Comment faire face au haut et au bas

Nous avons certainement tous connus des périodes plus ou moins brèves de mal-être. D'habitude, nous attendons patiemment son passage comme une averse de printemps ; vous vous êtes surement demandés pourquoi cela vous atteignait. Je constate que depuis le début de l’année, nous avons tous été gâtés par le nombre de bouleversements physiques passagers (1), de remises en question et de mals-êtres plus ou moins explicables ; autant de signes qui ont indiqué qu’un travail restait à effectuer pour se débarrasser de ses vieux comportements ; si un certain nombre de ces perturbations nous ont atteintes par notre interaction avec les autres et par notre façon de penser, d’autres perturbations seraient manifestement imputables à notre environnement subtil (2). Autant vous avertir tout de suite, la manière d’aborder ce sujet se fait seulement par la déduction, et vous allez voir qu’en matière de mal-être, cela se réduit finalement à peu de chose...


Depuis peu, je suis parvenu à isoler deux phénomènes qui expliqueraient deux formes de mals-êtres (que l’on réduit arbitrairement à un seul) qui sont chacun la conséquence de notre interdépendance avec ce qui est extérieur à soi :




  • Le premier phénomène, palpable par les techniques actuelles, assurément commun au sens psychologique du terme, se produirait lorsqu’on est atteint émotionnellement par une situation ou par quelqu’un ; nous y réagissons habituellement en actionnant une soupape intérieure qui limite la pression ; nous constatons tous les jours que tant que cette soupape fonctionne, notre équilibre intérieur reste satisfaisant ; à l’inverse, quand ça déraille, on tombe malade. D’un point de vue énergétique, la pression ressentie comme extérieure à soi (une situation, le comportement des autres ou notre regard sur les autres) s’exerce uniformément sur notre aura et par conséquent sur l’ensemble de nos centres énergétiques (chakra) en saturant rapidement le(s) plus faible(s) d’entre eux (c’est relatif à l’histoire de chacun). En gros, c’est par là que ça entre... Le recours au calme est salutaire dans la majorité des cas, même si certaines situations nécessitent en plus une intervention consciente pour leurs trouver une solution (là, c’est relatif à la capacité de déduction de chacun). Bien sûr, plus ces centres sont régulièrement saturés, plus l’épuisement se ressent à chaque manifestation émotionnelle (3). Le mal-être ressenti en est l’expression et le résultat. Une connaissance intuitive de la circulation de ses énergies apporte évidemment un plus non négligeable, mais la méthode à ses limites, elle ne permet pas toujours d’échapper à l’obligation de réfléchir à la meilleure façon de s’adapter...

  • Le second phénomène, impalpable en l’absence d’études récentes et sérieuses sur le sujet, se produirait subitement ou progressivement alors que rien ne le présageait auparavant, même en forçant l’analyse. Je dois dire que nous devons cela à notre environnement lui-même, c’est-à-dire à l’espace visible et invisible de notre plan d’existence ou à quelque chose d’un des plans d’existences qui est invisible à nos yeux. Pour bien comprendre ce que j’entends par "environnement", il faut nous y voir comme des poissons dans l’eau, et bien sûr, nous sommes loin d’y être seuls. Comme vous le savez sans doute, l’image du spectre électromagnétique donne un aperçu des ondes auxquelles notre corps doit s’adapter quotidiennement (4) ; vous ajoutez à cela une influence cosmique (5), interplanétaire, solaire(6), électro-atmosphérique, une influence météorologique, une influence qualitative de l’atmosphère, celle du sous-sol local, l’activité urbaine et industrielle, sans oublier notre interaction avec les autres plans, les autres et leurs pensées, leurs intentions et leur mal-être, et vous aurez une vue générale de l’impact possible sur notre santé de tous les phénomènes environnementaux écartés par trop de rationalité.


Or, vous constaterez que le cumul de tous ces phénomènes n’altère pas tant que ça notre santé générale parce que nous nous y adaptons continuellement - il faut un "cheval de Troie" pour affaiblir la belle machine qu’est notre organisme : ce sont nos émotions qui participent à saper l’homéostasie, le coup de grâce étant rendu ensuite par la qualité du quotidien. Bien sûr, aujourd’hui ce n’est pas prouvé par A+B dans le domaine médical ; vous devrez donc attendre les résultats de l’enquête, débutés dès Platon (428-427 av. J.-C), mais arrêtés publiquement vers 1918 environ (les années suivantes, c'est repris en secret par l'armée). D’un point de vue énergétique, ce serait à nos corps énergétiques à qui l’on doit la meilleure protection contre les ondes ambiantes, contre les mauvaises pensées des autres (7) ou les mauvaises vibrations d’un lieu, contre les virus et les bactéries, parce qu’ils témoignent à la fois de l’équilibre de notre état de santé physique et mental. Le corps subtil enveloppant le corps physique devient de ce fait le premier rempart vis-à-vis de l’environnement et des autres. C’est une hypothèse, cela va de soit, même si j’y adhère totalement par l’observation minutieuse que j’en ai faite.


