Vénus, planète mystérieuse
Préalable :
Afin de limiter leur influence sur ma perception, il me semble nécessaire de débuter avec le minimum d'informations sur le sujet. Lors du premier voyage, je prends des notes et réalise quelques croquis. Ces perceptions mettent rarement en évidence d'autres grandeurs, comme la température par exemple, de même que le froid ne présente pas vraiment d'intérêt. En captant surtout des irrégularités, je rends compte de leurs différences. Les voyages ultérieurs bénéficient ensuite des premières données transmises au public : j'en découvre régulièrement ! Elles n'améliorent pas souvent mes perceptions, mais quelques détails renforcent tout de même ma confiance en ce qui a été perçu.
Planète :
Vénus disposerait d'une ceinture de particules (poussières) à la hauteur de l'équateur ; elle n'est pas très étalée (- de 100 km) ; je pense que certains objets situés dans son épaisseur pourraient mieux la situer. L'anneau se situerait à moitié moins de distance du rayon de la planète ; il présente une certaine densité. Beaucoup d'objets très disséminés semblent avoir été capturés par l'attraction de la planète ; leur trajectoire est difficile à estimer ou bizarre : certains objets sont sans mouvement apparent (et géostationnaire ?) ; l'un d'eux à un mouvement rapide sur lui-même et présente par moment une luminosité qui le rapproche d'un « signal de phare » (il semble que ce soit dû à un composé de la roche elle-même) ; un autre à une course qui change de direction sans modifier sa vitesse passant d'une trajectoire à une autre en fonction de « pressions » manifestement sensibles dans son environnement (mais pas en raison de l'influence des vents solaires). Tous ces détails n'ont peut être rien de très remarquables en soi, mais cela m'amuse surtout d'améliorer la qualité de mes perceptions. Globalement, ces objets suivent une course relativement parallèle à l'équateur. Il y a cependant au moins un objet, à 2 fois le diamètre de la planète, qui semble suivre une trajectoire elliptique sur un angle situé entre 65° et 75° par rapport à l'équateur ; sa surface très sombre est « mangée » par un trou énorme ; son mouvement sur lui-même et sa vitesse est très lent. Il aurait déjà été repéré, mais jugé sans intérêt. Si ça se trouve, on devrait même en tirer une information...
Lignes de champ magnétique |
La couleur de Vénus présente selon moi une dominante vert-bleu (#CEFBFA) tirant sur le blanc ainsi que du jaune très clair (#FCFEED) - le 13/11/15 à 11h00 local. Dans sa zone d'ombre, ce sont les nuages qui attirent l'attention par leur luminosité (peut être ce qu'à observé la sonde Venus Express en 2006 ?). Comparé à la Terre où les nuages présentent une texture cotonneuse (sauf à proximité des ouragans), ici ils présentent une texture lisse et étirée, pliée en couches successives ; leur couleur est semble-t-il en rapport avec leur vitesse de déplacement (bleu = lent ; jaune = rapide). Les vents semblent très puissants dans la zone proche du milieu interstellaire ; ils le sont un peu moins dans une couche inférieure, et présente même la caractéristique de glisser en sens contraire. Je pense que c'est cet effet de cisaillement qui m'a fait pensé à un pliage. Au niveau du sol, les vents semblent moins violents. L'atmosphère est très dense (la pression y serait effectivement 90 fois plus élevée que sur Terre) et curieusement, assez peu épaisse. Si la vie y semble propice, elle le doit plus à cette forme dominante de puissance météorologique et de pression remarquable (champ magnétique induit) qu'à la nature de son champ magnétique issue de son noyau ; quitte à friser le ridicule, disons même que les lignes de champ du champ magnétique ne semblent pas suivre une courbe en plein (comme les lignes d'un aimant), mais des lignes ondulées en creux (pas d'équivalent à proposer - voir image) ; le champ magnétique serait dans cette hypothèse plus présents aux pôles, et moins présent à l'équateur.
Dessin réalisé en octobre 2015 |
Le manteau n'est pas dense partout, ni sur une très grande profondeur ; il y a des zones plus fermes que d'autres, en particulier vers l'équateur ; il y a aussi une différence de densité entre les 2 pôles. Je perçois ainsi des zones « molles » (en rouge), « dures » (en vert) et « intermédiaires » (en noir) ; les zones molles ont la texture de la terre gorgée d'eau (lave en fusion ?) ; elles sont apparemment dominantes sur la planète ; les zones dures sont très denses ; on en trouve à l'équateur et aux deux pôles ; les zones intermédiaires sont un mixte des deux ; il y en a très peu. Des montagnes escarpées sont présentes sur une zone assez vaste entre la 30e et la 50e parallèle (vue probable de la chaîne de montagnes nommée Aphrodite et du mont Rhéa - sans certitude). Le terrain est ensuite relativement plat, désertiques, comme erroné par les vents dominants. Rien ne semble vivre à la surface de la planète. Et à cette question, je suis aussitôt amené dans un milieu d'apparence aqueuse.
