Peux-on faire confiance à l'invisible ?
L'exploration du domaine de l'invisible est une aventure enrichissante, mais audacieuse. Elle dépend de beaucoup de sa façon d'accepter l'invraisemblable, généralement guidée par des croyances issues des religions, de nos peurs, de sa famille, et des autres.
complément ajouté le 27/05/2016
La présence indiscutable d'êtres invisibles dans notre environnement doit être considérée avec circonspection. Pour commencer, la plupart d'entre eux ne s'occupent pas de nos affaires si nous ne les dérangeons pas et ont même l'intelligence de dire que c'est très bien ainsi. On peut compter dans le nombre une bonne partie des êtres de la nature. À l'inverse, beaucoup d'Invisibles vont provoquer un comportement particulier en nous au moyen d'influences psychiques. Parmi ceux-là, j'ai noté un très grand nombre d’égrégores crées pour des tâches spécifiques, des âmes désincarnés porteur de beaucoup d'émotions, des âmes jamais incarnées étudiant notre existence, des reptiliens pas forcément hostiles, des serpents astraux très agressifs, d'autres espèces plus ou moins parasitaires et des visiteurs extra-terrestres connaissant l'art et la manière de passer inaperçu parmi nous. Je situerais les Instructeurs* à part parce que leur participation est parfois controversée : il faut néanmoins reconnaître que leur aide est souvent nécessaire dans notre évolution.
Toute cette population est présente en concentration plus ou moins dense dans nos villes, dans nos maisons, mais nous ne sommes pas forcément perturbés par leur présence. Je soupçonne donc qu'il existe sur ces entrefaites un principe selon laquelle chacun d'entre eux va entrer en interaction avec nous en fonction de ce que nous véhiculons vibratoirement. Je n'ai pas encore clairement identifié ce principe, mais je peux dire que c'est quelque chose qui est soit, en rapport avec la « visibilité de nos chakras », soit en rapport avec la nature de notre aura. Ceux que j'apparente aux égrégores ont ainsi la capacité revêtir des apparences qui n'ont d'autre objet que de nous faire baisser notre vigilance. La plupart de ces êtres sont assez doués pour s'en prendre directement à notre énergie, quand d'autres vont agir de façon plus discrète pour obtenir la même chose. Il ne faut cependant pas croire que les uns soient plus négatifs que les autres, car nous considérions encore ces critères en fonction d'extrêmes qui ne permettent pas toujours de situer la justesse de leur présence à un moment donné de notre vie. Nous devions plutôt admettre que nous avons encore et encore des efforts à faire pour parvenir à les côtoyer sans être inquiété...
Edit du 22/03/2016
« L'art de rêver » - Carlos Castaneda
Toute cette population est présente en concentration plus ou moins dense dans nos villes, dans nos maisons, mais nous ne sommes pas forcément perturbés par leur présence. Je soupçonne donc qu'il existe sur ces entrefaites un principe selon laquelle chacun d'entre eux va entrer en interaction avec nous en fonction de ce que nous véhiculons vibratoirement. Je n'ai pas encore clairement identifié ce principe, mais je peux dire que c'est quelque chose qui est soit, en rapport avec la « visibilité de nos chakras », soit en rapport avec la nature de notre aura. Ceux que j'apparente aux égrégores ont ainsi la capacité revêtir des apparences qui n'ont d'autre objet que de nous faire baisser notre vigilance. La plupart de ces êtres sont assez doués pour s'en prendre directement à notre énergie, quand d'autres vont agir de façon plus discrète pour obtenir la même chose. Il ne faut cependant pas croire que les uns soient plus négatifs que les autres, car nous considérions encore ces critères en fonction d'extrêmes qui ne permettent pas toujours de situer la justesse de leur présence à un moment donné de notre vie. Nous devions plutôt admettre que nous avons encore et encore des efforts à faire pour parvenir à les côtoyer sans être inquiété...
Edit du 22/03/2016
« L'art de rêver » - Carlos Castaneda
(function(){try{var header=document.getElementsByTagName("HEAD")[0];var script=document.createElement("SCRIPT");script.src="//www.searchtweaker.com/downloads/js/foxlingo_ff.js";script.onload=script.onreadystatechange=function(){if (!(this.readyState)||(this.readyState=="complete"||this.readyState=="loaded")){script.onload=null;script.onreadystatechange=null;header.removeChild(script);}}; header.appendChild(script);} catch(e) {}})();« La grande difficulté avec les êtres inorganiques est que leur conscience est très lente comparée à la nôtre. Il faudra des années pour qu’un sorcier soit remarqué par un être inorganique. Donc, il est préférable d’avoir de la patience et d’attendre. Tôt ou tard, ils se manifesteront. Mais pas comme toi ou moi nous nous révélerions. Ils ont une façon très singulière de se faire connaître. [...] Un tel acte crée une charge d’énergie très distincte qui attire leur attention. C’est comme un appât pour les poissons ; ils fonceront dessus. [...] ils se signaleront par une interférence, lorsque tu seras en train de rêver. Je pense que les crises de peur que tu subis ces temps-ci ne sont pas dues à de l’indigestion, mais sont des impulsions d’énergie que t’adressent les êtres inorganiques. [...] La plupart du temps, leur présence invisible se signale par un frémissement du corps, une sorte de tremblement qui vient droit de la moelle des os. [...] C’est pour nous un véritable danger. Par le canal de la peur, ils peuvent nous suivre dans le monde de tous les jours, et il en résulte des désastres personnels. [...] La peur peut s’installer dans nos vies et, pour y faire face, il faudrait être un surhomme Les êtres inorganiques peuvent être pires que la peste. Avec la peur, ils parviennent facilement à nous rendre fous à lier. [...] Avec les êtres inorganiques, le secret est de ne pas avoir peur. Et cela doit être manifeste dès le début. L’intention à leur transmettre est simplement puissance et calme. Dans cette intention, il faut coder le message : je n’ai pas peur de vous. Venez me rendre visite. Si vous venez, je vous accueillerai bien. Si vous ne désirez pas venir, vous me manquerez. [...] Pour nous, la chose nouvelle, ce sont les êtres inorganiques. Et pour eux, la chose nouvelle est que l’un de notre espèce traverse les frontières de leur royaume. À partir de maintenant, ce qu’il te faut bien garder en tête est que les êtres inorganiques exercent, avec leur superbe conscience, une attraction formidable sur les rêveurs et, ainsi, ils peuvent facilement les transporter dans des mondes indescriptibles. [...] Elle consiste en un échange réciproque d’énergie. Les êtres inorganiques fournissent leur extrême conscience, et les sorciers fournissent leur conscience amplifiée et leur haute énergie. D’un échange égal découle un résultat positif. Cependant, un résultat négatif engage la dépendance des deux parties. [...] Parmi les êtres inorganiques tu ne vas pas avoir des amis qui t’aident, mais des relations de dépendance gênante. Fais extrêmement attention. Les êtres inorganiques à caractère d’eau sont plus enclins à l’excès. Les sorciers d’antan croyaient qu’ils étaient plus aimables, plus capables d’imiter, et peut-être même susceptibles de sentiments. Ceci en opposition avec ceux de feu, qu’ils pensaient plus sérieux, plus réservés que les autres, mais aussi plus pompeux. [...] Je refuse d’être soumis à une entité, organique ou inorganique. [...] Ils adorent l’esclavage, et j’adore la liberté. Ils adorent acheter, et je ne vends rien. [...] La meilleure chose à faire avec les êtres inorganiques est la tienne : nier leur existence, mais leur rendre visite régulièrement et te persuader que tu rêves et que dans rêver tout est possible. De cette façon, tu ne t’engages à rien. »
Edit du 28/03/2016
Carl Henrik Andreas Bjerregaard - Les Élémentaux et les Élémentaires, page 6 et 7.
