces ressentis sont pour moi d'égale intensité : ce qui va les distinguer, c'est plutôt la nature de leur contenu, grâce auquel je sais qu'il s'agit de l'un ou de l'autre. Il n'est pas nécessaire que je sois concerné en propre par un sentiment ; lorsqu'il s'agit d'une autre personne, je vois distinctement une liaison qui le relie à cette autre (ou les autres) personnes. lorsque cela me concerne, ce lien est visible à la hauteur de l'estomac (et plus globalement vers la poitrine). L'énergie sexuelle sera en liaison avec le sexe, par exemple.
Nous sommes tous capables de décoder ces signaux au contact des autres, mais y prêtons-nous suffisamment d’attention lorsqu’ils se produisent ? Tout le monde semble capable de capter et de nuancer ces informations "subtiles" avec beaucoup de justesse. Généralement, les gens n'osent pas avouer qu'ils sont capables de telle prouesse. Ils n'imaginent pas en être capable avant de l'observer eux-même, et de se rendre compte qu'ils emploient cette faculté tout le temps, sans même y penser ! Pour ma part, je ne connais personne qui ne pense pas. L’aura ne fait que me prévenir que telle personne à de fortes chances d’être ce que je ressens à son sujet : il ne s'agit pas à proprement parlé d'un 6e sens, si l'on sait de quelle nature sont réellement nos 5 sens ! Bien sûr, il existe plusieurs façons de décoder nos perceptions physiques (la vue, le gout, le toucher, l'odorat, l'écoute), mais ce n'est pas parce qu'il existe des capteurs neurologiques spécifiques à telle ou telle perception que cet assemblage neurologique n'est pas capable d'étendre son spectre de perception. Nos sens ne sont pas cloisonnés à une seule fonction perceptive ! Simplement, ils scannent par défaut un type d'ondes vibratoires dans un spectre donnée. À chacun ensuite de l'étendre pour améliorer sa perception de son environnement. Si l'onde vibratoire (une onde électromagnétique) est la base du raisonnement de nous devons savoir de nos perceptions, le 6e sens n'existe que pour capter ce que nos sens usuels ne perçoivent pas (ce que mon expérience tend à démontrer le contraire). Ainsi, l'ensemble de nos perceptions s'étendent dans un spectre partant du visible à l'invisible, leurs conférant même sérieux avantage à transgresser l'espace et le temps.
Toutefois, il arrive aussi que l'on soit leurré par une mauvaise information : cela dépend de son intensité grâce à laquelle s'exprime son intention. Ce leurre peut-être une contre-mesure non consciente, c'est-à-dire qu'elle exprimer sous forme de programmes dont l'origine peut être difficile de situer. Sans entrer dans le détail, disons que la source du problème peut être physique ou non physique. Cette influence est vraisemblablement la plus élevée en comparaison.
Pour terminer, il est inutile de chercher à cacher certains traits de son caractère ; cherchons au contraire, le moyen d’élaguer ce qui nous bouche la vue, pour toucher enfin quelque chose de plus vrai, en soi. Ce sera alors cela qui s'affichera dans notre autre. Les gens ne sont pas aveugles... pour le moment du moins, ils ne font pas naturellement l’effort de voir qui sont les autres. De plus, nous avons besoin de cette expérience pour élucider ce qu'est notre environnement. Chacun affine son savoir-faire à partir de ses propres observations et se forge ensuite une opinion. Il devient peu à peu une personne lucide jusqu'au moment où le doute disparaît complètement.
Commentaires
Enregistrer un commentaire