télépathe
texte enrichi le 06 novembre 2011
Lorsque nous pensons à un évènement à venir et plus particulièrement à un évènement du passé, la difficulté à situer exactement cet évènement provient essentiellement de notre conception erroné du temps réglé pour l'essentiel sur une base astronomique. Le temps n'est pas linéaire. Il n'y a pas dans nos souvenirs un calendrier qui nous indique par une croix que nous situons à telle date. Pour y remédier, il nous faut regarder le contexte dans l'évènement lui-même et en estimer le moment grâce aux indices récoltés. Ensuite, il n'est pas rare de chercher à dater cet évènement, d'abord dans une fourchette, puis de plus en plus précisément. La difficulté est d'autant plus importante quand nous partageons nos idées afin de décrire une période du temps. Selon moi, le vocabulaire même le plus riche sera limité chaque fois qu'il faudra dater chaque situation pour se faire comprendre. Faute de mieux, nous pouvons tout de même apprécier l'utilité des mots comme hier, aujourd'hui et demain, pour catégoriser n'importe quel évènement du quotidien. Cependant, si l'on croit que ce point de vue est essentiel à notre méthode de communication, c'est que nous n'avons pas vraiment réfléchit à d'autres façons de nous exprimer, et encore moins cherché à développer un mode de communication plus efficace : la télépathie par exemple. Des résistances nous font dire parfois que c'est impossible. Or, nous savons pourtant depuis longtemps que cette capacité est inhérente à l'espèce humaine, en germe pour beaucoup d'entre vous, et selon moi, en train d'éclore dans notre société. Je voulais par conséquent exposer l'idée que cette faculté est, avec une quasi certitude, de plus en plus exploitée régulièrement voire constamment par nos semblables dans leur quotidien ; de nombreux indices vont dans ce sens en particulier lors de nos échanges avec nos animaux de compagnie qu'un bon nombre d'individu sont capables de constater. Certes, la richesse de la télépathie réside dans le fait qu'elle se passe de mots, et que ceux-ci peut être remplacés par une image fugace ou encore une séquence qui exposent l'une et l'autre exactement ce que nous voulons dire, une émotion, une idée, un point de vue. Mais tant que la pensée sera étudiée de façon rationnelle, c'est-à-dire sans tenir compte de la conscience qui lui donne autant d'importance, nous nous heurterons constamment à l'aridité du langage qui tente de l'expliquer.
« Au sens large, la pensée est une activité psychique, consciente dans son ensemble, qui recouvre les processus par lesquels sont élaborés, en réponse aux perceptions venues des sens, des images, des sensations, des concepts que l'être humain associe pour apprendre, créer et agir. C'est aussi, une représentation psychique, un ensemble d'idées propres à un individu ou à un groupe, une façon de juger, une opinion (façon de penser), un trait de caractère (avoir une pensée rigoureuse), etc. » source wikipédia- Pensée
Créé le plus souvent à partir de souvenirs personnels, cet affichage permet une prouesse métaphysique pour le moins surprenantes : mode pause, arrêt sur image, zoom, rem-bobinage, avance rapide sont des modes de lecture que nous disposons tous dès la naissance sans qu'aucun mode d'emploi n'ait été nécessaire pour comprendre son fonctionnement. Vous l'avez surement déjà constaté. Bien sûr, si l'on croit que ces fonctions n'existent que dans ce contexte, c'est que vous n'avez pas bien observé votre quotidien. Comme notre esprit est souvent trop rationnel, il tend à rejeter des évidences jusqu'au moment où l'on met le doigt dessus. Par exemple, au cours d'un trajet en voiture, il n'est pas rare que nous utilisions cette fonctionnalité pour ne plus avoir la sensation de distance ni de temps. Si cet endroit se caractérise alors comme un refuge lorsque la pression du quotidien devient trop forte, c'est que fatalement l'un des deux espaces est familier et l'autre étranger. C'est bien le cas puisque nous savons déjà que l'âme intègre le corps physique au moment de la naissance. Puisque nous ne faisons qu'emprunter un corps pour une durée indéterminée, il faut bien conserver quelque part les fonctionnalités qui caractérisent notre conscience. Cela signifie que rien nous empêche de les exploiter ici bas, mis à part nous même. Il est possible que d'autres espèces en soient capables aussi, mais je doute que les scientifiques y ait même jamais songé.
