Réponses sur la fatigue du magnétiseur
Texte modifié le 14 avril 2012,
Texte enrichi le 05 novembre 2017
Texte enrichi le 05 novembre 2017
Certains thérapeutes éprouvent une grande fatigue à pratiquer le magnétisme ; elle peut être consécutive au contact qui s’est établi entre le magnétiseur et la personne qu'il rencontre (Le terme "patient" est un terme médical réservé) ou bien après un déplacement dans un autre lieu.
Il y a plusieurs raisons que je crois possibles :
Il y a plusieurs raisons que je crois possibles :
L'individu qui se dit habituellement canal tend, selon moi, à se déresponsabiliser vis à vis de sa pratique et à se dédouaner de problèmes ou d'échecs éventuels. Certes, je ne nie pas la présence de modestes succès à travers ce moyen, mais la gageure veut que ce soit seulement pour entretenir l'intérêt de cette pratique. Aucun des pratiquants que j'ai rencontré ne veut parler ouvertement de « ses » guides, de ce qui leurs faire penser qu'ils sont honnêtes, divin ou spirituels ; il est encore plus difficile de savoir comment ces « êtres » procèdent pour obtenir un résultat. En tant que demandeur, la précision des réponses ont été inversement proportionnelle aux questions posées. Alors qu'ils sont les intermédiaires et les observateurs de cette méthode, les pratiquants se sentent incapables de la décrire clairement ou même méfiants à parler de la nature de cette intervention. Parce que bien souvent, par trop de confiance, ils n'ont pas cherché à le savoir, ils ne le savent pas ! La crainte de lever le voile sur ce secret est réel ! Le pratiquant se dit donc seulement l'intermédiaire de forces supérieures qui opèrent à sa place pour remédier aux soucis des gens ; ainsi, non seulement le téléguidage des soins se fait à distance mais sa nature sera rarement expliquée concrètement au demandeur ; elle est dite spirituelle dans un parti pris souvent imposée par ceux qui sont inconscients de la nature de leur engagement, et de ce qui ou quoi est à réellement à l'œuvre. Leur talent consiste ensuite à convaincre ou appâter les individus de leur trop grande confiance en ces forces agissantes invisibles. Je sais par expérience que ce qui œuvre n'a de divin que le nom, et que souvent on a affaire à autre chose, qui, sans être des plaisantins ou forcément de mauvaises entités (encore que ça arrive) laissent croire pendant des années au pratiquant et leurs relations que leur intervention est un acte divin. Le pratiquant tirera de son travail gratuit avec l'invisible un bénéfice qui, pour l'invisible est, selon moi, loin d'être désintéressé, imposant l'engagement de chacun sous la forme d'un contrat tacite passé entre l'invisible et le pratiquant d'un part et le pratiquant et le demandeur d'autre part. Le gain de cet engagement sur le long terme reste à déterminer, même s'il existe sur le court terme.
- l'individu se dit canal au cours de la séance :
J'ai observé lors d'une séance que l’énergie d'une personne, le sensible ou l'autre, pouvait être pompée par l’intermédiaire d’un tube situé au dessus de sa tête. Bien que ce tube et sa sensation soit reconnue par le sensible parce qu'elle s'accompagne d'une perception de quelque chose descendant dans sa tête ou inondant son corps ou une partie de son corps, je fais cette remarque parce que ce tube ne fonctionne pas à sens unique. En l'occurrence, il arrive fréquemment que ce canal soit également utilisé pour ponctionner de l'énergie. Sa perception est sans doute plus subtile à déterminer, mais ne fait aucun doute lorsque l'on arrive à distinguer le sens du flux. Il m'est arrivé de penser que c'était une façon de télécharger des données reçues de façon non consciente et involontaire par l'Invisible ; il s'ensuivait pour ma part un plus grand nombre de rêves et dans les mois suivants l'acquisition de nouvelles capacités psychiques, dont l'usage n'était pas immédiatement utile, mais justifiant une compréhension lente et progressive. Je crois, dans une observation plus stricte faisant la part belle à un télé guidage, qu'un contrôle de l'esprit (mind control) serait à souligner ici, même s'il est perçu par l'individu comme une expérience positive. En effet, nous ne savons pas quel genre de données nous recueillons et enregistrons à travers ce tube dans notre esprit. Sa source même est assez confuse, l'opérateur ou ce qui lui tient lieu d'espace dimensionnel ne se laissant pas facilement observer. Le libre arbitre est perçue de façon diminuée lorsque l'on résiste ou refuse le contact du tube. Si l'on laisse faire, la fatigue consécutive peut signifier une résistance physique interne à une surcharge due à l'accumulation de donnée qu'il faut maintenant "digérée".
- l'individu sait qu'il n’est pas "canal" au cours de la séance ;
La fatigue observée peut être consécutive à un problème d’ancrage, de centrage avec soi-même ou de centrage des Chakra, et enfin de perturbations de l'aura, dans environ 90 % des cas. Cet état d'être et de déséquilibre énergétique est un problème qui cherchera naturellement à s'harmoniser au contact de l'autre. Lors d'une séance, il se produit fréquemment un phénomène de vase communiquant :
- Une personne fatiguée observe un véritable gain extra-ordinaire d'énergie. Le pratiquant ressent un épuisement.
- Deux personnes fatiguées tendent à équilibrer leur fatigue jusqu'à un mieux qui n'a pas extraordinaire.