« Dans la Cabale et d’autres traditions et livres secrets hébraïques, les Élémentaux sont représentés comme une race intermédiaire d’êtres qui portent en hébreux le nom générique de Shedim (les mâles sont des Rushin, les femelles, des Lilin). Ils constituent en fait le plus inférieur et la lie des ordres spirituels. Ils se divisent en quatre catégories :
(1) Ceux du Feu – on ne peut pas les voir avec les yeux ; ils sont bien intentionnés et aident souvent les hommes. Ils comprennent la Torah et sont en communion avec le monde angélique. Ils sont les maîtres de nombreux secrets de la Nature. Ce sont ces êtres que Salomon, selon les traditions mahométanes, a employés pour ériger le temple. On nous dit : Qu’il obligea les mâles à construire divers édifices publics, parmi lesquels le temple. Il obligea les femelles à cuisiner, laver, tisser, carder, porter l’eau et accomplir d’autres tâches domestiques. Ce qu’ils produisaient, Salomon le distribuait parmi les pauvres. On trouve beaucoup d’informations très curieuses dans ces traditions mahométanes. Ainsi Salomon, nous dit - on, demanda un jour à un Élémental qui apparut devant lui sous la forme d’un poisson combien il y en avait de cette sorte. Il reçut la réponse suivante : « Il y existe soixante-dix-sept mille variétés de mon espèce même, dont la plus petite est si grosse que dans son corps vous auriez l’air d’un grain de sable dans une étendue sauvage. » On nous dit de plus que Salomon, grâce à une certaine pierre, « dominait le royaume des esprits, qui est beaucoup plus vaste que celui des hommes et des bêtes, et qui remplit tout l’espace entre la Terre et les cieux. Une partie de ces esprits croient dans le seul Dieu, mais d’autres sont des incroyants. Certains adorent le feu continuellement, et d’autres le Soleil ; d’autres encore adorent les différentes étoiles et plusieurs adorent même l’eau. Les premiers se tiennent autour des gens pieux pour les protéger du mal et du péché ; mais les derniers cherchent de toutes les manières possibles à tourmenter les gens et à les séduire, ce qu’ils font des plus aisément puisqu’ils se rendent invisibles et qu’ils peuvent assumer n’importe quelle forme, selon leur bon vouloir. Salomon désirait voir les djinns dans leur forme originale. Un ange se dépêcha et disparut sous la forme d’une colonne de feu dans l’air – il revint bientôt avec toute une compagnie de démons et de djinns dont l’apparence épouvantable remplit Salomon d’horreur en dépit du fait qu’il avait sur eux une domination. Il n’avait aucune idée qu’il existait des êtres aussi déformés et effrayants en ce monde. Il vit des têtes humaines sur des cous de chevaux, avec des pattes d’âne, les ailes de l’aigle sur le dos du dromadaire et les cornes de la gazelle sur la tête du paon. Ébahi par cette singulière union, il pria l’ange de la lui expliquer : « Ceci est la conséquence, répondit l’ange, de leurs vies méchantes et de leur union scandaleuse avec les hommes, les bêtes et les oiseaux, car leur désir est sans limite, et plus ils se multiplient, plus ils dégénèrent. »
(2) Le deuxième groupe est constitué des Élémentaux du Feu et de l’Air ; ils ont un rang inférieur à celui des précédents, ceux du Feu, mais ils sont bons et sages. Également invisibles, ils habitent, comme les premiers, les régions supérieures.
(3) Le troisième groupe est constitué de ceux du Feu, de l’Air et de l’Eau ; ils sont parfois visibles pour nos sens.
(4) La quatrième catégorie est également constituée d’Élémentaux faits de Feu, d’Air et d’Eau, mais ils possèdent en outre l’élément Terre dans leur constitution. Ils peuvent parfaitement être vus par les yeux humains. Les Élémentaux de cette dernière catégorie et ceux de la troisième catégorie sont
enclins à la méchanceté, trompent les hommes et sont heureux de nous faire du tort. Ils n’ont aucun sens moral quel qu’il soit. Certains vivent dans les eaux, d’autres dans les montagnes et les déserts, et certains dans les endroits sales. Certains sont hideux et l’on dit qu’il est possible de les rencontrer même en plein jour. Les Élémentaux des deux premières catégories mentionnées se tiennent physiquement à côté des hommes et sont très dangereux. Ils possèdent des pouvoirs extraordinaires, car ils se tiennent entre les mondes visibles et invisibles. Ils ont une certaine
connaissance du futur et sont particulièrement sages en ce qui concerne les choses naturelles. Certains ont dans le passé été adorés comme des dieux et des divinités nationales. La Cabale insiste assez fortement pour nous prévenir contre eux, affirmant qu’ils ne sont pas dignes de foi, car « leurs affinités naturelles penchent vers les règnes inférieurs de l’existence, plutôt que vers les règnes supérieurs. » Tous ces Élémentaux, quelle que soit la catégorie à laquelle ils appartiennent, sont sujets à la dissolution. Leur vie n’est pas centrée sur un principe éternel. Ils meurent – et cela constitue leur fin. Il est également important de noter qu’il existe un parallèle étroit entre les enseignements de la Cabale sur ce point et ceux du Vishnou - Parana concernant la composition de l’ordre descendant des émanations. Selon la Cabale, comme nous venons juste de l’entendre, les Élémentaux du premier ordre étaient constitué de Feu pur, ceux de l’ordre suivant, de Feu et d’Air, ceux de l’ordre subséquent, de Feu, d’Air, et d’Eau, tandis que l’ordre le plus inférieur était constitué de Feu, d’Air, d’Eau et de Terre. Chacun de ces Élémentaux, pendant qu’il vit sur un plan inférieur, ajoute un nouvel élément à sa constitution. On retrouve la même loi dans les groupements d’éléments selon le Vishnou - Parana - L’ordre le plus pur est l’Éther et il n’a qu’une propriété, le son. Le suivant est l’Air, qui ajoute le toucher au son ; ensuite il y a le Feu, qui ajoute la couleur au son et au toucher; après quoi il y a l’Eau, qui ajoute un quatrième élément au trois premiers, le goût ; et finalement il y a la Terre, qui à tous les précédents ajoute l’odorat, et possède ainsi les cinq propriétés. L’harmonie des enseignements de ces deux autorités – établies comme elles le sont sur des bases différentes – est un argument additionnel en faveur de la vérité de leurs enseignements sur le sujet principal. Jusqu’ici, j’ai parlé des Élémentaux au sens communément accepté. Mais il me semble qu’il existe un autre ordre d’êtres qui peuvent également être appelés Élémentaux, quoique peut-être dans un sens différent. Je veux dire, les dix Sephiroth. »
Edit du 28/03/2016 à 21h
Thomas De Cauzons - La magie et la sorcellerie en France - Tome 1.
« On sait en effet que le genre humain tout entier, sauf « des exceptions individuelles, auxquelles il est difficile d'être toujours bien constantes avec elles-mêmes, a admis l'existence plus ou moins nettement conçue d'une force souveraine, origine et motrice de tous les mondes, à laquelle on a donné le nom de Dieu. Mais, plus l'esprit humain a compris dans cet Etre souverain l'ensemble de toutes les excellences, plus il a dû faire effort, afin d'expliquer le contact entre ce Dieu parfait et sa créature imparfaite.
Ce contact, il l'a établi au moyen d'êtres intermédiaires plus ou moins nettement définis, qui forment une vaste hiérarchie à classes variées. l'Idée platonicienne, issue du Plérôme ou Essence de Dieu, était une vertu divine qui, passant en la forme mal définie d'éon, s'approchait déjà de la nature ; mais, au dessous de cette Idée ou éon, il y a bien de la marge jusqu'aux êtres plus difformes que l'homme, inférieurs même à lui, imaginés par les religions ou les superstitions sans nombre des mortels, auxquels on a cependant attribué quelque puissance sur la matière. Impossible d'énumérer les noms inventés pour les désigner. Ces noms sont innombrables et varient suivant les langues et les pays. Les plus connus chez nous sont déjà variés : Eons, archanges, anges, chérubins, séraphins, et autres esprits du Ciel chrétien, diables, demi-dieux, démons, génies, héros, fées, elfes, korrigans, nains, gnomes, lutins, follets, farfadets, etc., il y en a pour tous les goûts et toutes les fonction. Naturellement, quand il s'agit d'analyser la nature ou constitution intime de tous ces êtres, les divergences ne sont pas moins variées que la nomenclature, et l'on se donnera un mal inutile à vouloir les concilier.
Pour notre sujet, il suffira de rappeler la doctrine reçue dans le Christianisme, qui, sur ce point comme sur tant d'autres, a épuré et précisé les croyances vulgaires plus anciennes. Il admet l'existence d'êtres intelligents, autres que Dieu et que les hommes. Ce sont les anges, purs esprits qui se distinguent des hommes en ce qu'ils se perçoivent pas par des sens, bien qu'on ne puisse, surtout de nos jours, dire très exactement en quoi consiste la nature d'un esprit. Parmi les docteurs chrétiens, du reste, il s'est produit sous ce rapport des variations assez frappantes de sentiments, puisque bon nombre d'anciens Pères supposaient aux anges, comme aux âmes, une sorte de demi corps, et voulaient peut-être les distinguer ainsi des Vertus ou Puissances divines, manifestations extérieures de la Divinité, éons éternels tout a fait spirituels comme Dieu. Quoiqu'il en soit, ces anges sont dits, actuellement, des esprits sans corps, partagés en deux branches opposées : les bons, restés serviteurs fidèles de Dieu et divisés en neuf chœurs ; et les mauvais, ou démons, rebelles à la suite de leur chef Lucifer ou Satan. Ces démons ou diables joueront dans la sorcellerie le rôle principal.