Géologie du sol Vénusien en fausses couleurs |
Carte topographique de Vénus en fausses couleurs ; Magellan product P-41938 |
De l'eau (?) à l'état liquide semble manifestement présente en très grande quantité, mais je ne la vois pas en surface, ni depuis la surface. Ma première sensation est de remarquer que l'on y est moins agité qu'en surface ; la pression et la densité semblent à première vue comparables à ce qu'on connait sur Terre ; si cet océan présente à chaque voyage systématiquement la même couleur - peut être un peu plus foncé peut être ? (#2A3177) - que sur Terre, elle me laisse pour le moins supposer une déviation perceptive. Sa luminosité paraît égale que l'on se trouve à la surface ou au fond (perception astral, sans doute). Quoi qu'il en soit, mes observations semblent la confondre avec l'emplacement des zones « molles » (en fusion ?). C'est donc assez déconcertant. En m'éloignant de la surface, un nombre plus important d'espèces « marines » sont visibles et quelque chose paraît même très proche visuellement d'une raie manta. C'est la seule espèce sur laquelle je suis capable de mettre une image connue. D'autres étendues d'eau donnent l'impression d'avoir été désertées - la vie n'y semble plus adaptée : quelque chose de cette nature. Le volume d'eau planétaire a de plus considérablement baissé. Et en cherchant s'il existait ou s'il a existé d'autres espèces plus évoluées, j'ai trouvé ça (image suivante). Pour les personnes intéressées, il y a un point sur le 1er dessin permettant de le situer géographiquement. Le mythe de Poséidon ne me semble plus très loin...
Site touristique vénusien |
Les pyramides me sont apparues alors que je me situais encore assez loin d'elles. Sur le terrain plat était disposé des « statues » encore dressées pour la plupart. Je suis arrivé à proximité d'une sorte de menhir ou de pyramidon dont l'état était complètement délabré (le seul du site remarquable dans cet état). La première pyramide ont été vu sur la droite, une autre sur le même plan, sur la gauche. C'est en prenant de la distance que j'en ai vu trois disposées en triangle. Le site paraissait très étendu. Il me fallait régulièrement prendre de la « hauteur » pour situer les objets les uns par rapport aux autres. Le croquis a nécessité plusieurs aller-retour sur 1/2 heure d'observation continu environ. Pour gagner du temps, il m'a semblé préférable de me concentrer sur les objets significatifs essentiellement. C'est pourquoi le repérage reste assez approximatif dans la mesure où cela m'a demandé beaucoup d'attention pour, à la fois, m'en faire une certaine idée (comprendre ce que je voyais), garder un certain recule (réalisme) et suffisamment d'intérêt (c'est pas ça qui nourrit son homme quand même !). J'ai fait le tour par la droite en remontant au « centre » du site. Les pyramidons sont apparus au second passage. Ce sont d'abord les sphinx (sphinges ?) qui étaient parfaitement visibles (comment ne pas faire de parallèle avec notre monde ?) ; ils étaient alignés sur 2 colonnes et présentaient une entrée par laquelle j'ai préféré ne pas entrer. Au centre du site, il y avait une sorte d'escalier se présentant vu de haut comme un triangle pointe en bas. Il permettait d'accéder à plateau rocheux sur lequel était bâti l'une des pyramides que j'avais remarqué de loin (elle avait « disparu » de ma perception en m'approchant des autres). Je ne m'en suis pas approché, ni de la troisième pyramide non plus. Cependant, sur sa partie extérieur, tout à fait à droit sur le dessin, une « limite » a parfaitement été marquée par une série de colonnes qui devait surplomber un ravin ou un gouffre (ou le pied d'une falaise peut être ?) - les 2 peut être ? C'est difficile à dire, ça beugue à chaque fois dans ce coin ! Enfin, une structure (en bas du dessin) s'est manifestée en cherchant les limites de cette « limite » ; la façade du bâtiment, deux lignes superposées de colonnes placées sur des plans différents, présente quelques traits comparables au temple funéraire de Hatchepsout (sans sa rampe pour accéder au premier « étage » ); l'entrée semble mener sous la surface. Je ne l'ai pas visité à ce jour. C'est peut être un signe que je devrais lever des fonds , qui sait...?
------- Sources d'informations utiles -----------
Couleur Web
Vénus (planète) — Wikipédia
L'atmosphère de Vénus - Astronomie & Astrophysique
Vénus - Cours d'Astronomie
http://www.esa.int/SPECIALS/Venus_Express/
Page dédiée aux sondes Venera sur le site russianspaceweb
CO2 Impacts sur les êtres vivants ... - Infoterre (à lire)
Le CO2 d'origine anthropique et volcanique (à lire !)
Edit du 22 juin 2016
"George King (1919-1997) était un maître de yoga, médium et auteur de nombreux livres sur la spiritualité. Il aurait été contacté par une intelligence extraterrestre connue sous le nom "Aetherius" en 1954, et fondé la Société Aetherius en 1955.
Un matin ensoleillé de mai 1954, le Dr King, qui se trouvait dans son petit appartement de Maida Vale, à Londres, entendit les paroles suivantes : « Prépare-toi ! Tu deviendras la voix du Parlement interplanétaire. »"
La suite sur ce site :
http://ovnis-direct.com/un-celebre-contacte-et-son-organisation-surveilles-par-scotland-yard-152554.html
Ce texte semble cohérent avec "Alliance" le livre de Anne Givaudan. Le début de son livre me fait beaucoup penser à une abduction. Intéressant. Je regrette seulement le manque de détails dans les descriptions rapportés par l'auteure.
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