Des séismes pleins la tête ! (suite)
Tectonique des plaques |
Texte mis à jour le 31/01/16 à 21h00
L'objectif de cet article sert d'exploration perceptive et de découverte de possibilités offertes au moyen des facultés psychiques. Ce sont des observations personnelles, et à ce titre, demandent au lecteur la plus grande prudence quant aux informations qui y sont décrites. C'est entendu ! Bien sûr, ce serait heureux de pouvoir avertir une population de l'éventualité d'un gros séisme, c'est pourquoi je préfère préciser que ce canal d'informations n'est pas encore tout à faitcrédible fiable, me concernant, malgré le plus grand sérieux. Les personnes intéressées pourront aussi se rapprocher de cet autre sujet du même genre proposé hier, les 27/02/2013 et 06/05/2014.
L'objectif de cet article sert d'exploration perceptive et de découverte de possibilités offertes au moyen des facultés psychiques. Ce sont des observations personnelles, et à ce titre, demandent au lecteur la plus grande prudence quant aux informations qui y sont décrites. C'est entendu ! Bien sûr, ce serait heureux de pouvoir avertir une population de l'éventualité d'un gros séisme, c'est pourquoi je préfère préciser que ce canal d'informations n'est pas encore tout à fait
En principe, une plaque continentale ne glisse pas ou pas très longtemps ; elle s'ébroue ou « hoquete » de temps en temps, et l'ensemble prend sensiblement le mouvement d'un jeu de billes dans un carré trop petit pour elles. D'ordinaire, les séismes s'enchaînent par parquets et si l'on y prête suffisamment d'intérêt, ils s'activent presque les uns après les autres en suivant une certaine « cohérence » ; il est possible de suivre cela à l'aide d'un listing de séismologie sous la main et une carte des plaques tectoniques sous les yeux (pour former le regard à distance et la connexion sensorielle, dans un premier temps) - « Last 30 days earthquakes » sur le site Seismic Monitor. Habituellement, je décrirai perceptivement le phénomène sismique comme une sorte de brouhaha ne permettant pas vraiment de préciser avec exactitude la secousse à venir. C'est normal, car il est d'abord nécessaire d'entrer dans le mouvement des plaques tectoniques (1), si l'on veut vraiment s'approcher du phénomène. Toutefois, il arrive quelquefois que l'on puisse y entrer plus facilement, quand le « bruit » est plus clair par exemple, ou quand un événement particulier capte l'attention ; sans beaucoup forcer ses perceptions, il semble alors plus facile de suivre n'importe quel phénomène tellurique qui se présente.
Pour (bien) commencer, la cohérence du mouvement des plaques tectoniques est difficile à appréhender. Il est néanmoins possible de « prévoir » psychiquement quand une secousse va se produire, à la manière d'un appareil de sismographie planté localement. Je perçois sensoriellement plusieurs types d'ondes capables d'engendrer ces séismes ; il s'agit d'après quelques recherches effectuées sur le sujet, de Forces mécaniques bien sûr, et parfois de la Résultante de ces Forces, bien que je ne sache pas expliquer pour quelles raisons celle-ci est préférée à cette autre au moment de mon observation. Quoi qu'il en soit, ce sont bien des Forces sans distinction de leur intensité vectorielle que je tente depuis un moment de décrire avec des mots compréhensibles par tout le monde. Quand c'est possible, je détecte à l'occasion leur direction, leur étendue géographique, leur vitesse, leur profondeur et leur intensité ; une onde claire est facile à saisir psychiquement, à suivre pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours même - c'est surtout une question d'intérêt, de curiosité et de rigueur personnelle dans l'observation ! Comme ce n'est pas pour moi une question existentielle, je ne fais rien pour rendre la précision de ces observations plus fiables, ni la prédiction plus juste, ni l'ampleur du phénomène plus sûr ; mes facultés me permettent seulement d'appréhender d'abord le scénario sismique, son développement dans le temps, de suivre son mouvement d'ensemble, de saisir en quelque sorte une histoire, l'histoire de la Terre