Et parce que la pensée est synonyme de lucidité, et en même temps un émetteur et un récepteur de la conscience, une sensibilité sensorielle plutôt qu'un ensemble d'idées mis bout à bout, il est intéressant d'observer que pour « exister », la pensée s'affiche dans notre tête dans cet espace intérieur qui nous paraît distinct de l'environnement extérieur (qui s'affiche pourtant lui-aussi dans notre tête). Je devrais donc plutôt dire que ces espaces ont en commun le fait de s'afficher sur un écran intérieur sur lequel s'affiche simultanément plusieurs contenus, prenant selon notre volonté le focus alternativement. En fait, nous pensons que notre attention se focalise seulement sur une chose à la fois, sans vraiment comprendre que c'est le résultat d'un apprentissage du quotidien qui impose de classer les évènements par priorité. On retrouve exactement le même raisonnement en informatique lorsque l'on conçoit une interface graphique, parce que nous ne savons pas comment faire autrement ! Nous raisonnons surtout en tâches, pardon, en monotâche, quand il est possible d'exploiter le multitâche. Notre conscience est nettement moins limitée qu'on le croit, mais nous avons pris l'habitude de la brider par un certain nombre de croyances qui nous empêchent réellement d'exploiter tout son potentiel. L'inverse est vrai aussi. Pourtant, nous sommes journellement en capacité de briser nos interdictions, il suffirait simplement d'étudier un peu mieux notre façon de penser, nos rêves et ce qu'il se passe dans nos relations avec les autres. Par ailleurs, la pensée a forcément une bonne raison d'être ludique et de conserver une trace de son fonctionnement. Elle affecte déjà notre perception de la réalité, même si nos résistances nous empêchent d'imaginer qu'elles puissent réellement agir sur notre quotidien. Mais surtout, nous désirons tout de même que nos scenarii affectent d'autres personnes et l'environnement tout entier. Et c'est souvent le cas.
Et parce que la pensée est synonyme de lucidité, et en même temps un émetteur et un récepteur de la conscience, une sensibilité sensorielle plutôt qu'un ensemble d'idées mis bout à bout, il est intéressant d'observer que pour « exister », la pensée s'affiche dans notre tête dans cet espace intérieur qui nous paraît distinct de l'environnement extérieur (qui s'affiche pourtant lui-aussi dans notre tête). Je devrais donc plutôt dire que ces espaces ont en commun le fait de s'afficher sur un écran intérieur sur lequel s'affiche simultanément plusieurs contenus, prenant selon notre volonté le focus alternativement. En fait, nous pensons que notre attention se focalise seulement sur une chose à la fois, sans vraiment comprendre que c'est le résultat d'un apprentissage du quotidien qui impose de classer les évènements par priorité. On retrouve exactement le même raisonnement en informatique lorsque l'on conçoit une interface graphique, parce que nous ne savons pas comment faire autrement ! Nous raisonnons surtout en tâches, pardon, en monotâche, quand il est possible d'exploiter le multitâche. Notre conscience est nettement moins limitée qu'on le croit, mais nous avons pris l'habitude de la brider par un certain nombre de croyances qui nous empêchent réellement d'exploiter tout son potentiel. L'inverse est vrai aussi. Pourtant, nous sommes journellement en capacité de briser nos interdictions, il suffirait simplement d'étudier un peu mieux notre façon de penser, nos rêves et ce qu'il se passe dans nos relations avec les autres. Par ailleurs, la pensée a forcément une bonne raison d'être ludique et de conserver une trace de son fonctionnement. Elle affecte déjà notre perception de la réalité, même si nos résistances nous empêchent d'imaginer qu'elles puissent réellement agir sur notre quotidien. Mais surtout, nous désirons tout de même que nos scenarii affectent d'autres personnes et l'environnement tout entier. Et c'est souvent le cas.
