Comment toucher la douleur ?
Il existe beaucoup d'approche de la douleur et de moyen de la toucher, mais certaines d'entre elles sont plus difficile que d'autres à saisir.
Si l'apport en énergie (pas la sienne, hein) est un bon moyen de calmer la plupart des douleurs, il existe également d'autres méthodes permettant à la douleur de quitter le corps. Les techniques sont multiples, et il est possible de les combiner selon les besoins :
Si l'apport en énergie (pas la sienne, hein) est un bon moyen de calmer la plupart des douleurs, il existe également d'autres méthodes permettant à la douleur de quitter le corps. Les techniques sont multiples, et il est possible de les combiner selon les besoins :
- mouvement dextrogyre ou lévogyre effectué à la main
- mouvement de lissage
- la saisie par les mains
- la saisie par le mental
Cependant, ces spécificités ont chacune leurs limites. C'est pourquoi, quand aucune de ces méthodes ne fonctionnent, ce n'est pas forcément en rapport avec « la technique », mais ça peut être « l'approche », une notion qui met en évidence l'empathie du praticien et le niveau de confiance de celui qui (en) souffre.
J'ai observé qu'une personne qui à mal n'est pas obligatoirement disposée au soulagement, bien qu'elle souhaite être soulagée malgré tout. Ce dilemme ne s'impose pas forcément à chaque fois, mais il est présent à chaque fois, en particulier à la première visite. Il faut retenir qu'il peut manquer de cette proximité qui permettrait à l'individu d'être soulager. Le problème peut venir aussi de la volonté de se protéger soi-même avant toute intervention (1). Comme ça ne roule pas toujours comme sur des roulettes, on peut bien essayer de comprendre pourquoi et tenter d'adopter une autre attitude !
J'ai observé qu'une personne qui à mal n'est pas obligatoirement disposée au soulagement, bien qu'elle souhaite être soulagée malgré tout. Ce dilemme ne s'impose pas forcément à chaque fois, mais il est présent à chaque fois, en particulier à la première visite. Il faut retenir qu'il peut manquer de cette proximité qui permettrait à l'individu d'être soulager. Le problème peut venir aussi de la volonté de se protéger soi-même avant toute intervention (1). Comme ça ne roule pas toujours comme sur des roulettes, on peut bien essayer de comprendre pourquoi et tenter d'adopter une autre attitude !
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(1) Cette volonté à se protéger prétend essentiellement faire le choix de ne glaner aucun miasme* susceptible de nuire à l'opérateur, en ignorant fondamentalement les causes vibratoires de cette captation. Cette protection peut être utile, je ne la conteste pas.
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