bien évidemment. Si une onde suit, avant tout, les caractéristiques du terrain, il est encore malaisé de savoir ce qu'elle engendrera au final ; pour l'instant, il me semble plus facile de comprendre le phénomène sismologique « dans sa globalité », jusqu'à un certain degré de détails visuels, quand par exemple, l'onde stagne dans une région donnée et observer ensuite « heure par heure » son évolution : l'accumulation de ce type de tensions - de quelque nature que ce soit - est généralement repérable avec beaucoup de certitude, et surtout au premier coup d'œil posé sur une mappemonde. Les ondes qui sont produites à la hauteur d'un océan me semblent d'ordinaires plus faciles à suivre. Celles situées dans les parties émergées demandent un autre type d'attention. Il me semble possible de capter un certain nombre de séismes à venir, mais pas tous, avec une précision sur l'épicentre de 500 200 km en moyenne. C'est une vérification à laquelle j'ai joué une ou deux fois seulement, il ne s'agit donc pas d'une constante, ni d'une offre commerciale. La recherche de la possibilité d'un séisme dans une zone donnée ne demande pas beaucoup de temps, pas beaucoup d'énergie, et la prévision se tient sur plusieurs jours en avance, ou à quelques heures auparavant. Ça peut idéalement intéresser une ville, mais cela devient vite ennuyeux, surtout s'il ne se passe pas grand chose. Faire cette recherche au niveau d'une région est déjà moins évident - tout dépend de la région cela dit. La prédiction d'un séisme en tenant compte du contour d'une plaque continentale est encore bien moins évidente, demande plus de temps, d'analyse, de recul, de concentration, mais le sujet est un peu plus « geek ». Comme je ne dispose pas des connaissances « appropriées », il me faut aussi accepter un certain nombre d'erreurs : les erreurs sont d'ailleurs de bons moyens d'affiner les perceptions sans perdre trop de poids sur la conscience.
Plus sérieusement, aujourd'hui, la grande plaque de l'Amérique du Sud s'est arrêté de glisser. Le glissement était remarquable depuis le début du mois de décembre (2015), date à partir de laquelle, j'ai débuté ma surveillance du phénomène ; le glissement n'est dorénavant plus aussi perceptible depuis hier (16/01/16) seulement. Le mouvement perceptif ressenti était jusqu'ici le suivant et devrait sans doute continuer, avec cependant moins de dynamique : déplacement lent, mais régulier du nord du continent vers l'est, et un déplacement rapide et régulier du sud du continent vers l'ouest - en vue d'esprit, c'est un mouvement dextrogyre. Localement, cela pourrait avoir occasionné au nord du continent un phénomène de fractionnement au niveau de l'isthme de Panama. D'ailleurs, depuis le début de l'année dernière (je précise qu'auparavant, ce n'était pas aussi remarquable), le phénomène a prit beaucoup d'ampleur, en particulier autour du Volcán de Fuégo au Guatemala, qui retient quand même toute mon attention. L'importance du phénomène n'est certainement pas à négliger comme le souligne les éruptions récentes des volcans Turrialba - au Costa Rica et Momotombo - au Nicaragua. Le risque environnemental et sanitaire est important dans cette région, selon moi, bien que « sous contrôle » - n'exagérons rien non plus !
Le nombre de séismes dans cette région du globe devrait donc baisser progressivement et se déclencher avec moins de régularité ; quant au sud, il poursuit son mouvement avec une vitesse plutôt « constante » ; la « compression » qui en résulterait semblerait importante dans la région de Santiago du Chili, depuis San Rafael jusqu'à Valparaiso, Talca au Sud ; Bahia Blanca à l'est, s'ouvre. Est-ce que c'est sensible localement ? Dans le sous-sol probablement. Je pense que nous assistons à un remodelage géographique de ce continent, et cela prendra sans doute « quelques siècles » (au bas mot) avant d'être définitif. La pointe sud du continent devrait sans doute connaître une élévation du sous-sol, précédée par une activité sismique ou volcanique remarquable. Cela devrait affecter le trafic maritime traversant le Cap Horn, s'il existe encore d'ici là.