Ainsi, puisque le mal-être peut être de trois natures (au moins pour le moment), il suffit donc de trouver celle qui perturbe sur l’instant :



  • Le premier (d’ordre émotionnel) est celui qui occupe notre esprit du moment : on ressasse, on fulmine, on colère, ça s’en va et ça revient, même la nuit... Pour résoudre ce mal-être, il est nécessaire de regarder en face les situations antérieures qui conduisent au même état d’être actuel ; il y a souvent un phénomène de récurrence de situations, de réactions ou d’agissements, qui facilite l’analyse et permet de mettre définitivement au clair son positionnement. C’est une démarche personnelle qui consiste aussi à écouter la petite voix qui nous aide au quotidien.

  • Le second (d’ordre environnemental) se distingue du premier parce qu’il ne s’agit pas d’une réaction de l’esprit, mais d’une action sur le corps physique via le corps vibratoire subit ponctuellement ou non. Il sera aisé d’en découvrir l’origine, si vous raisonnez en écartant une à une les hypothèses que vous aurez à votre disposition ; pour vous y aider, vous pourriez faire une check-list d’hypothèses plus ou moins (ir)rationnelles.

  • Le troisième (d’ordre physiologique) peut concerner un organe hyperactif, hypoactif ou malade, par exemple à cause de la qualité de l’alimentation, de l’air ou des pensées. L’âge de l’individu peut avoir son importance, de même que la récurrence du problème, le recours à un traitement et parfois aussi le type de vêtement et la couleur habituelle de ses vêtements.


Le plus important dans ce travail c’est de se faire sa propre idée de son adaptation à son environnement, car cela tend à se dispenser des croyances non fondées des autres. Quoi, c’est tout ? Oui. Si cela vous intéresse, nous pourrions aussi développer un projet en commun, afin de comprendre exactement quand et comment l’environnement nous influence, une étude expérimentale sur notre façon de nous adapter au quotidien basée sur de l’observation personnelle. Si cette idée vous intéresse, j’attends vos suggestions pour rendre cette information visible et claire pour le bien de chacun et de tous.


*****Notes*****

1. Parfois à la tête, aux cervicales, au niveau du coeur, aux reins, à un côté, aux lombaires, aux jambes, des courbatures, de l’oppression, un sentiment d’irritabilité, des tensions sous-cutanées, de l’apathie, disparaissant aussi rapidement que c’est venu.

2. Je ne savais pas comment aborder ce sujet en particulier, car ce n’est pas évident de démontrer par l’exemple les quelques observations dont je dispose pour étayer ce qui me parait un peu plus qu’une hypothèse. Disons aussi que ces recherches s’élaborent à pas de fourmis et à partir de mes propres humeurs, parfois comparées, dans la même période, à celles d’autres personnes, à partir desquelles je tente de donner une explication rationnelle.

3. La mesure au pendule de chacun des centres énergétiques permet de montrer ses forces et ses faiblesses dans son comportement quotidien, d’y mettre des mots pour produire une impulsion vers un mieux-être. La durée de son bien-être dépendra ensuite de ses habitudes de pensée et du choix propre de les modifier dans cette perspective.

4. La concentration de l’énergie électrique naturelle ou artificielle dans un espace donnée (électricité statique par exemple) et la variation de l’intensité du signal véhiculée dans notre espace pour obtenir une connexion (téléphone cellulaire et wifi en tête) n’est, à mon avis, pas suffisamment critiquée pour conclure que ce type d’énergie n’a pas d’influence néfaste à long terme sur le corps humain. Les services d’imagerie médicale, par exemple, savent très bien quantifier la dose de rayonnement admissible par un individu par mois, seuil au-delà duquel un risque pour la santé existe et justifie que l’on espace le cumul de ce genre d’examens. On parle bien d’ondes, n’est ce pas ?

5. Certaines théories néo-spiritualistes laissent entendre que nous recevons du cosmos une influence vibratoire favorable à notre évolution. Je suis perplexe, bien que j’adhère au fait d’avoir "reçu" quelque chose qui m’aura permis de grandir par bonds successifs. Le terme "influence du cosmos" étant encore à définir pour me séduire définitivement.

6. Personne ne connait encore l’origine des cycles solaires ; elle pourrait aussi bien être une réaction à la densité (poussières, gaz, ou astroparticules) du milieu interstellaire rencontrée lors du déplacement de l’astre, ou simplement une réaction à des mouvements internes. Si l’influence du cosmos peut participer à l’évolution humaine (hypothèse), ce serait convaincre trop vite et trop facilement que cette matière provient d’autres étoiles, de galaxies, de trous noirs. Dans cette idée, étant la plus proche de nous, notre étoile me parait en pôle position pour agir sur notre évolution (hypothèse) ; la quantité de particules reçues du cosmos serait inversement proportionnelle aux réactions éruptives du soleil, qui agissent sur notre magnétosphère en augmentant notre bouclier...

7. ce n’est donc pas assis derrière l’écran de votre ordinateur que la protection est la plus efficace (conversations instantanées, forum de discussions, etc.).

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