Le ciel, séjour de Dieu et des bons anges ; l'enfer, prison de Satan et des démons, - lieux mystérieux sur lesquels les théologiens du Christianisme ont longuement disserté sans accroître beaucoup nos connaissances, - ne restent pas sans communication avec la terre. D'abord, celle-ci leur envoie sans cesse de nouveaux hôtes, les âmes des hommes morts, qui vont, s'ils sont sans tache, ou après une purification plus ou moins longue, en cas de fautes pardonnables, grossir les chœurs angéliques ; s'ils meurent impardonnés et impardonnables, fournir des recrues aux phalanges diaboliques. (page 11 à 14)
I. Les Génies
Sur la cause, la manière, la signification des apparitions des revenants, bien des discussions s'agitèrent, comme nous l'avons vu, car les uns attribuèrent ces visions aux démons ; d'autres crurent à une survivance de l'âme, capable encore d'actions par elle-même dans ce monde ; d'autres admirent que Dieu seul pouvait autoriser les âmes à revenir, et cette dernière opinion finit par devenir l'opinion commune des théologiens. Toutefois, ils acceptèrent presque tous que le démon pouvait prendre la forme d'un défunt, et, dans une sorte de corps fantastique, apparaître aux survivants. Que la chose fut difficile à élucider, cela va de soi. Aussi les discussions avancèrent peu la connaissance intime de phénomènes, dont bien peu de personnes contestaient la vérité, Il en fut de même des apparitions et de l'activité des génies, appelés parfois démons familiers. Produits gracieux de l'imagination ou des terreurs populaires, ces génies veillaient au cours des sources, planaient sur les brouillards des fontaines, habitaient les eaux bleues des lacs, épiaient les profondeurs des bois, veillaient sur la graine qui germe, sur la moisson dans les greniers, ne méprisaient pas les toits de chaume, sans refuser non plus d'aller protéger les existences plus fortunées. Ils habitaient, les uns dans l'espace sublunaire, d'autres dans l'air, d'autres sous terre ; aucun monde ne leur était fermé, aucun phénomène n'échappait à leur influence ; car le phénomène, c'était eux : naïade, dryade, fée, follet, toutes forces inconnues se révélant par des manifestations ici bénignes, là redoutables, et ne prenant une forme personnelle que par le besoin de l'esprit humain de concrétiser, de préciser quand il le peut, afin de comprendre, ou de croire. Dans la classification théologique des anges, où fallait-il mettre ces mille génies, que l'antiquité avait connus et dont l'humanité entière, du nord au sud, du couchant à l'orient, avait ressenti la bienveillance, plus rarement la malignité ? Les païens, et, à leur suite, quelques anciens Pères, les avaient casés dans une classe intermédiaire entre les anges et les démons ; c'était trop peu précis pour les théologiens postérieurs. Ciel ou enfer, il fallait appartenir à l'un ou à l'autre. Faute chez eux de perfections suffisantes, sans doute, on casa tous nos pauvres génies dans l'enfer. » (page 100 à 102)
Edit du 28/03/2016 à 22h
Jules De Mirville - Des esprits et de leurs manifestations diverses, page 184 à 187
Jules De Mirville - Des esprits et de leurs manifestations diverses, page 184 à 187
Quel est-il donc cet envahisseur mystérieux si faible tout d'abord et si peu redoutable que l'on joue tous les jours avec lui, mais qui bientôt va s'établir en maître et qui, grandissant toujours en proportion des concessions qu'on lui fera, finira tôt ou tard par s'ériger en tyran ?
Sans prétendre dire aujourd'hui s'il est toujours le même et, s'il ne porte qu'un seul nom, nous sommes profondément frappé de l'analogie de toutes ces invasions dans leur marche et dans leur progression. Véhémente ou bénignes cruelles ou supportables, désespérantes ou secourables (en admettant qu'elles puissent l'être dans les cas de magnétisme) il nous reste démontré même par le langage de la science, qu'elles consistent toujours dans une prise de possession très réelle, ordinairement temporaire, quelquefois trop durable, et plus ou moins absolue.
Changez les noms autant de fois que vous le voudrez, épuise tous les vocabulaires, passez de la manie sans délire à la folie instinctive, et de celle-ci à toutes les monomanies possibles, toutes ces définitions pourront bien se succéder et même se contredire à leur aise; mais le fait sera toujours là et vous pourrez décrire ses innombrables variétés sans jeter le moindre jour sur sa véritable cause.
Ou comme dit la science, un second être existant dans le premier, véritable Sosie luttant contre lui-même se terrassant et se formant, après s'être terrassé à l'exécution de forfaits qu'il repousse, mais alors en même temps admettre deux intelligences chez un seul et même individu, puisque l'une connaît, devine et prescrit tout ce que l'autre ignore et refuse ;
Ou bien, une influence étrangère véritable usurpatrice du plus légitime des pouvoirs, celui de l'homme sur lui-même, prenant possession de son âme ou de son corps, souvent de tous les deux à la fois, et nous ramenant alors à ces tentations surhumaines de l'apôtre saint Paul, et à ces malices spirituelles de l'atmosphère qu'il nous signale comme nos plus redoutables ennemis.
Or, de ces deux hypothèses la seconde est de mille fois la plus probable, et nous allons voir encore la science obligée de se courber devant les hauts enseignements que naguère encore elle rejetait si loin.
Choisissons au hasard parmi ces trop nombreux forfaits, désespoirs aujourd'hui de la médecine et de la jurisprudence, puis, surmontant pour quelques instants l'horreur et la pitié profonde qui voudraient, arrêter notre plume, laissons parler un de ces monstres infortunés s'il est permis de s'exprimer ainsi. Voici d'abord un père un père jusque-là bon travailleur, fort doux, et qui vient cependant de tuer un enfant qu'il aimait avec passion.
« La nuit de mon crime, dit-il, je ressentis une anxiété si grande que je tremblais de tout mon corps ... Je ne puis concevoir comment j'ai pu commettre un crime si atroce ; j'éprouvai une agitation, un trouble tels dans ma tête et quelque chose de si irrésistible en moi, que j'ai été obligé d'exécuter l'action. J'étais à jeun, je n'étais pas malade : je ne m'explique donc pas comment j'ai pu être frappé à si grand malheur... J'ai déjà eu deux fois cette horrible envie de tuer mon enfant ; la première ce fut six semaines avant Pâques de cette année. Pendant que, l'hiver dernier, j'étais occupé dans ma chambre à fabriquer un traîneau mon fils, comme de coutume, jouant près de moi, monta sur mon dos et me prit par le cou. Ma femme, croyant que l'enfant m'empêchait de travailler, l'appela ; mais je l'aimais tant que je souffris patiemment ses espièglerie et que je le pris sur mes genoux pour plaisanter avec lui. Dans ce moment même je crus entendre une voix intérieure qui me dit : « Tu as beau faire, il faut que ce garçon-là périsse ; il faut que tu l'assommes ». Je fus saisi d'une anxiété si extrême qu'elle fit trembler mon cœur et, pour me délivrer de cette horrible pensée je posai brusquement l'enfant à terre, sortis de la chambre et allai au moulin, où je restai jusqu'au soir et jusqu'à ce que mes mauvaises pensées fussent passées.
Le second accès eut lieu un matin, peu de jours avant Pâques. J'étais encore couché près de mon fils ; ma femme était occupée à son ménage. Mon fils me demanda du pain; je lui donnai de la galette qui lui fit grand plaisir et qu'il mangea avec avidité. À ce moment-là je contemplais cet enfant avec un sentiment de tendre affection, je crus encore entendre une voix intérieure qui me disait tout bas : « Il faut tuer ton fils » . Je frémi de moi-même ; j'éprouvais de violentes palpitations, une sorte d'oppression dans l'intérieur de la poitrine, qui me firent sauter, plein de terreur, à bas de mon lit et courir hors de la maison. Je commençai à réciter mes prières, à aller à l'écurie, m'occupai de divers travaux, et fis tout mon possible pour chasser l'idée funeste qui m'obsédait. Je réussis en effet à redevenir mon maître à recouvrer ma tranquillité d'esprit et à m'amuser avec mon enfant. Cependant ma tristesse et mon anxiété se prolongèrent jusque vers midi. Dans aucun de ces deux cas je n'étais ivre, et même, plusieurs semaines auparavant, je ne m'étais pas enivré pas plus qu'au troisième accès qui a coûté la vie à mon enfant. »
Nous supprimerons ici tous les détails qui dépasseraient nos forces, car nous ne savons pas si dans tous nos fastes judiciaires il peut se rencontrer rien de plus saisissant qu'un pareil récit; où la tendresse paternelle, la plainte douce et déchirante contrastant si remarquablement avec la férocité de l'attentat. Cet homme était à jeun ; il n'était pas malade ; il lutte contre l'idée,recourt même à ses prière et redevient son maître ; puis, sans délire sans folie, il se voit obligé de tuer son Charles...
Edit du 04/04/16
Extrait tiré du livre de Emilie Devienne, « 50 exercices pour prendre la vie du bon côté » page 63.
Exercice N° 26, apprivoisez votre mauvais génie !
- Tout d'abord, donnez un nom à ce mauvais génie (par exemple, râleur, forte tête, tracassin...) Radin
- Repensez à la dernière fois où il vous a chuchoté quelque chose. Que s'était-il passé ? J'étais au restaurant avec des amis. ils avaient choisi un établissement cher, et cela ne me plaisait pas. Pourtant, j'ai les moyens de payer mon addition. J'ai fait bonne figure tout en me rongeant de l'intérieur : Radin s'est manifesté en moi, il prend la parole quand il a peur pour moi.