La fatigue connue par le patient est, selon moi, déterminée par le besoin en énergie que l'usage des perceptions psichiques du thérapeute nécessite pour résoudre une problématique précise. Elle persiste chez lui un certain temps lorsqu'un travail en profondeur est nécessaire.
- Une personne fatiguée observe un véritable gain extra-ordinaire d'énergie. Le pratiquant ressent un épuisement.
- Deux personnes fatiguées tendent à équilibrer leur fatigue jusqu'à un mieux qui n'a pas extraordinaire.
La fatigue connue par le patient est, selon moi, déterminée par le besoin en énergie que l'usage des perceptions psichiques du thérapeute nécessite pour résoudre une problématique précise. Elle persiste chez lui un certain temps lorsqu'un travail en profondeur est nécessaire.
- soit le lieu dans lequel le thérapeute se situe est de vibration différente de la sienne ;
La nature du lieu peut peser sur une individu de différente façon : une sensation de lourdeur finit peu à peu par apparaître dans certains lieux dont l'origine est à chercher dans le sous-sol, les murs, un bibelot, un meuble ; une sensation d’aspiration de son énergie est parfois présente. Le fait de ressentir quelque chose peut permettre de découvrir la porosité ou une déchirure dans son aura. L’un et l’autre ont souvent une origine psychologique ou ont été l'objet d'une attaque à distance. Enfin, l’environnement immédiat peut être rendu responsable en raison de sa qualité vibratoire qui modifie la qualité de l’aura de l’individu ; elle n’atteint alors pas exclusivement les magnétiseurs, mais toutes les personnes ayant une sensibilité quelconque.
- soit c’est un autre phénomène de vampirisme actif ou passif
La personne qui consulte (prenons ce cas pour commencé) peut être connectée à une entité par un tube situé au dessus de la tête, ou encore avoir besoin d’énergie s’il est fatigué. Il se peut aussi que l'accompagnant vampirise consciemment son entourage par l’attention qu'il attire à lui parce qu'il n'est pas le centre d'intérêt (narcissique en tête). Un objet porté et maléficié peut également en être responsable. Une entité peut profiter de la séance pour faire le plein d'énergie.
Si une courte sieste rétablit les sensations - ce qui est généralement le cas - tout va bien : il n’est pas forcément évident d’être toujours attentif au vampirisme énergétique. On peut s'en apercevoir après coup seulement. Si le repos ne suffit pas, cela signifie que quelque chose s'est collé à son enveloppe énergétique ; elle s'y introduit rarement, mais le cas n'est pas à exclure. De même, il est préférable de remettre sa certitude à plus tard si l'on se croit protégé par des prières, des objets religieux, des artefacts, des pierres. En tant que radiesthésiste, il m'arrive de questionner le type de phénomène en présence, afin d'identifier plus précisément le phénomène et faire en sorte de m'en débarrasser. Ce n’est pas trop compliqué habituellement.
mise à jour 28 février 2011:
L’une de mes amies médium m’a également soumis l’idée que la fatigue pouvait être la conséquence d’une détournement de l’énergie pour alimenter un égrégore : elle nomme cela, la « mystification de l’esprit ». Compte tenu que beaucoup d’égrégores puissants existent, il n'est pas vain de savoir si l'on en est la victime. Leurs présences précisent l'action de commanditaires qui peuvent être humains ou non. D'autre part, il n'est pas rare de gêner par nos mots ou nos pensées quelques groupuscules sectaires qui voient d'un mauvais œil l'étalage de vérités qui les irrite. Sur ce sujet, il s'agit d'avancer prudemment, car il vaut mieux ne rien tenter de contrariant si l'on ne connaît pas parfaitement le problème suggéré, ainsi que les moyens de s'en défendre. Le voile
mise à jour 16 avril 2011 :
Elle avait raison ! La présence du tube se caractérise par une sensation plus ou moins forte de pression ressentie sur le dessus du crane ; la couleur blanc-bleuté visible à cet endroit est en rapport avec le 7e Chakra (violet), le tube n’est visible qu’en plaçant son regard dans ce Chakra à une "hauteur de 20 cm environ" ; un bulbe, au niveau de l’hypophyse, sert à la connexion. Le tube ou fil est alors visible dans une teinte légèrement plus foncée (pas flagrant cependant), se perdant "dans les nuages" : dans ces hauteurs, ce fil peut ensuite apparaître argenté/gris ou doré selon le genre de connexion, sans brillance particulière. Le tube, chez le néophyte atteint peut être épais comme un cheveux, et atteindre un diamètre d’environ 20 mm lorsque l’individu branché détient une certaine somme de connaissance. Le fil est apparemment connecté à une grille ou treillis. Selon le type de treillis et le type de pensée (croyances) auquel l’individu est connecté, il y a pratiquement toujours un égrégore pour répondre à ses besoins. Tant que l’égrégore est satisfait de sa connexion avec l’individu, elle l’instruit d’un certain nombre de connaissances ; si de part sa volonté d’apprendre l’individu cherche ensuite à se distinguer par les connaissances qu’il a acquise, l’égrégore tente alors de le convaincre par tous les moyens de renoncer à se libérer de son emprise. Le bénéfice d’être canal est proportionnel au désir de l’individu à se remettre en question ; le piège qui lui est tendu consiste à lui faire croire qu'il perdrait peut être sa capacité à vivre sans les dons ou sans les capacités qu'on lui donné, et qu'il a acquis par ce seul moyen, et de ne plus évoluer ensuite. Elle mène loin cette histoire...
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