La plaque nord-américaine qui paraissait jusqu'ici « immobile » connait un léger déplacement depuis quelque temps. À l'ouest, la région de Eureka à Crescent City est à surveiller, selon moi. À l'est, elle viendrait contrarier l'action conjuguée des plaques de l'Amérique du Sud et de l'Afrique (cette plaque se disloquerait actuellement) et celles-ci remonteraient de concert vers la plaque Eurasienne. La grande plaque Eurasienne semble elle-même se mettre en mouvement depuis approximativement 2 ans (2013). Le déplacement est progressif, régulier, en Europe en particulier. Une poussée supplémentaire proviendrait de la plaque Antarctique dont le mouvement semble bien marqué ; son action pourrait s'observer à l'autre bout du monde, au niveau de la chaîne des Alpes scandinaves « emboutissant » à pleine vitesse tout l'ouest de l'Europe. En France, par exemple, ce sujet d'intérêt aurait actuellement une incidence sur la chaîne Pyrénéenne, et la chaîne des Puys. Certains tensions semblent même atteindre Reims et Paris par le sud dans des proportions encore difficiles à estimer aujourd'hui. Sur tout le territoire, le nombre de séismes supérieurs à 4 devrait sans doute se remarquer dans l'avenir, si rien ne change bien entendu. Il en résulterait une plus forte activité sismique et volcanique (actuellement, c'est surtout en Islande que ça se passe), qui pourrait présenter une information supplémentaire pour dénoncer la fréquence et l'amplification des séismes le long du littoral français, depuis la Rochelle jusqu'au Havre environ (voir ici). Un phénomène similaire se manifesterait le long de la chaîne des Apenins et en particulier au sud de l'Italie, dont l'origine est certainement à rechercher dans la rencontre de la plaque africaine avec la chaîne des Balkans (ce n'est pas nouveau, cela dit). La Suisse pourrait certainement se réveiller avec des séismes de grande ampleur. Le risque est grand, mais pas obligatoire, ni systématique. Que ce soit bien clair ! Il arrive fréquemment que plusieurs séismes de magnitude 4,5 à 5,4 à l'autre bout du monde (plaque pacifique en particulier) suffisent à désamorcer une tension importante dans cette zone, qui aurait pu subitement se libérer localement et provoquer de sérieux dégâts. Dernièrement (courant mars 2015), une très forte magnitude était potentiellement possible vers Lorcano, mais toujours est-il qu'elle n'a pas lieu : l'énergie s'est dispersée plus ou moins, (le plus souvent) verticalement dans le sous-sol. L'intensité est assez remarquable pour resurgir « ailleurs », en suivant une certaine cohérence facile à expliquer... intuitivement... Cette mise au point effectuée, il me semble très claire qu'actuellement, de grandes tensions s'accentuent aujourd'hui autour de la chaîne himalayenne, et leurs origines ne sont apparemment pas directement liées au déplacement de la plaque indienne...
Comme si cela ne suffisait pas, j'ai tenté de comprendre l'origine du mouvement de ces plaques telluriques, d'autant plus parce que certaines plaques n'étaient absolument pas en mouvement auparavant - du moins, c'est ce que je crois - lors de mes précédentes recherches. Aujourd'hui, « tout » se met en branle, et ce n'est pas sans raison, comme si l'on avait « lubrifié » les plaques avec du savon. Je ne suis pas en train de parler d'apocalypse, soyons heureux un instant ! En l'occurrence, il y aurait actuellement 2 phénomènes qui pourrait l'expliquer ! Le premier, un changement de densité du magma, le rendant en quelque sorte « plus fluide », plus chaud, « aussi débordant d'une casserole laissée sur le feu ». Curieusement, le noyau terrestre exprime justement cette idée. Le second phénomène en résulterait, précisément, c'est-à-dire, par une dilatation très marquée de l'écorce terrestre, (accentuée par la Lune) et dans certain cas, même, son fractionnement. Il pourrait s'agir, pourquoi pas, d'une explication plausible de ce réchauffement climatique planétaire ! En poussant mes recherches, j'ai observé que notre planète n'était apparemment pas la seule à avoir ce défaut thermostatique - Vénus, Mars aussi, pour ne parler que de nos plus proches voisines. Mais pas la Lune - son influence est de plus en plus puissante et d'une nature différente, peut être l'avez vous remarqué depuis quelques mois ? En poussant encore mes recherches, il se pourrait même que l'origine de « tout ça » vienne de notre étoile, le Soleil. Pour une raison encore incertaine, actuellement il connaîtrait lui-aussi une sorte de « dilatation » de son noyau ; son cœur serait en quelque sorte en train de perdre en densité (et donc de grossir), ce qui affecterait directement sa structure, le voisinage immédiat, et tout le système solaire. Dans l'Ākāśa, une information préciserait l'existence d'un cycle solaire de cette nature, et par ailleurs déjà produit plusieurs fois au cours de son « existence ». Quoi qu'il arrive, ça arrive maintenant. Une erreur d'interprétation est toujours possible, cela dit !