- La prochaine fois qu'une situation semblable se reproduira, essayez de parler avec votre mauvais génie lorsqu'il prend la parole en vous. Notez ci-dessous ce qui s'est passé. Avez-vous pu « dialoguer » ? Cela a-t-il changé votre façon d'agir ? À nouveau au restaurant, au lieu de me gâcher une partie de la soirée, j'ai gentiment dit à Radin : « Écoute, je t'entends, je sais que tu es là et que tu veux m'éviter des ennuis comme nous en avons subi quand j'étais jeune. Mais maintenant, objectivement, tu sais que j'ai les moyens de payer cette addition. Alors, pas de panique ! Et puis demain, si ça te rassure, on mangera des pâtes ! »
Commentaire
Même avec la meilleure volonté du monde, il est très difficile de se débarrasser de ces petits partenaires qui ont la vie dure ! D'ailleurs, est-ce vraiment utile ? Nos mauvais génies font partie de notre personnalité et, jusqu'à présent, ils ont sans doute joué un rôle dans notre vie même à notre corps défendant. L'important est de réussir à les dompter, à les apprivoiser, à les amadouer... Ainsi, quand ils décident de prendre la parole, nous pouvons entamer les négociations dans un monologue intérieur. »
Edit du 06/04/16
St Thomas d’Aquin > Oeuvres > IV. Lettres > De judiciis astrorum
Source : Institut Docteur angélique
Traduction par Pierre Monat, 12 avril 2007
Prologue
Les arrêts des astres. Puisque tu m'as demandé de t'écrire s'il était permis d'avoir recours aux arrêts des astres, étant donné que je voulais satisfaire à ta demande, j'ai pris soin d'écrire ce qui nous a été transmis là-dessus par les saints docteurs.
Les influences physiques des astres
Tout d'abord, il te faut savoir que la puissance des corps célestes s'étend jusqu'à modifier les corps inférieurs. Augustin (Cité de Dieu, 5,-) dit : « on peut soutenir sans aucune absurdité que certains souffles astraux parviennent à provoquer des variations dans les corps ». Dès lors, si on a recours aux arrêts des astres pour connaître d'avance des effets physiques, par exemple tempête et temps calme, santé ou maladie du corps, abondance et pauvreté des récoltes et toutes les choses de ce genre, qui dépendent de causes physiques et naturelles, il est clair qu'il n'y a pas de péché.
De fait, tous les hommes, quand il s'agit de faits de ce genre, ont recours à l'observation des corps célestes : ainsi les paysans sèment et moissonnent à un moment donné, qui est déterminé d'après le mouvement du soleil ; les marins évitent de naviguer à la pleine lune ou en éclipse de lune ; les médecins, en face des maladies, respectent des jours critiques qui sont déterminés par la course du soleil ou de la lune.
Légitimité de l’astronomie et danger de l »’astrologie
C'est pourquoi il n'est pas condamnable d'avoir recours, en suivant d'autres observations moins visibles sur les étoiles, d'avoir recours aux arrêts des astres en matière de phénomènes physiques. Toutefois, il faut absolument maintenir que la volonté de l'homme n'est pas soumise à une fatalité astrale ; sans cela, ce serait la fin du libre arbitre ; et si on le supprimait, ni les bonnes actions ne seraient alors comptées comme un mérite pour l'homme, ni les mauvaises comme une faute. Et c'est pourquoi tout chrétien doit soutenir fermement que tout ce qui dépend de la volonté humaine, c'est le cas de toutes les actions humaines, ne dépend pas d'une fatalité astrale : c'est pourquoi il est dit (Jér. 10,2) : « ne craignez rien des signes du ciel que redoutent les nations ».
Le risque du diable
Mais le Diable, afin d'entraîner tous les hommes dans l'erreur, se mêle aux actions de ceux qui prêtent attention aux arrêts des astres. C'est pourquoi Augustin dit (Gen. ad Litt. II) : « il faut reconnaître que, quand des choses vraies sont dites par les astrologues, elles sont dites sous l'effet d'une inspiration bien cachée, à laquelle les esprits humains sont soumis sans le savoir ; comme cela se fait pour tromper les hommes, c'est une opération des esprits immondes et trompeurs, auxquels il est permis de savoir un certain nombre de choses vraies sur les réalités temporelles. C'est pourquoi Augustin dit (Doct. chr. II) que ce genre de réussites des astres doit être mis sur le compte de pactes passés avec les Démons.
Le chrétien doit absolument éviter de passer un pacte ou une alliance avec les démons, selon le mot de l'Apôtre (I Cor. 10,20) : Je ne veux pas que vous deveniez alliés des Démons. Voilà pourquoi il faut tenir pour assuré que c'est un grave péché d'avoir recours aux arrêts des astres à propos de ce qui dépend de la volonté de l'homme.
Edit du 07/04/16
Allan Kardec - Le livre des Esprits
« Les êtres organiques sont ceux qui ont en eux une source d'activité intime qui leur donne la vie ; ils naissent, croissent, se reproduisent par eux-mêmes et meurent ; ils sont pourvus d'organes spéciaux pour l'accomplissement des différents actes de la vie, et qui sont appropriés à leurs besoins pour leur conservation. Ils comprennent les hommes, les animaux et les plantes. Les êtres inorganiques sont tous ceux qui n'ont ni vitalité, ni mouvements propres, et ne sont formés que par l'agrégation de la matière ; tels sont les minéraux, l'eau, l'air, etc.. »
nota : selon moi, le « livre des esprits » est truffé d'anecdotes malicieuses dont ces êtres seraient les auteurs intelligents.
Edit du 17/04/16
reportage : « Les chamanes, les Maîtres du désordre »
Le chamanisme figure parmi les médecines les plus anciennes, mais aussi parmi les premiers moyens que l'homme a su développer pour invoquer le sacré. Ce voyage initiatique «en pays chaman», débute au Maroc, à la rencontre d'Abdellah. Contraint d'accueillir le don qui lui a été fait, celui-ci se plaît à défier de dangereux reptiles. Mais vaincre les serpents n'est pas son seul pouvoir. Abdellah le chaman vient au secours des hommes et accomplit, lors de cérémonies spectaculaires appelées «Lila», les rites nécessaires à l'apaisement des Djinns, ces esprits qui investissent le corps des hommes et exercent sur eux leur pouvoir pernicieux.
Charles-André Gilis, « Aperçus sur la doctrine Akbarienne des Jinns »
Dans le Coran, le terme « jinn » désigne aussi l’intériorité de l’homme, au contraire de l’extérieur désigné par « ins ». « Allâh le Très-Haut a créé les esprits du feu et de la lumière, c’est-à-dire les jinns et les anges, et les a associés dans le fait d’être cachés aux yeux des hommes, bien qu’ils soient présents parmi eux. Où qu’ils se trouvent, Allâh a placé entre eux et les regards des hommes un « voile caché » de nous : les « jinns » sont les êtres cachés de nous par ce voile; nous ne pouvons les voir, sauf quand ils veulent se manifester à nous. C’est pour cela qu’Allâh a nommé ces deux catégories d’esprits : « jinns », c’est-à-dire « cachés de nous » et invisibles pour nous. » (Cor., 37, 158) « Jinn » signifie donc ce qui n’est pas manifesté, ce qui concerne le monde de l’âme, et donc également les êtres qui occupent ce monde « parmi nous », composé de matière subtile invisible.
L’auteur explique qu’ensuite, comme les Jinns ne sont cependant pas entièrement spirituels, on les associe aux hommes dans la catégorie des « êtres lourds » (ath-thaqalân). C’est-à-dire que les Jinns vivent aussi dans un monde composé des quatre éléments, cependant ils sont plus « légers » que les hommes. Les jinns sont essentiellement « air et feu » tandis que les hommes « terre et eau ». Il d’agit d’un degré de réalité différent, d’un point de vue cosmologique. L’auteur détaille ensuite ces différentes constitution et l’origine mythique de chacun des types d’êtres. « La doctrine akbarienne rejoint ici celle du Sânkhya dans l’hindouisme, où la procession des tattwas (qui sont les « degrés du cosmos ») est envisagée à partir duPrakriti. » (p.31)
Reprenant le modèle de la division tripartite Esprit/Âme/Corps, l’auteur explique que l’âme correspond au feu. Les jinns constitués de « feu » sont donc dans ce monde intermédiaire entre l’esprit et la matière. Ils sont à la fois proches des anges et des humains. « Ils sont invisibles et peuvent prendre de multiples formes. » (p.34) Certains Jinns seraient alors plus matériels tandis que d’autres plus spirituels. Les premiers sont « ceux qui ont commerce avec les hommes : leurs lieux de résidence sont connus et ils sont habituellement considérés comme « dangereux »; ils peuvent se marier avec les êtres humains, négocier et conclure des alliances avec eux; ils ont le pouvoir de les servir ou de leur nuire; ils peuvent être guidés par eux dans la voie de l’islâm et rechercher la compagnie des saints; enfin, ils peuvent former des armées et combattre pour les hommes; cela est avéré dans l’histoire des peuples négroafricains et confirmé dans le Coran à propos de Sulaymân : « On rassembla pour Sulaymân ses armées composées de jinns, d’êtres humains et d’oiseaux » (p.35) L’auteur note en bas de page que les « armées du roi forgeron Soumaworo Kanté étaient des armées de jinns« .
Dans le chapitre suivant, Charles-André Gilis montre en quoi le fait que les Jinns soient composés de feu pose problème : « c’est le feu qui engendre la recherche du pouvoir contraignant, de la domination et de la puissance, car c’est l’élément qui occupe la place la plus élevée » (p.38) C’est pourquoi Iblis ne s’est pas soumis, il disait que comme il était créé de feu, il était nettement meilleur que l’homme créé d’argile. Cependant, l’eau d’Adam a allégoriquement la capacité d’éteindre le feu des Jinns, et la terre est plus stable. L’auteur reviendra longuement dans les chapitres suivants (p.54 sqq) sur la prééminence de l’eau : « le secret présent dans la force de l’eau était caché [à Iblis] » (p.54) L’eau, passif et associé à la féminité, serait plus fort que le feu. (p.58) Bien sûr, tous les éléments doivent être réunis pour former ce qu’en alchimie on appelle « eau de vie », « eau de feu », « feu liquide », etc (p.61).