Lorsque quelqu'un utilise sa voix, il se peut que l'on se rende compte que l'information s'accompagne de sensations qui complètent les propos de la personne. D'abord ressenti comme une intuition, il est également possible de pénétrer carrément dans l'esprit de la personne pour suivre en même temps que lui la scène qu'il nous décrit. Avec de l'expérience et son utilité, il peut même être commode d'extraire une information qui n'a été dite à aucun moment. D'ordinaire, nous ne faisons pas cela consciemment, mais l'information a tout de même pu être perçue fortuitement. Cela signifie du reste que nous faisons de même avec les autres ! Pour ma part, même s'il m'arrive de bloquer mes pensées dans des circonstances que je donnerai ailleurs, je ne vois sinon aucun intérêt à cacher mes pensées.
Nous recevons continuellement de l'information. C'est d'ailleurs ainsi que nous savons que nous sommes dans les pensées de quelqu'un d'autre ; dans un premier temps, il s'agira toujours d'émotions, d'attentes, bref de sentiments. Si ce contact est établi consciemment, il est alors possible de suivre ce dialogue intérieur en simultané et parfois sans qu'on l'ait demandé. C'est en cherchant à m'en défaire que j'ai découvert certaines fonctionnalités que je vais expliquer maintenant. C'est au cours de ces échanges à distance que je pense avoir découvert la vraie nature de ces connexions psychiques ; celles-ci s'effectueraient apparemment à l'aide d'un fil pas plus gros qu'un cheveux, la plupart du temps tendu, arrimé à hauteur de poitrine pour chacun des individus (et parfois ailleurs sur le corps), et à l'aide duquel des informations s'échangeraient. Non, ce n'est pas tiré par les cheveux ! Malgré la distance de plusieurs centaines de kilomètres (et même de milliers de kilomètres), il n'y aurait pas non plus de difficulté à pénétrer dans l'esprit des personnes et comprendre exactement ce qu'elles ressentent. Il n'y a au début qu'un temps d'attente de quelques nanosecondes à 2 ou 3 secondes en fonction de la distance. J'ai constaté que ce lien continuait d'exister même avec les morts. J'ai vu qu'il était possible de le rompre consciemment. Une fois coupé, le lien peut néanmoins se reconstituer peu de temps après. La rupture est définitive lorsque les deux individus l'ont décidé. Le plus intéressant dans tout ça, c'est que la transmission de pensée n'est freiné par aucune matière (bien que je ne sois jamais allé en sous-marin) et qu'elle est capable de compresser la distance comme si elles n'existaient pas. Si la plupart du temps, nous ignorons que nous sommes reliés les uns aux autres, différents indices permettent de soupçonner que cela fonctionne comme le téléphone. Un lien en apparence inactif, reste totalement opérant, et selon l'attachement que nous avons avec l'individu, nous pouvons être avertis immédiatement quand il lui arrive quelque chose. Je suis sûr que ça vous est déjà arrivé !