Mise à jour de cette page le 21 janvier 2016 à 11h15 heure local, puis maj vers 20h00 :
Chaîne Himalayenne : compression importante à l'est (Chine jusqu'en Sibérie) dû me semble-t-il à la rencontre de la plaque eurasienne et de la plaque pacifique ; il paraît y avoir une remontée plateau continental depuis le Vietnam jusqu'à Chumikan (Russie). Les tensions se concentrent dans la région de HeilongJiang (Chine), mais je ne pense qu'elles vont se disperser vers les Monts Stanovoï.
Des tensions s'accentuent depuis 2014 environ en Asie centrale Les séismes touchent effectivement tous les monts Zagros depuis le sud vers le nord. Elles sont plus importantes vers Qom (Iran) et Esfahan (Iran), alors que les séismes semblent exprimer plutôt depuis Chabahar jusqu'à Ahvaz. Elles se sont toujours dispersées jusqu'à présent, mais leur accumulation s'accentue. À surveiller. Mise à jour à 20h local : les tensions ont pris moins d'importance dans cette région.
Europe de l'ouest : tensions sur la péninsule ibérique (région de Valladolid) avec action progressive sur les Alpes franco-italienne, jusqu'à Frankfurt et le massif central jusqu'en Ile-de-France. Les tensions sont faibles « modérées » pour le moment, mais paraissent s'accentuer dans le temps. Mise à jour à 19h51 local : séisme de 5.1 au large de Gibraltar (voir ici) à 13h47 UTC.
Le mouvement actuel de la plaque nord-américaine a une action déterminante sur la plaque nord-pacifique ainsi que sur l'isthme de Panama. Les tensions semblent toujours se concentrer à l'ouest dans un phénomène d'étirement de la croûte terrestre autour de la région de Crescent City (+ - 100 km) dans des proportions encore inconnues. La seconde zone se limite actuellement au nord du Colorado ou les tensions se concentrent actuellement (voir ici au sujet des séismes de l'Oklahoma d'origine non naturelle). Au nord, c'est vers Fort Smith qu'elles resurgissent. Mise à jour à 19h56 heure local : séisme de 6.6 à 18:06:59 UTC à la hauteur de Jalisco (Mexique). Les tensions s'accentuent au niveau de la région de Chiapas (Mexique).
Le nord de la plaque sud-américaine semble s'être ralenti. Quand au sud, il poursuit son déplacement. Les tensions dans la région du sud-ouest du Pérou devraient continuer, mais pas nécessairement de façon dramatique ; elles ne semblent plus s'exprimer d'ici 1 an au delà de la magnitude 4. Mise à jour à 20h02 heure local : glissement important du nord du continent (plaque sud-américaine) et ralentissement du sud du continent. Très fortes tensions sur l'isthme de Panama et en Colombie.
Le nord de la plaque sud-américaine semble s'être ralenti. Quand au sud, il poursuit son déplacement. Les tensions dans la région du sud-ouest du Pérou devraient continuer, mais pas nécessairement de façon dramatique ; elles ne semblent plus s'exprimer d'ici 1 an au delà de la magnitude 4. Mise à jour à 20h02 heure local : glissement important du nord du continent (plaque sud-américaine) et ralentissement du sud du continent. Très fortes tensions sur l'isthme de Panama et en Colombie.
Il y aurait encore beaucoup à dire, mais rien d'urgent. Bien sûr, tout ceci est à prendre avec des moufles... Merci de votre compréhension. Mise à jour à 20h10 heure local : le « problème » se situerait actuellement entre les plaques antarctique et pacifique, et plus particulièrement, au niveau de l'Antarctique.