Ibn Arabî conseille donc à quiconque de ne pas chercher la compagnie des Jinns. L’homme avisé doit fuir les jinns. Ils se mêlent constamment de tout et ils sont « les plus ignorants au sujet d’Allâh ». Si l’on transpose le discours d’Ibn Arabî à notre époque, on pourrait penser qu’il s’adresse à ceux qui cherchent à « contacter les esprits » ou faire du « channeling » sans précaution : « Celui qui les fréquente imagine qu’ils peuvent le renseigner sur les êtres qui sont dans le cosmos et sur le devenir du monde, alors qu’ils ne font que reproduire ce qu’ils ont pu entendre et dérober au Plérôme supérieur; il imagine qu’il s’agit d’un don qu’Allâh leur a conféré, alors qu’il n’en est rien ! On n’a jamais vu personne fréquenter les jinns et obtenir d’eux une science quelconque au sujet d’Allâh. Il n’y a à cela aucune exception. La plus haut préoccupation de esprits d’entre les jinns, et le meilleur qu’ils puissent donner, c’est la science relative aux propriétés des plantes, des arbres, des noms et des lettres, qui relèvent de la magie (sîmîa). » (p.41) Ibn Arabî indique ensuite que ceux qui communiquent avec les jinns deviennent orgueilleux et méprisants.
Comment donc se manifestent les jinns ? « Ils peuvent revêtir toutes les formes sensibles qu’ils désirent. » Leur nature est instable, « comparable à celle des formes engendrées par l’imagination. » (p.45) On évoque parfois des « tourbillons de vapeurs et de fumées » (note personnelle : à ce propos, des petites tornades sont rapportées par certains abductés lors de rencontres rapprochées, et Castaneda décrit la venue des êtres inorganiques par le vent, un courant d’air, un tourbillon). La nature « aérienne » des jinns les rapproche à nouveau de ce monde intermédiaire, l’air dans les doctrines hindoues étant le domaine psychique ou la manifestation subtile (René Génon). Le symbole géométrique du monde intermédiaire est l’octogone, et le nombre huit est fondamental dans de nombreuses traditions (y compris celle du Wagadu).
Charles-André Gilis revient à nouveau, vers le milieu du livre, sur l’importance de l’eau et de la femme. Selon Ibn Arabi en effet, « Il n’y a, dans tout le monde créé, aucune force plus intense que celle qui procède de la femme; et cela à cause d’un secret que connaissent uniquement ceux qui savent en quoi le monde a été existencié et par quel « mouvement » Dieu l’a existencié. Il est le produit d’un couple de prémisses. Ce qui recherche l’union est demandeur et le demandeur est dépendant; ce qui est recherché pour l’union est demandé, et ce qui est demandé détient la force à l’égard de ce qui a besoin de lui. Le désir ardent (de celui qui demande) est irrésistible. Telle st la situation de la femme au sein de l’existence; telle est la Dignité divine qui la concerne en propre; telle est la cause de la force qu’elle détient. » (p.66) Puis l’auteur note que bien que cette fin de cycle corresponde à un « obscurcissement », « les démons ne peuvent rien contre cette « force intense qui procède de la femme » (sakîna) qui est une présence victorieuse et pacificatrice dans le coeur des vrais croyants. »
Après avoir abordé dans plusieurs chapitres des points de la doctrine d’Ibn Arabi à propos de la nature de la réalité, l’auteur cite des anecdotes rapportées par Ibn Arabi à propos des jinns. L’une d’elle évoque un bûcheron qui avait tué un serpent, et qui a été enlevé par les jinns qui l’accusèrent d’avoir « tué le fils de notre oncle paternel ». L’Envoyé d’Allâh intervient alors en prenant la défense du bûcheron : « Si l’un d’entre vous prends une forme autre que la sienne et est tué dans cette forme, cela ne donne lieu, ni à l’application du talion, ni au prix du sang. » Ici, un jinn s’était donc transformé en serpent. On peut penser ici au bâton de Moïse qui s’st transformé en serpent. On retrouve également chez les Aztèque cette association entre le bâton et le serpent.
« C’est la même doctrine, celle du barzakh suprême et du renouvelle de la création à tout instant, qui rend compte de l’aspect principiel dont procèdent aussi bien les jinns que le serpent primordial. Par ailleurs, les peuples noirs de l’Afrique subsaharienne, qui ont recueilli de longue date une partie de la tradition égyptienne, sont aujourd’hui presque totalement islamisés. Les jinns manifestent dans cette région une omniprésence constante et l’on y trouve de très nombreux récits qui relatent leurs relations avec les hommes. » (p.91)
Edit du 07/04/16
Allan Kardec - Le livre des Esprits
« Les êtres organiques sont ceux qui ont en eux une source d'activité intime qui leur donne la vie ; ils naissent, croissent, se reproduisent par eux-mêmes et meurent ; ils sont pourvus d'organes spéciaux pour l'accomplissement des différents actes de la vie, et qui sont appropriés à leurs besoins pour leur conservation. Ils comprennent les hommes, les animaux et les plantes. Les êtres inorganiques sont tous ceux qui n'ont ni vitalité, ni mouvements propres, et ne sont formés que par l'agrégation de la matière ; tels sont les minéraux, l'eau, l'air, etc.. »
nota : selon moi, le « livre des esprits » est truffé d'anecdotes malicieuses dont ces êtres seraient les auteurs intelligents.
Edit du 17/04/16
reportage : « Les chamanes, les Maîtres du désordre »
« Chaque être humain est suivi par son propre démon. Quand il le combat, quand il le contrarie, l'homme sait que c'est pour une mauvaise raison... L'esprit guide la conscience de l'homme comme on traîne un âne avec une longe... Il fait tout ce que le diable lui demande de faire... Il le saisit et il l'emmène par là... par là... par là... Comprenez bien : celui qui est possédé par le démon, perd son libre arbitre ! Et se sont les démons qui agissent à sa place. Il se croit libre, mais le possédé est en fait un esclave ! » [vers 10 min]
[youtube=https://www.youtube.com/watch?v=hNXRvAQv45o&w=320&h=266]
Charles-André Gilis, « Aperçus sur la doctrine Akbarienne des Jinns »
Dans le Coran, le terme « jinn » désigne aussi l’intériorité de l’homme, au contraire de l’extérieur désigné par « ins ». « Allâh le Très-Haut a créé les esprits du feu et de la lumière, c’est-à-dire les jinns et les anges, et les a associés dans le fait d’être cachés aux yeux des hommes, bien qu’ils soient présents parmi eux. Où qu’ils se trouvent, Allâh a placé entre eux et les regards des hommes un « voile caché » de nous : les « jinns » sont les êtres cachés de nous par ce voile; nous ne pouvons les voir, sauf quand ils veulent se manifester à nous. C’est pour cela qu’Allâh a nommé ces deux catégories d’esprits : « jinns », c’est-à-dire « cachés de nous » et invisibles pour nous. » (Cor., 37, 158) « Jinn » signifie donc ce qui n’est pas manifesté, ce qui concerne le monde de l’âme, et donc également les êtres qui occupent ce monde « parmi nous », composé de matière subtile invisible.
L’auteur explique qu’ensuite, comme les Jinns ne sont cependant pas entièrement spirituels, on les associe aux hommes dans la catégorie des « êtres lourds » (ath-thaqalân). C’est-à-dire que les Jinns vivent aussi dans un monde composé des quatre éléments, cependant ils sont plus « légers » que les hommes. Les jinns sont essentiellement « air et feu » tandis que les hommes « terre et eau ». Il d’agit d’un degré de réalité différent, d’un point de vue cosmologique. L’auteur détaille ensuite ces différentes constitution et l’origine mythique de chacun des types d’êtres. « La doctrine akbarienne rejoint ici celle du Sânkhya dans l’hindouisme, où la procession des tattwas (qui sont les « degrés du cosmos ») est envisagée à partir duPrakriti. » (p.31)
Reprenant le modèle de la division tripartite Esprit/Âme/Corps, l’auteur explique que l’âme correspond au feu. Les jinns constitués de « feu » sont donc dans ce monde intermédiaire entre l’esprit et la matière. Ils sont à la fois proches des anges et des humains. « Ils sont invisibles et peuvent prendre de multiples formes. » (p.34) Certains Jinns seraient alors plus matériels tandis que d’autres plus spirituels. Les premiers sont « ceux qui ont commerce avec les hommes : leurs lieux de résidence sont connus et ils sont habituellement considérés comme « dangereux »; ils peuvent se marier avec les êtres humains, négocier et conclure des alliances avec eux; ils ont le pouvoir de les servir ou de leur nuire; ils peuvent être guidés par eux dans la voie de l’islâm et rechercher la compagnie des saints; enfin, ils peuvent former des armées et combattre pour les hommes; cela est avéré dans l’histoire des peuples négroafricains et confirmé dans le Coran à propos de Sulaymân : « On rassembla pour Sulaymân ses armées composées de jinns, d’êtres humains et d’oiseaux » (p.35) L’auteur note en bas de page que les « armées du roi forgeron Soumaworo Kanté étaient des armées de jinns« .
