circulation énergétique


Texte enrichi le 09 novembre 2017

Comme vous le savez sans doute, les chakras sont présents sur l'ensemble du corps, de façon courantes au niveau des organes, des articulations et des ganglions. Très gros au début (chakra principaux), leur taille se réduit (chakra du coude, par exemple) jusqu'à une dimension moindre (ganglion du cou, par exemple) ; leur dimension se réduit encore jusqu'à un seuil où d'autres sens sont alors nécessaires pour les observer (au niveau des nerfs par exemple).

La circulation énergétique alimente plus de sept Chakra principaux (ou plexus vibratoires) que l’on sait retrouver visuellement ou par le toucher, par exemple, le long de la colonne vertébrale ; cette circulation étant lié au phénomène vital, elle s'observe comme intimement liée au fonctionnement du système nerveux parasympathique ; on sait aussi que ces chakra principaux sont chacun reliés à un groupe d’organes et de glandes, c’est-à-dire au système nerveux autonome. La vie s’organise au niveau des plexus vibratoires en répondant à un sorte de modèle respiratoire qui s'exprime lentement de bas en haut et de haut en bas, à l'image d'un vague. Ce n'est pas le seul mouvement présent ; cet autre mouvement s'effectue au niveau de chaque chakra eux-même. Je crois que d'ailleurs que le mouvement rotatif n'est pas comme certains livres le prétendent toujours dans le même sens. Il peut en effet s'inverser. Je m'explique. On peut constater que le 1er chakra tourne dans un sens, le 2e dans l'autre, le 3e comme le 1er, le 4e comme le 2e, etc. En fait, j'ai observé que ce mouvement s'inverse quelques secondes au cours duquel, le 1er chakra tourne dans l'autre sens, et tous les autres en suivant. Selon moi, c'est ce changement de rotation qui est à l'origine du mouvement haut-bas décrit précédemment. C'est ce mouvement de vague que l'on ressent au moment d'un orgasme, parce que l'énergie qui circule dans les chakra est beaucoup plus élevée. Des personnes, comme Charles Leadbeater, Annie Bessant et d'autres du mouvement théosophique ont largement exploité ce potentiel pour augmenter leur capacité psi dans le seul but de tirer profit des connaissances qu'elles permettaient d'atteindre. Totalement reniées à leur époque, certaines de ces expériences ont finalement pu être validée par la science des années plus tard, lorsque les instruments le permettaient.

Un changement dans la vitesse de rotation d'un chakras se traduit immédiatement par de la douleur ressenti localement lorsque le freinage est brusque, et par une émotion "basse" (à défaut d'un terme mieux adapté) lorsque le ralentissement est attaché à une situation. L'élévation brusque de l'énergie d'un chakra suractive son fonctionnement, occasionnant une émotion ou un débordement de la faculté qui lui est attaché. Au sujet du tableau ci-dessous, gardez en tête que chaque mot est une sorte de repère et que d'autres émotions sont par conséquent possible pour chacun d'eux.

Les énergies de l'émotion
basse    /   haute
misanthrope  /  philanthrope - 7e chakra
Buté    /   Intuitif                   - 6e chakra
Acâriatre  /   Aimable           - 5e chakra
Peine     /   Joie                       - 4e chakra
Phobie     /    Confiance         - 3e chakra
Patience   /   Colère               - chakra du foie
Frustration   /  Satisfaction     - chakra de la rate
Pulsions    /    Dépravation    - 2e chakra
Dépression   /   Bien-être       - 1er chakra

Lorsque la saturation de l’un de ces centres d’énergie (Chakra ou méridiens) intervient, celui-ci se produit au niveau du chakra les plus faibles actuellement ; ce phénomène n'est constant, et peut expliquer le comportement qui conduit à une maladie. Si ce point de vue commence tout juste à être envisagé en psychologie, comprenez bien qu'en médecine générale, vos symptômes ont une origine au mieux dans un dysfonctionnement de l'organe en question. Quoi qu'il en soit, un chakra qui est perturbé connait trois actes avant de se mettre en rideau.



1) un ralentissement significatif et durable du flux énergétique, 

2) une stagnation plus ou moins importante dans le temps

3) un arrêt (blocage) avec quelque fois une inversion du sens de rotation.


Ordinairement, l’évacuation-régénération des énergies subtiles s’effectue non seulement par chacun des six Chakra principaux et le septième Chakra en particulier, mais s’effectuent également au niveau des Chakra secondaires (ceux de chaque articulation). Dans ce contexte, je parlerai surtout de ceux situés sous la voûte palmaire et plantaire. En présence d’un blocage de l'énergie qui circule des pieds à la tête, le flux d’énergie prend le plus court chemin, quitte à bifurquer ou contourner une zone sensible, afin de continuer d’assurer un fonctionnement énergétique vital pour l’organisme.


L'ancrage qui est un signe de stabilité, est souvent observé en fonction du 1er et 2e chakra, voire du 1er et du 7e chakra, au lieu que l'on considére le fonctionnement d'ensemble pour s'assurer que l'ancrage est réel et non instrumenté par son mental.

Pour une majorité de gens, leurs problèmes d'énergie ont une origine à cause d'une mauvaise circulation énergétique au niveau de leurs jambes. Un problème sur une jambe n’optimise pas l’évacuation-régénération des énergies vitales qui auront donc cette tendance à stagner dans l’ensemble du corps.
Au genou par exemple, un mauvais fonctionnement, l'inversion de sens ou l’arrêt de ce Chakra va réduire la circulation de l'énergie montant par le pied et redescendant par la hanche. Les chakra supérieurs qui en dépendent seront donc moins puissants et par conséquent plus sollicités.
Si la circulation est meilleure sur l’autre jambe, l’énergie vitale choisira la facilité, ce qui aura pour conséquence dans le temps de fragiliser cette jambe beaucoup plus sollicitée. Le phénomène se constate indubitablement par un flux minimal de circulation énergétique (un vide) dans la jambe concernée.

Une différence nette de sensations tactiles ou de froid aux extrémités mains/pieds est également ressentie. Cette mauvaise circulation énergétique se traduire donc par une mauvaise circulation (sanguine, lymphatique, etc.), des problèmes de peau, des douleurs musculaires, osseuses, articulaires, etc.

Une douleur physique peut se déclencher en un lieu éloigné de son origine (choc émotionnel, choc physique, etc.) et s'y accumuler (torticoli par exemple). Le travail des fascias est une approche qui est à même de bien comprendre comment le corps réagit aux sollicitations internes et externes. Le corps s’exprime en bloquant en amont une articulation, puis une autre, pour mettre au repos une zone douloureuse parfois jamais remarquée, souvent ignorée. La même chose se produit au niveau des organes ou leur faiblesse se repèrera dans leur fonctionnement chimique, mais qui passera inaperçu en absence de raisonnement clair dans la récurrence des pensées d'un individu, affectant tel Chakra, qui par effet domino touche telle glande, puis telle organe. Selon moi, le problème dont l'origine est négligé parce qu'elle est enseveli sous des tonnes de couches émotionnelles, est d'autant plus important qu'il s'enfonce dans le matière et atteint les parties dures de l'organisme. On sanctionne ainsi des milliards d'individus, alors qu'il est déjà possible de remédier aux problèmes par des moyens certes non conventionnels mais qui sont efficaces ou bien, en faisant en sorte qu'ils n'apparaissent pas en ayant une politique qui accroit la capacité individuelle à résoudre ses propres difficultés existentielles.

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