Mise à jour de cette page le 24 janvier 2016 à 11h30 heure local :
Plaque nord-américaine : Séisme de 4.9 le 23-JAN-2016 18:05:40 au large de Port Orford
Plaque sud-américaine : Séisme de 4.3 le 24-JAN-2016 00:31:55 en Bolivie
Monts Zagros en Asie centrale :
Séisme de 5.5 le 22-JAN-2016 20:51:47 en Iran
Séisme de 4.3 le 23-JAN-2016 04:20:21 en Iran
Séisme de 4.3 le 23-JAN-2016 07:53:49 en Turquie
Chaîne himalayenne : Plusieurs séismes de magnitude 4.4 - 4.8 et 5.0
Ce jour, les tensions sont globalement localisées à la hauteur de îles Fiji, nées de la dislocation en cours de la plaque pacifique. Toute la région sud de cette plaque glisse rapidement vers la plaque antarctique, occasionnant les séismes actuels. Ce glissement serait occasionné par le « jeu mécanique » laissé par le mouvement de « rotation » de la plaque antarctique autour d'un axe hypothétique. Toutes les tensions s'exerceraient actuellement au niveau de la dorsale Indienne soulignés par les 6 séismes de 4.5 à 5.9 observés depuis le début de l'année. Le mouvement du sud de l'Afrique est exacerbé dans ces proportions encore difficiles à cerner. Un phénomène en étau semble se dessiner autour de la plaque indienne, de la rencontre de la plaque australienne avec la plaque eurasienne. Le risque séismique actuel se situerait à courte échéance autour du golfe d'Aden (28-JAN-2016 21:00:34 mag 4.5). En remontant plus au nord, les tensions sont très présentes en Asie Centrale, ce qui pourrait confirmer mes ressentis des jours précédents. Le phénomène se déplacerait ensuite plus au nord vers la Norvège et plus particulièrement en mer Baltique, où les pressions sont de plus en plus évidentes (Séisme de 4.5 le 23-JAN-2016 13:02:17 au large des îles Jan Mayen (Norvège)). Elles le sont plus encore au niveau dans la région séparant l'Islande de la pointe sud du Greenland. En Europe, les tensions se répartissent le long du littoral espagnol et ne dépasseraient pas Montpellier. Les Pyrénées Orientales manifestent un peu d'instabilité tellurique, cela dit, bien moindre que celle que je peux ressentir au nord de la France depuis le Mans jusqu'à Lille en passant par Paris. Une deuxième poche de résistance apparaît entre Reims et Metz, et remonterait vers le Luxembourg. Avant de crier au loup, je préfère témoigner qu'il s'agit vraisemblablement de tensions de l'écorce terrestre « sans gravité ». Cependant, les Alpes Italiennes ne subiront pas la même légèreté où des pressions se ressentent maintenant au nord du parc national de Stelvio (pour rappel, elles étaient précédemment situées vers Lugano). Cette tension remonterait vers les Pays Bas ou une tension est remarquable dans le repère triangulaire Düsseldorf - Liège - Eindhoven. En Russie, les tensions perçues précédemment vers les Monts Stanovoï sont toujours aussi remarquables et semblent se déplacer vers les Monts de la Bargouzine et en particulier au nord-est du lac Baikal. Si j'en crois mes perceptions, l'onde tellurique rejoindrait probablement la chaîne himalayenne pour aller déclencher des séismes plus importants dans la région du Kashmir, situés un peu plus au sud des séries de secousses actuelles. Vers le Japon, le « jeu mécanique » laissé par le glissement de la plaque Pacifique, n'est pas suffisamment rattrapé par le déplacement de la plaque Eurasienne ; il pourrait expliquer actuellement les séismes dans cette région du globe. Le risque de Tsunami semble palpable au sud de l'île d'Hokkaido (le séisme du 23-JAN-2016 15:56:59 de mag 4.8 se situait au nord) ; cependant, des tensions se rassemblent autour du cordon séparant l'océan Pacifique et la mer du Japon. Il se peut toutefois que ce soit une lecture perceptive d'un événement antérieur. La plaque pacifique glisse sans trop de difficulté le long de la côte américain. Les pressions s'accentuent pourtant au sud de l'isthme de Panama. Le mouvement de torsion ressenti se résumerait à une élévation de la côte ouest et expliquerait les séismes à venir dans cette région. À l'ouest, beaucoup de tensions s'accumulent de ce fait au niveau de la faille des plaques sud-américaine et africaine (le dernier séisme relatif à cette région date de 10 jours). Elles pourraient inquiéter les états majors de quelques pays préoccupés par ce phénomène. Enfin, le mouvement de la plaque antarctique semble venir contrarier le déplacement de la plaque sud-américaine, ce qui pourrait réduire quelques temps le nombre de séismes dans cette zone située autour de Arica (au Chili). La plaque Antarctique présente toujours perceptivement une mobilité dans des proportions encore difficiles à évaluer pour l'instant.