Dans le chapitre suivant, Charles-André Gilis montre en quoi le fait que les Jinns soient composés de feu pose problème : « c’est le feu qui engendre la recherche du pouvoir contraignant, de la domination et de la puissance, car c’est l’élément qui occupe la place la plus élevée » (p.38) C’est pourquoi Iblis ne s’est pas soumis, il disait que comme il était créé de feu, il était nettement meilleur que l’homme créé d’argile. Cependant, l’eau d’Adam a allégoriquement la capacité d’éteindre le feu des Jinns, et la terre est plus stable. L’auteur reviendra longuement dans les chapitres suivants (p.54 sqq) sur la prééminence de l’eau : « le secret présent dans la force de l’eau était caché [à Iblis] » (p.54) L’eau, passif et associé à la féminité, serait plus fort que le feu. (p.58) Bien sûr, tous les éléments doivent être réunis pour former ce qu’en alchimie on appelle « eau de vie », « eau de feu », « feu liquide », etc (p.61).
Ibn Arabî conseille donc à quiconque de ne pas chercher la compagnie des Jinns. L’homme avisé doit fuir les jinns. Ils se mêlent constamment de tout et ils sont « les plus ignorants au sujet d’Allâh ». Si l’on transpose le discours d’Ibn Arabî à notre époque, on pourrait penser qu’il s’adresse à ceux qui cherchent à « contacter les esprits » ou faire du « channeling » sans précaution : « Celui qui les fréquente imagine qu’ils peuvent le renseigner sur les êtres qui sont dans le cosmos et sur le devenir du monde, alors qu’ils ne font que reproduire ce qu’ils ont pu entendre et dérober au Plérôme supérieur; il imagine qu’il s’agit d’un don qu’Allâh leur a conféré, alors qu’il n’en est rien ! On n’a jamais vu personne fréquenter les jinns et obtenir d’eux une science quelconque au sujet d’Allâh. Il n’y a à cela aucune exception. La plus haut préoccupation de esprits d’entre les jinns, et le meilleur qu’ils puissent donner, c’est la science relative aux propriétés des plantes, des arbres, des noms et des lettres, qui relèvent de la magie (sîmîa). » (p.41) Ibn Arabî indique ensuite que ceux qui communiquent avec les jinns deviennent orgueilleux et méprisants.
Comment donc se manifestent les jinns ? « Ils peuvent revêtir toutes les formes sensibles qu’ils désirent. » Leur nature est instable, « comparable à celle des formes engendrées par l’imagination. » (p.45) On évoque parfois des « tourbillons de vapeurs et de fumées » (note personnelle : à ce propos, des petites tornades sont rapportées par certains abductés lors de rencontres rapprochées, et Castaneda décrit la venue des êtres inorganiques par le vent, un courant d’air, un tourbillon). La nature « aérienne » des jinns les rapproche à nouveau de ce monde intermédiaire, l’air dans les doctrines hindoues étant le domaine psychique ou la manifestation subtile (René Génon). Le symbole géométrique du monde intermédiaire est l’octogone, et le nombre huit est fondamental dans de nombreuses traditions (y compris celle du Wagadu).
Charles-André Gilis revient à nouveau, vers le milieu du livre, sur l’importance de l’eau et de la femme. Selon Ibn Arabi en effet, « Il n’y a, dans tout le monde créé, aucune force plus intense que celle qui procède de la femme; et cela à cause d’un secret que connaissent uniquement ceux qui savent en quoi le monde a été existencié et par quel « mouvement » Dieu l’a existencié. Il est le produit d’un couple de prémisses. Ce qui recherche l’union est demandeur et le demandeur est dépendant; ce qui est recherché pour l’union est demandé, et ce qui est demandé détient la force à l’égard de ce qui a besoin de lui. Le désir ardent (de celui qui demande) est irrésistible. Telle st la situation de la femme au sein de l’existence; telle est la Dignité divine qui la concerne en propre; telle est la cause de la force qu’elle détient. » (p.66) Puis l’auteur note que bien que cette fin de cycle corresponde à un « obscurcissement », « les démons ne peuvent rien contre cette « force intense qui procède de la femme » (sakîna) qui est une présence victorieuse et pacificatrice dans le coeur des vrais croyants. »
Après avoir abordé dans plusieurs chapitres des points de la doctrine d’Ibn Arabi à propos de la nature de la réalité, l’auteur cite des anecdotes rapportées par Ibn Arabi à propos des jinns. L’une d’elle évoque un bûcheron qui avait tué un serpent, et qui a été enlevé par les jinns qui l’accusèrent d’avoir « tué le fils de notre oncle paternel ». L’Envoyé d’Allâh intervient alors en prenant la défense du bûcheron : « Si l’un d’entre vous prends une forme autre que la sienne et est tué dans cette forme, cela ne donne lieu, ni à l’application du talion, ni au prix du sang. » Ici, un jinn s’était donc transformé en serpent. On peut penser ici au bâton de Moïse qui s’st transformé en serpent. On retrouve également chez les Aztèque cette association entre le bâton et le serpent.
« C’est la même doctrine, celle du barzakh suprême et du renouvelle de la création à tout instant, qui rend compte de l’aspect principiel dont procèdent aussi bien les jinns que le serpent primordial. Par ailleurs, les peuples noirs de l’Afrique subsaharienne, qui ont recueilli de longue date une partie de la tradition égyptienne, sont aujourd’hui presque totalement islamisés. Les jinns manifestent dans cette région une omniprésence constante et l’on y trouve de très nombreux récits qui relatent leurs relations avec les hommes. » (p.91)
Edit du 18/05/16 (correction dans le texte)
Un décalage avec notre réalité ? Auparavant, il existait un secret sur la nature de notre conscience, un secret tel que seuls les individus ayant reçu une initiation étaient progressivement habitués à le découvrir ; même les êtres dans l'Invisible ont fait de leur mieux pour le protéger, en attendant, eux, que nous soyons capables de le comprendre. Nous vivons une époque où des connaissances sont de plus de plus accessibles, où la nature de notre conscience devient même perceptible à des sens affinés. Au point de vue des découvertes relatives à l’émergence des facultés psi, c'est une période relativement semblable à ce que nos aïeuls ont connu avant la première guerre mondiale. Il vaut mieux oublier le théorème du complot qui rallie à qui veut bien le croire que c'est l'argent et lui-seul qui gouverne le monde. Il existe des forces contraires qui opposent une résistance farouche au fait d'entrer dans un autre paradigme, en répandant dans notre environnement des idées négatives et en persuadant notre monde de leur réalité. C'est ce qui nous maintient en captivité. J'ai vu comment cela se distille dans notre quotidien au moyen de réseaux éthériques (et l'électricité en tant que conducteur) avec aux commandes un formidable égrégore (2) crée avec l'ensemble des pensées nauséabondes de l'humanité. J'en parle depuis longtemps (texte du 15/2/13). Ce que je prenais auparavant pour de « faux guides » (texte du 15/08/12) n'était en réalité que l'immense contingent d'êtres inorganiques composés en factions affectés à la répression des personnes s'opposant de quelque manière que ce soit à liberté de l'humanité ou à la mise en place d'actions correctives et réparatrices pour le bien de l'humanité (texte du 08/03/14). Il ne s'agit pas simplement d'un combat idéologique entre le bien et le mal, mais d'un combat à mort dans lequel est entraîné chaque individu acquérant suffisamment d'énergie pour leur opposer une résistance.
Vous trouverez leur intention partout dans bons nombres de livres prônant l'existence de l'Invisible, dans toutes les méthodes de conditionnement prônant la paix - une paix très superficielle, surréaliste, manipulatrice - ne commandant jamais d'améliorer une seule situation, d'agir main dans la main, fraternellement - loin s'en faut -, mais forçant d'accepter ce qu'il se passe autour de nous comme une fin nécessaire du monde, de se laisser s'y soumettre docilement, de ne rien penser qui risque de se convaincre du contraire, d'agir avec discernement, d'être dans un « amourinconditionnel », car il existe un autre monde pour ceux qui l'accepte, et il n'existe que ce monde pour tous les autres. Vu comme ça, ça a la même dégaine monothéiste parce que c'est du déisme pyramidal ; la façade est juste repeinte avec quelques édulcorants criards et des paillettes pour s'adapter à la société actuelle qui prône sans rougir un nouvel âge (un sorte de nouvel ordre monial) dont on vend l'intérêt en ajoutant plus de soumission aux suggestions des anges par ci, plus de pouvoir de l'esprit par là, pour attirer et manipuler encore plus facilement les gens. De fait, le monde des esprits s'impose aujourd'hui comme une dictature de l'esprit de l'homme. Il n'est pas bien difficile de comprendre que son enjeu n'est pas tourné vers une paix mondiale, mais qu'il est plutôt orchestré pour que s'affirme tous les instincts primitifs auxquels l'humanité croit sincèrement offrir une certaine élévation d'âme. Le problème se situe à la racine : nous croyons en un dieu qui est personnifié rien que par la pensée et a qui l'on cède son âme.