Nous recevons continuellement de l'information. C'est d'ailleurs ainsi que nous savons que nous sommes dans les pensées de quelqu'un d'autre ; dans un premier temps, il s'agira toujours d'émotions, d'attentes, bref de sentiments. Si ce contact est établi consciemment, il est alors possible de suivre ce dialogue intérieur en simultané et parfois sans qu'on l'ait demandé. C'est en cherchant à m'en défaire que j'ai découvert certaines fonctionnalités que je vais expliquer maintenant. C'est au cours de ces échanges à distance que je pense avoir découvert la vraie nature de ces connexions psychiques ; celles-ci s'effectueraient apparemment à l'aide d'un fil pas plus gros qu'un cheveux, la plupart du temps tendu, arrimé à hauteur de poitrine pour chacun des individus (et parfois ailleurs sur le corps), et à l'aide duquel des informations s'échangeraient. Non, ce n'est pas tiré par les cheveux ! Malgré la distance de plusieurs centaines de kilomètres (et même de milliers de kilomètres), il n'y aurait pas non plus de difficulté à pénétrer dans l'esprit des personnes et comprendre exactement ce qu'elles ressentent. Il n'y a au début qu'un temps d'attente de quelques nanosecondes à 2 ou 3 secondes en fonction de la distance. J'ai constaté que ce lien continuait d'exister même avec les morts. J'ai vu qu'il était possible de le rompre consciemment. Une fois coupé, le lien peut néanmoins se reconstituer peu de temps après. La rupture est définitive lorsque les deux individus l'ont décidé. Le plus intéressant dans tout ça, c'est que la transmission de pensée n'est freiné par aucune matière (bien que je ne sois jamais allé en sous-marin) et qu'elle est capable de compresser la distance comme si elles n'existaient pas. Si la plupart du temps, nous ignorons que nous sommes reliés les uns aux autres, différents indices permettent de soupçonner que cela fonctionne comme le téléphone. Un lien en apparence inactif, reste totalement opérant, et selon l'attachement que nous avons avec l'individu, nous pouvons être avertis immédiatement quand il lui arrive quelque chose. Je suis sûr que ça vous est déjà arrivé !
Dans un autre registre, les souvenirs que nous partageons avec d'autres personnes suivent à peu près de la même méthode. Un souvenir débute habituellement sur la base d'une copie fidèle dans ses moindres détails d'une scène de vie courante que l'on a vécu. Elle intègre tous les éléments du décors visuels, sonores et perceptifs présent à cet instant. Elle associe de la même façon tous les individus, physiquement ou non (au téléphone par exemple) qui ont assisté à cet évènement, sans oublier leurs propos, leur attitude et ce qu'ils font à cet instant-là. C'est à partir de cet enregistrement que sera construit éventuellement un scénario alternatif qui fera par exemple dire ou faire autre chose à son interlocuteur. En l'occurrence, j'ai souvent constaté qu'un échange avait réellement lieu entre les intéressés, même si celui-ci se situe dans notre tête, ce qu'on attribue actuellement à de la réflexion, sans croire un seul instant que cet échange à réellement lieu. Dans une autre sujet, je discuterai de quelle façon s'articulent les luttes psychiques entre nos semblables. Pour le moment, sachez que ces luttes psychiques sont intéressantes à étudier, car nous faisons souvent beaucoup d'effort pour les gérer mentalement dans le seul but de réduire au minimum l'énergie que nous aurions à dépenser dans le cas contraire. L'emploi de ces scénarii intellectuels sont très précieux parce qu'ils permettent de résoudre toutes sortes de difficultés avant qu'ils ne deviennent incontournables, à une situation de connaître un dénouement, un compromis et une finalité parfois différente de celle qu'on imaginait. Habituellement, je soupçonne que lorsque la conflit explose, c'est qu'aucune autre solution n'a pu être trouvée par cet échange simultané d'arguments. Cependant, dans le cas d'un lutte de pouvoir, par exemple, la solution « à l'amiable » ne sera pas la plus fréquemment employée. Dans ce genre de scénario, toutes les mises en scène sont élaborée pour sauvegarder le plus d'énergie possible ; elle n'exclut donc pas le meurtre virtuel qui aura souvent pour conséquence d'affaiblir réellement son adversaire. Tous ces scénarii seront bien sûr soigneusement mémorisées et laisseront une trace dans l'aura pour d'autres éventuels adversaires.