Mise à jour de cette page le 26 janvier 2016 à 16h20 heure local :
21/01/16 - Île de Santa Maria : http://www.maxisciences.com/calmar/des-milliers-de-calmars-retrouves-morts-echoues-sur-une-plage-chilienne_art37054.html
22-23-24/01/16 - Baleines échouées en mer du Nord : http://fr.newsmonkey.be/article/792
26/01/16 - Éboulement, site d'enfouissement nucléaire : http://www.20minutes.fr/societe/1773595-20160126-dechets-nucleaires-eboulement-fait-mort-blesse-grave-site-bure
Mise à jour de cette page le 31 janvier 2016 à 21h00 heure local :
Au sujet des séismes en France, préférez le site du RéNaSS (http://renass.unistra.fr/sismicite/derniers-seismes-en-metropole) car Seismic Monitor ne les affiche pas forcément.
Une nouvelle simulation sur les séismes : http://ds.iris.edu/seismon/swaves/
Trappes (France) 30/01/2016 - 04:36:05 - Heure locale (Europe/Paris) magnitude 4.6 (source)
Mise à jour de cette page le 24 janvier 2016 à 11h30 heure local :
Plaque nord-américaine : Séisme de 4.9 le 23-JAN-2016 18:05:40 au large de Port Orford
Plaque sud-américaine : Séisme de 4.3 le 24-JAN-2016 00:31:55 en Bolivie
Monts Zagros en Asie centrale :
Séisme de 5.5 le 22-JAN-2016 20:51:47 en Iran
Séisme de 4.3 le 23-JAN-2016 04:20:21 en Iran
Séisme de 4.3 le 23-JAN-2016 07:53:49 en Turquie
Chaîne himalayenne : Plusieurs séismes de magnitude 4.4 - 4.8 et 5.0
Ce jour, les tensions sont globalement localisées à la hauteur de îles Fiji, nées de la dislocation en cours de la plaque pacifique. Toute la région sud de cette plaque glisse rapidement vers la plaque antarctique, occasionnant les séismes actuels. Ce glissement serait occasionné par le « jeu mécanique » laissé par le mouvement de « rotation » de la plaque antarctique autour d'un axe hypothétique. Toutes les tensions s'exerceraient actuellement au niveau de la dorsale Indienne soulignés par les 6 séismes de 4.5 à 5.9 observés depuis le début de l'année. Le mouvement du sud de l'Afrique est exacerbé dans ces proportions encore difficiles à cerner. Un phénomène en étau semble se dessiner autour de la plaque indienne, de la rencontre de la plaque australienne avec la plaque eurasienne. Le risque séismique actuel se situerait à courte échéance autour du golfe d'Aden (28-JAN-2016 21:00:34 mag 4.5). En remontant plus au nord, les tensions sont très présentes en Asie Centrale, ce qui pourrait confirmer mes ressentis des jours précédents. Le phénomène se déplacerait ensuite plus au nord vers la Norvège et plus particulièrement en mer Baltique, où les pressions sont de plus en plus évidentes (Séisme de 4.5 le 23-JAN-2016 13:02:17 au large des îles Jan Mayen (Norvège)). Elles le sont plus encore au niveau dans la région séparant l'Islande de la pointe sud du Greenland. En Europe, les tensions se répartissent le long du littoral espagnol et ne dépasseraient pas Montpellier. Les Pyrénées Orientales manifestent un peu d'instabilité tellurique, cela dit, bien moindre que celle que je peux ressentir au nord de la France depuis le Mans jusqu'à Lille en passant par Paris. Une deuxième poche de résistance apparaît entre Reims et Metz, et remonterait vers le Luxembourg. Avant de crier au loup, je préfère témoigner qu'il s'agit vraisemblablement de tensions de l'écorce terrestre « sans gravité ». Cependant, les Alpes Italiennes ne subiront pas la même légèreté où des pressions se ressentent maintenant au nord du parc national de Stelvio (pour rappel, elles étaient précédemment situées vers Lugano). Cette tension remonterait vers les Pays Bas ou une tension est remarquable dans le repère triangulaire Düsseldorf - Liège - Eindhoven. En Russie, les tensions