Partout, les gens sont de plus en plus désespérés, ils s'abandonnent à ce qui se présente à leur raison, progressivement, puis totalement, presque naturellement, aux idées d'un nouvel âge, par leurs lectures, par leurs pensées, dans leurs conversations entre amis ; ils se laissent séduire par ses charmes, car ce sont les seuls qui leurs apportent de l'attention, du réconfort et une satisfaction immédiate. Elles gonflent leur égo en leur faisant croire leur importance, et qu'il existe pour y remédier quelque chose de plus beau ailleurs. Elles entretiennent subtilement la peur de l'autre ; or rien ne change vraiment avec les mêmes pensées et les même actes qu'auparavant, par même avec de nouvelles pensées plus "respectueuses" ne suffisent à changer son quotidien. Sauf en rejetant tous les avis qui heurtant son nouveau mode de pensées. C'est d'ailleurs en retournant les propos de l'opposition contre eux que l'on tente ainsi de museler leurs agissements. Je crois que si vous embrassez la voie tracés par les êtres de l'invisible, vous serez de plus en plus demandeurs de ces situations qui vous éloigneront de la réalité. Plus le besoin personnel d'être comblé sera grand, plus grande sera la différence d'avec la réalité. Il suffit d'un peu d'observation pour le constater par soi-même. Dès vous commencerez à douter d'un endoctrinement quelconque, vous connaîtrez vos ennemis, car ils feront tout pour vous maintenir sous leur domination (si vous étiez dominés), ou pour vous nuire de quelque façon que ce soit (si vous êtes résistant). La soumission est un moteur qui maintient passivement un individu sous l'emprise de son manque de volonté ; son contraire promet la liberté qui ne peut s'imposer que par la résistance la plus active.
Il est nécessaire d'écouter ses pensées les plus intimes, et de savoir faire la différence entre toutes celles qui nous invitent à prendre des décisions ; il faut faire attention à ses gestes, aux moment où l'on se sent « piloté », capter les fois qu'on expriment sans qu'on l'ait voulu ; il faut être vigilants et attentif aux propos des personnes que l'on rencontre, écouter vraiment ce qu'ils nous disent, leurs intentions. Les conflits et les combats d'égo étant ce qu'il y a de plus facile pour vider un individu de son énergie. Être déterminé, c'est apprendre à ne plus réagir n'importe comment, et ne plus être dupe. C'est admettre qu'il existe une autre forme de vie parmi nous qui cultive son propre but, en utilisant nos propres faiblesses pour nous soumettre à leur quatre volontés. Oubliez les extraterrestres qui viendraient sauver le monde, oubliez l'invasion à l'aide de gigantesques vaisseaux spatiaux survolant les capitales de chaque pays ! Ce ne sont que des moyens pour détourner l'attention. L'ennemi est déjà là, bien plus présent qu'on l'imagine, bien plus redoutable, parce qu'il est Invisible aux yeux du plus grand nombre.
Edit du 27 mai 2016
traduction internet
Vous trouverez leur intention partout dans bons nombres de livres prônant l'existence de l'Invisible, dans toutes les méthodes de conditionnement prônant la paix - une paix très superficielle, surréaliste, manipulatrice - ne commandant jamais d'améliorer une seule situation, d'agir main dans la main, fraternellement - loin s'en faut -, mais forçant d'accepter ce qu'il se passe autour de nous comme une fin nécessaire du monde, de se laisser s'y soumettre docilement, de ne rien penser qui risque de se convaincre du contraire, d'agir avec discernement, d'être dans un « amourinconditionnel », car il existe un autre monde pour ceux qui l'accepte, et il n'existe que ce monde pour tous les autres. Vu comme ça, ça a la même dégaine monothéiste parce que c'est du déisme pyramidal ; la façade est juste repeinte avec quelques édulcorants criards et des paillettes pour s'adapter à la société actuelle qui prône sans rougir un nouvel âge (un sorte de nouvel ordre monial) dont on vend l'intérêt en ajoutant plus de soumission aux suggestions des anges par ci, plus de pouvoir de l'esprit par là, pour attirer et manipuler encore plus facilement les gens. De fait, le monde des esprits s'impose aujourd'hui comme une dictature de l'esprit de l'homme. Il n'est pas bien difficile de comprendre que son enjeu n'est pas tourné vers une paix mondiale, mais qu'il est plutôt orchestré pour que s'affirme tous les instincts primitifs auxquels l'humanité croit sincèrement offrir une certaine élévation d'âme. Le problème se situe à la racine : nous croyons en un dieu qui est personnifié rien que par la pensée et a qui l'on cède son âme.
Partout, les gens sont de plus en plus désespérés, ils s'abandonnent à ce qui se présente à leur raison, progressivement, puis totalement, presque naturellement, aux idées d'un nouvel âge, par leurs lectures, par leurs pensées, dans leurs conversations entre amis ; ils se laissent séduire par ses charmes, car ce sont les seuls qui leurs apportent de l'attention, du réconfort et une satisfaction immédiate. Elles gonflent leur égo en leur faisant croire leur importance, et qu'il existe pour y remédier quelque chose de plus beau ailleurs. Elles entretiennent subtilement la peur de l'autre ; or rien ne change vraiment avec les mêmes pensées et les même actes qu'auparavant, par même avec de nouvelles pensées plus "respectueuses" ne suffisent à changer son quotidien. Sauf en rejetant tous les avis qui heurtant son nouveau mode de pensées. C'est d'ailleurs en retournant les propos de l'opposition contre eux que l'on tente ainsi de museler leurs agissements. Je crois que si vous embrassez la voie tracés par les êtres de l'invisible, vous serez de plus en plus demandeurs de ces situations qui vous éloigneront de la réalité. Plus le besoin personnel d'être comblé sera grand, plus grande sera la différence d'avec la réalité. Il suffit d'un peu d'observation pour le constater par soi-même. Dès vous commencerez à douter d'un endoctrinement quelconque, vous connaîtrez vos ennemis, car ils feront tout pour vous maintenir sous leur domination (si vous étiez dominés), ou pour vous nuire de quelque façon que ce soit (si vous êtes résistant). La soumission est un moteur qui maintient passivement un individu sous l'emprise de son manque de volonté ; son contraire promet la liberté qui ne peut s'imposer que par la résistance la plus active.
Il est nécessaire d'écouter ses pensées les plus intimes, et de savoir faire la différence entre toutes celles qui nous invitent à prendre des décisions ; il faut faire attention à ses gestes, aux moment où l'on se sent « piloté », capter les fois qu'on expriment sans qu'on l'ait voulu ; il faut être vigilants et attentif aux propos des personnes que l'on rencontre, écouter vraiment ce qu'ils nous disent, leurs intentions. Les conflits et les combats d'égo étant ce qu'il y a de plus facile pour vider un individu de son énergie. Être déterminé, c'est apprendre à ne plus réagir n'importe comment, et ne plus être dupe. C'est admettre qu'il existe une autre forme de vie parmi nous qui cultive son propre but, en utilisant nos propres faiblesses pour nous soumettre à leur quatre volontés. Oubliez les extraterrestres qui viendraient sauver le monde, oubliez l'invasion à l'aide de gigantesques vaisseaux spatiaux survolant les capitales de chaque pays ! Ce ne sont que des moyens pour détourner l'attention. L'ennemi est déjà là, bien plus présent qu'on l'imagine, bien plus redoutable, parce qu'il est Invisible aux yeux du plus grand nombre.
Edit du 27 mai 2016
traduction internet
Interférence hyperdimensionnelle et les clés de Discernement -Panel Discussion
Notre panel de discussion sur les interférences hyperdimensionnelle et les Keys de Discernement est maintenant! Nous avons décidé collectivement que le sujet de la question de l' interférence interdimensionnel avait besoin de plus l' élaboration de la micro perspective du point de vue macro. Notre dernier panneau, "Bite Love Plus" concentré sur mes deux livres, qui traitent spécifiquement de la alienlovebite et le côté obscur de Cupidon, où une certaine forme définitive de la manipulation avait lieu dans une relation d'amour, que ce soit physique ou simplement astral.
Nous avons tous eu des expériences avec les aspects cachés de la perturbation, les interférences, les attaques psychiques et d'autres types d'interférences hyperdimensionnel (positives et négatives) qui a étendu au-delà du contexte de la relation d'amour, de nos propres vies individuelles et de l'observation de la façon dont ce même phénomène se produit sur une échelle macro sociale et collective. Tout se résume à la façon dont notre propre race humaine et notre énergie Soul essence a été exploitée et la proie des forces parasites qui se nourrissent de notre "loosh". Ces forces parasites peuvent être perçues dans toutes les formes, tailles et types d'êtres, et de travailler dans et par les êtres humains.
Bien que de nombreux chercheurs et experiencers de vérité ardents ont compris ce concept de base de la manipulation du genre humain par ces «forces archontiques», on peut ne pas avoir les clés spécifiques à un discernement, identification et l'application de solutions individuelles qui, pour réaliser une plus grande la souveraineté dans ce monde de "prédation" apparente.
Au fil du temps, de plus en plus de rapports d'ingérence et de ciblage pure et simple, et toutes sortes d'attaques malveillantes sont antidaté sur de nombreuses personnes, en particulier ceux qui ont une quelconque forme d'antécédents de violence, les enlèvements, les dénonciateurs, l'abus rituel, milabs, et de haut niveau lignées de la lignée occultes et / ou ceux qui ont un degré significatif de capacités métaphysiques spirituelles.
Un groupe de discussion plus tard, se fera sur l'hébergement reptilienne, les questions de possession d'ingérence.