L'accès aux souvenirs peut être immédiats, retardés ou simplement oubliés. On ne sait actuellement pas sur quel support ces souvenirs sont stockés, ni pourquoi il est permis de les retrouver dans les annales Akashiques. On y trouve en l'occurrence, une information individuelle qui conserve toute notre existence sous forme de scenarii et l'information collective qui a touché notre espèce à un moment de son histoire. D'autres informations individuelles parfois sans lien avec nous-même sont également accessible, mais elles sont tout de même plus difficile à recueillir. J'en parlerai un peu plus dans un autre article. Ceci dit, si les mêmes fonctions de lectures, la même qualité du rendu, les mêmes facilités à créer un scénario alternatif, s'observent là encore, c'est qu'à fortiori il existe un lien privilégié entre notre conscience et cet espace de stockage. En d'autres termes, nous pourrions être une partie essentiel de ce support de stockage métaphysique, (ou méta quelque chose), bien connu des anciens, facilement identifiable, bien que difficile d'accès, et reliés tous ensemble à cela. Partant de cette observation, il n'est être plus tout à fait nécessaire de préciser que la transmission de pensée ne se situe pas au niveau du plan physique, mais dans cet espace où toutes les consciences sont en relations les unes avec les autres. D'ailleurs, à l'intérieur de cet espace, il n'y a pas de difficulté à communiquer par la pensée. C'est même le seul langage que je connais. Le problème, c'est que nous ne l'avons pas développé de façon aussi naturel dans notre quotidien. L'option est là et il est possible de l'utiliser. Mais tant que le langage vocal sera prédominant dans nos interactions sociale, la télépathie restera secondaire. Si nous parvenons a comprendre avec suffisamment de lucidité que notre conscience est temporairement liés à notre corps psychique, et que notre conscience appartient vraisemblablement à une autre dimension qui n'est pas celle du corps physique, alors il se peut en effet que nous développions assez de conscience pour comprendre enfin l'intérêt de l'exploration de notre environnement.
L'accès aux souvenirs peut être immédiats, retardés ou simplement oubliés. On ne sait actuellement pas sur quel support ces souvenirs sont stockés, ni pourquoi il est permis de les retrouver dans les annales Akashiques. On y trouve en l'occurrence, une information individuelle qui conserve toute notre existence sous forme de scenarii et l'information collective qui a touché notre espèce à un moment de son histoire. D'autres informations individuelles parfois sans lien avec nous-même sont également accessible, mais elles sont tout de même plus difficile à recueillir. J'en parlerai un peu plus dans un autre article. Ceci dit, si les mêmes fonctions de lectures, la même qualité du rendu, les mêmes facilités à créer un scénario alternatif, s'observent là encore, c'est qu'à fortiori il existe un lien privilégié entre notre conscience et cet espace de stockage. En d'autres termes, nous pourrions être une partie essentiel de ce support de stockage métaphysique, (ou méta quelque chose), bien connu des anciens, facilement identifiable, bien que difficile d'accès, et reliés tous ensemble à cela. Partant de cette observation, il n'est être plus tout à fait nécessaire de préciser que la transmission de pensée ne se situe pas au niveau du plan physique, mais dans cet espace où toutes les consciences sont en relations les unes avec les autres. D'ailleurs, à l'intérieur de cet espace, il n'y a pas de difficulté à communiquer par la pensée. C'est même le seul langage que je connais. Le problème, c'est que nous ne l'avons pas développé de façon aussi naturel dans notre quotidien. L'option est là et il est possible de l'utiliser. Mais tant que le langage vocal sera prédominant dans nos interactions sociale, la télépathie restera secondaire. Si nous parvenons a comprendre avec suffisamment de lucidité que notre conscience est temporairement liés à notre corps psychique, et que notre conscience appartient vraisemblablement à une autre dimension qui n'est pas celle du corps physique, alors il se peut en effet que nous développions assez de conscience pour comprendre enfin l'intérêt de l'exploration de notre environnement.
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