perçues précédemment vers les Monts Stanovoï sont toujours aussi remarquables et semblent se déplacer vers les Monts de la Bargouzine et en particulier au nord-est du lac Baikal. Si j'en crois mes perceptions, l'onde tellurique rejoindrait probablement la chaîne himalayenne pour aller déclencher des séismes plus importants dans la région du Kashmir, situés un peu plus au sud des séries de secousses actuelles. Vers le Japon, le « jeu mécanique » laissé par le glissement de la plaque Pacifique, n'est pas suffisamment rattrapé par le déplacement de la plaque Eurasienne ; il pourrait expliquer actuellement les séismes dans cette région du globe. Le risque de Tsunami semble palpable au sud de l'île d'Hokkaido (le séisme du 23-JAN-2016 15:56:59 de mag 4.8 se situait au nord) ; cependant, des tensions se rassemblent autour du cordon séparant l'océan Pacifique et la mer du Japon. Il se peut toutefois que ce soit une lecture perceptive d'un événement antérieur. La plaque pacifique glisse sans trop de difficulté le long de la côte américain. Les pressions s'accentuent pourtant au sud de l'isthme de Panama. Le mouvement de torsion ressenti se résumerait à une élévation de la côte ouest et expliquerait les séismes à venir dans cette région. À l'ouest, beaucoup de tensions s'accumulent de ce fait au niveau de la faille des plaques sud-américaine et africaine (le dernier séisme relatif à cette région date de 10 jours). Elles pourraient inquiéter les états majors de quelques pays préoccupés par ce phénomène. Enfin, le mouvement de la plaque antarctique semble venir contrarier le déplacement de la plaque sud-américaine, ce qui pourrait réduire quelques temps le nombre de séismes dans cette zone située autour de Arica (au Chili). La plaque Antarctique présente toujours perceptivement une mobilité dans des proportions encore difficiles à évaluer pour l'instant.
Mise à jour de cette page le 26 janvier 2016 à 16h20 heure local :
21/01/16 - Île de Santa Maria : http://www.maxisciences.com/calmar/des-milliers-de-calmars-retrouves-morts-echoues-sur-une-plage-chilienne_art37054.html
22-23-24/01/16 - Baleines échouées en mer du Nord : http://fr.newsmonkey.be/article/792
26/01/16 - Éboulement, site d'enfouissement nucléaire : http://www.20minutes.fr/societe/1773595-20160126-dechets-nucleaires-eboulement-fait-mort-blesse-grave-site-bure
Mise à jour de cette page le 31 janvier 2016 à 21h00 heure local :
Au sujet des séismes en France, préférez le site du RéNaSS (http://renass.unistra.fr/sismicite/derniers-seismes-en-metropole) car Seismic Monitor ne les affiche pas forcément.
Une nouvelle simulation sur les séismes : http://ds.iris.edu/seismon/swaves/
Trappes (France) 30/01/2016 - 04:36:05 - Heure locale (Europe/Paris) magnitude 4.6 (source)
**********NOTE**********
(1) Je place ici mes observations concernant le mouvement des plaques terrestres. Quelques changements sont observables - sans doute des erreurs perceptives. Edit du 29/02/16 : il semble que le magma contenu sous l'Afrique (ce continent en particulier) glisse d'avant en arrière créant parfois un mouvement opposé à celui perçu auparavant. Le mouvement alors observé dans cet instantané est bien celui indiqué par une flèche ; il pourrait s'agir de la détection d'un changement d'intensité de la résultante des forces dynamiques qui impriment ce mouvement au magma. Des recherches sont en cours pour en comprendre l'intérêt.
Document personnel - 3 mai 2014 |
Document personnel - 17 janvier 2016 |
mouvement cinétique "officiel" - date inconnu |
La plaque des tectoniques depuis l'espace - 2006 |
Commentaires
Enregistrer un commentaire