Radiesthésie : méthode et recherche


Cette méthode ne convient pas à des objets statiques, mais plutôt à des situations ou des événements subissant des variations dans le temps. Ma méthode est essentiellement basée sur des probabilités. Il faut donc réunir suffisamment d'informations pour dégager des tendances et ensuite observer celles qui se répètent pour décider de la réalité à venir.





La méthode radiesthésique que je vais essayer de communiquer demande entre 15 et 30 minutes, chaque jour, tout dépend en fait du nombre de données à analyser.





Pour ce travail, il faut :





Outils nécessaires :
- pendule de radiesthésie, baguette
- un stylet (n'importe quelle tige fera l'affaire)
- un cadran simple avec une graduation de 0 à 100.
Outils complémentaire :
- un atlas routier,
- une carte géographique (pays, région, département, ville, arrondissement),
- un plan (métro, tramway, bus, etc)
- calendrier, cercle horaire
- une photo
- internet





Méthode sans outils





Je fonctionne rarement à partir de zéro, mais presque toujours en cherchant à approfondir une intuition qui m'a effleuré spontanément et qui persiste dans le temps. En l'occurrence, je crois que c'est l'intensité d'un événement qui permet sa traçabilité dans le temps. Il existe en effet des phénomènes observables, comme des soubresauts dans le temps, que l'intuition est capable d'isoler et d'identifier. Ce que j'ai compris, c'est que le temps imprime nos émotions. Le marquage est le même que l'on scrute le passé ou le futur. En outre, le phénomène est le même que l'on s'intéresse à la vie d'un individu, ou à celle de centaine de millier de personnes. Une fois que cet événement est repéré, il suffit simplement de s'y déplacer par la pensée.





Pour préciser l'événement dans le temps, je procède par élimination :
- je compte mentalement le nombre d'année qui me sépare de cet événement ;
dès que je connais l'année,
- je cherche l'événement dans un intervalle de six mois, ou de 3 mois.
dès que je connais le mois,
- je détermine dans quelle semaine l’événement se produit,
dès que je connais la semaine,
- je détermine le jour, matin, midi, soir





Mes recherches intuitives sont plus fréquentes, mais sont aussi plus souvent superficielles, car une telle pénétration dans les événements nécessite beaucoup d'énergie et ne présente pas toujours un grand intérêt personnel.





Remarque : Une consommation excessive d'énergie va fatalement attirer l'attention de l'Invisible. Le risque, c'est de se retrouver rapidement sans force (avec pour conséquence un désintérêt brutal pour les recherches en cours), s'ils leurs viennent l'idée d'attaquer.





Méthode avec outils :
Si l'on part de zéro, il faut commencer par décider du sujet de sa recherche ; les possibilités sont nombreuses : recherche de personnes disparues, événement climatique, catastrophe industrielle, terrorisme, gréve nationale, etc.





Je recommande dans ses hypothèses d'écrire une question qui explique ce que l'on recherche. Cela permet d'avoir une idée claire du sujet. Il faut garder à l'esprit que la réponse s'effectue sous la forme de pourcentage.





On a besoin d'un tableau (excel par exemple) sur lequel est indiqué
- en abscisse : le jour des mesures - on choisit l'heure sans contrainte ;
- en ordonnée : la période temps ciblée ;





Le système de mesure :
On pose la pointe du stylet sur la zone de recherche (date, carte, lieu, nom, etc), on place le pendule au dessus du cadran, et l'on pense à sa question. La valeur trouvée est à indiquer dans le tableau. On recommence la mesure jusqu'à avoir épuisé les questions entourant cet événement.





On obtiens quelque chose qui ressemble à ça.













Il ne sert à rien d'analyser ces valeurs isolément, car on n'en tire rien de particulier. D'après mes observations, ces valeurs pourraient correspondre à la fluctuation des émotions des gens durant un événement, jusqu'à ce qu'elles soient inscrites pour de bon dans le temps.





Dans certaines recherches, il m'a semblé possible d'entrer dans la tête des gens et de connaître ainsi leur intention. En m'aidant de mes mesures croisées avec celles de l'actualité, je comprenais mieux pourquoi un taux élevé avait été remplacé par un taux faible, quand un nouveau choix s'imposait au cours de la planification de cet événement. En fin de compte, c'était à la fois, comme si j'assistais concrètement à cette planification, sans connaître ni le lieu, ni l'heure de cet événement. Ces informations, il me fallait donc les chercher.





Les valeurs proches de 100% présentent un intérêt, car elles peuvent signifier qu'un certain nombre de personnes sont en train de se préparer intuitivement (inconsciemment) à l'événement ; celles indiquant 100% ont de fortes chances de se produire !





Par expérience, les mesures peuvent être très précises ! Le risque d'erreur est plus important dès que l'on cherche à déterminer l'heure et les minutes. J'ai obtenu de bons résultats jusqu'à une demi-heure près.





Conclusion:
Je me suis retrouvé à un moment donné dans une situation où le risque d'un attentat était si présent que cela m'a paru important d'avertir les autorités afin de les préparer à cette éventualité. 15 jours avant cet événement, J'ai donc envoyé un courrier, enrichi de mesures, expliquant mes conclusions. J'ai continué mes mesures, jusqu'au jour en question.





Si l'attentat n'a jamais eu lieu, je ne peux qu'accepter mon erreur et le fait de n'avoir jamais été contacté pour m'expliquer. Toutefois, il y a bien eu un incident le 7 décembre 2016, et celui-ci a causé beaucoup d'émotions à près de 3 millions de voyageurs.






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