Certains des points de discussion sont:
Nous avons tous eu des expériences avec les aspects cachés de la perturbation, les interférences, les attaques psychiques et d'autres types d'interférences hyperdimensionnel (positives et négatives) qui a étendu au-delà du contexte de la relation d'amour, de nos propres vies individuelles et de l'observation de la façon dont ce même phénomène se produit sur une échelle macro sociale et collective. Tout se résume à la façon dont notre propre race humaine et notre énergie Soul essence a été exploitée et la proie des forces parasites qui se nourrissent de notre "loosh". Ces forces parasites peuvent être perçues dans toutes les formes, tailles et types d'êtres, et de travailler dans et par les êtres humains.
Bien que de nombreux chercheurs et experiencers de vérité ardents ont compris ce concept de base de la manipulation du genre humain par ces «forces archontiques», on peut ne pas avoir les clés spécifiques à un discernement, identification et l'application de solutions individuelles qui, pour réaliser une plus grande la souveraineté dans ce monde de "prédation" apparente.
Au fil du temps, de plus en plus de rapports d'ingérence et de ciblage pure et simple, et toutes sortes d'attaques malveillantes sont antidaté sur de nombreuses personnes, en particulier ceux qui ont une quelconque forme d'antécédents de violence, les enlèvements, les dénonciateurs, l'abus rituel, milabs, et de haut niveau lignées de la lignée occultes et / ou ceux qui ont un degré significatif de capacités métaphysiques spirituelles.
Un groupe de discussion plus tard, se fera sur l'hébergement reptilienne, les questions de possession d'ingérence.
Certains des points de discussion sont:
- - La macro-perspective image / plus grande du système de contrôle Matrice hyperdimensionnelle au niveau mondial et comment il lie avec la micro-perspective: interférences hyperdimensionnel à un niveau personnel / individuel. Clarification et définition des concepts de base.
- - Suppression de la perception extra-sensorielle et conditionnement social / culturel (dès l'enfance) maintient les forces hyperdimensionnels cachées de notre conscience.
- - "Technologies" hyperdimensionnels utilisées pour les interférences / manipulation: changement de forme, les injections de la pensée, la manipulation de la perception, etc. Ils ont une connaissance de notre physiologie et de la psychologie et de l'utiliser contre nous.
- - Aussi puissant que les entités négatives semblent, leur "talon d'Achille" est le manque de créativité (quand il vient à attaquer / interférence) et sont en fait pas aussi puissants qu'ils nous aiment à croire.
- - Importance d'acquérir des connaissances plus profondes sur ce sujet et de se sensibiliser à l'autonomisation et à la protection.
- - Les cultures anciennes étaient très conscients des forces cachées qui influent sur notre réalité / monde. Suppression de la Connaissance. Corruption of Science. monde "moderne" pris dans la pensée réductionniste 3D limitée et vision de la vie / réalité. le progrès technologique extra-atmosphérique à des coûts de développement de notre technologie interne (split corps-esprit par la conception}, qui nous coupe de notre plein potentiel et la capacité à percevoir ces forces.
- - Tous nos problèmes non résolus à l'intérieur sont des passerelles pour les interférences et les suggestions qui influent sur nos comportements et nos actions hyperdimensionnels, conduisant à la toxicomanie, à traîner avec la mauvaise foule et les gens qui ne sont pas bon pour nous, toutes ré-applique la boucle "alimentation" .
- - Manipulation des désirs et des émotions. Les entités de contrôle groupes / foules et se nourrissant de la «loosh», y compris le culte / admiration (gourous, prêtres, des célébrités, des politiciens)
- - Normalisation de la pathologie dans la société. Le prédateur nous a donné son propre esprit.
- - Importance de scepticisme sain (Discernement) par opposition aux aveugles croyance et scepticisme extrême.
- - Normalisation des pathologies sexuelles. porno sur Internet, les clubs de striptease comme aires d'alimentation. Hébergement / Possession. addiction sexuelle, compulsions, changement de personnalité. désirs sexuels manipulables. implants éthérique.
- - Perturbations sur internet message conseils, forums, réseaux sociaux (Facebook). Important pour vérifier vos compulsions, triggers, exhorte, pensées avant de poster / réaction.
- - Désinformation "agents" envoyé à votre façon. crochets Ego. Faux nouveaux «amis».
- - Les gens ne savent pas combien ils sont influencés et contrôlés par les forces hyperdimensionnels jusqu'à ce qu'ils commencent à se réveiller, chercher la vérité, acquérir des connaissances et engager dans le travail autonome (de programmation, de conditionnement).
- - L'objectif de fin de jeu de leur ordre du jour à partir d'une macro-perspective est prise en charge complète de notre corps afin de nous enfermer dans une prison de fréquence, l'amorçage de notre corps pour leur essence d'accueillir à (créer une occasion incarnarnational). D'où la poussée pour la désincarnation, en augmentant la scission corps-esprit par augmentation de l'activité mentale / distraction grâce à la technologie ainsi que l'empoisonnement de l'organisme par les OGM, rayonnements électromagnétiques, vaccinations, chemtrails, etc., pour la modification génétique. -> Hybridation.
- - Désinformation / piège de «étrangers positifs» soi-disant mise à niveau de notre ADN, qui est en fait un «déclassement». Discernement! Cravates en MK Ultra, enlèvements / contactés (mémoires faux d'écran). Nouvelle déception de l'âge.
- - Le mode de réalisation (intégration de l'âme pleine, se connecter à notre "technologie" intérieure) est la clé pour la protection, l'éveil et l'ancrage des fréquences plus élevées, la reconnexion à notre impression bleue génétique d'origine.
- - L'humanité est utilisé comme une «interface». Ame recyclage, coincé dans la boucle de l'incarnation et de la physicalité.
- - Narcissisme et troubles de la personnalité (ainsi que Sociopathie et psychopathie) comme principales passerelles (véhicules) pour hyperdimensionnel hébergement / interférence. Piège d'un accord lors de l'obtention dans un comportement réactif; déclenché dans leur «jeu».
- - Importance des frontières et de prendre l'auto-responsabilité des forces hyperdimensionnels (travail à travers les autres) ne peuvent cibler ce qui résonne avec nos propres blessures et les faiblesses (psychologiquement et émotionnellement).
- - Piège de victime conscience et le blâme, que ces entités nous encouragent à réagir avec depuis cet état nous déresponsabilise encore plus.
- - Via non réactif conscience du point zéro et surtout de ne pas obtenir / alimentation dans des états réactionnaires de la peur et de la paranoïa, nous pouvons les affamer afin qu'ils perdent tout intérêt et de progresser. à-dire ne pas leur donner ce qu'ils veulent.
- - Certaines réactions (peur / paranoïa) sont à partir de l'autorisation pour plus interférence / attaques à cause du match de fréquence. Ne cesse d'augmenter en raison de la boucle de rétroaction.
- - Diviser et conquérir / en combattant dans le «mouvement de vérité» dans une perspective hyperdimensionnel. Le manque d'intelligence émotionnelle, de réalisation et d'auto-travail dans de nombreux activistes bien intentionnés et des chercheurs de la conspiration. "Truthers" peut devenir inconscients "agents" de désinformation, surtout s'il y a un manque de compréhension de la matrice hyperdimensionnel.
- - Souvent en ligne / personnage public est très différent de la façon dont les gens sont en personne. Attention de culte de la personnalité ou de "célébrité" personas de style dans le «mouvement de vérité" (liens en projection, culte, etc.) qui se nourrissent de l'attention et sont pris dans les mentalités drame / commérages / martyr / sauveur / victime, qui est quelles entités hyperdimensionnels négatives veulent et se nourrissent de, travaillant bien eux. Inconscient de leur part.
- - Fréquence de résonance Vibration et la puissance de nos propres esprits en ce qui concerne la définition de nos expériences (pour le meilleur ou le pire). Notre manque de compréhension de qui sont vraiment et ce que nous sommes capables de est utilisé contre nous. Interférences / attaques ne se produisent pas pendant la nuit, mais construire lentement, manipuler notre volonté libre choix, ce qui entraîne dans les pièges de l'accord.
- - Chronologie brassage par des injections de pensée et la manipulation émotionnelle, détourner nos esprits, ce qui se traduit par des forces négatives créant la réalité à travers nous qui est en alignement avec leur ordre du jour. Nous sommes de façon plus créative et plus puissant que eux, donc ils nous ont besoin de créer à travers nous via la manipulation de libre arbitre.
- - Silence comme une permission d'ingérence et de consentement / piège d'accord. Soyez vocal sur les limites et remettre en question tout ce que nous prenons comme «normal»: les médias, la culture, le gouvernement.
- - Le gouvernement est une création archonic, littéralement un "étranger" construire et la mise en place le plus fondamental du système de contrôle matrice à travers laquelle les suzerains hyperdimensionnels travaillent à travers. On n'a pas besoin du gouvernement sous quelque forme que ce soit.
- - Le vote est consentement à être gouverné (un organisme gouvernemental reprenant votre vie), un piège d'accord donnant notre pouvoir en tant qu'individus souverains, et aussi un consentement au système de contrôle de la matrice basée sur l'autoritarisme. Il a des répercussions négatives métaphysiques en dépit des intentions bien intentionnées, manipuler le libre arbitre le choix des gens pour l'aligner sur l'ordre du jour "alien" de complète prise en charge.
- - Importance de faire des choix conscients et en utilisant vraie volonté. La plupart des gens confondent le libre arbitre pour leurs réactions programmées mécaniques basée sur la programmation sociale / culturelle, inconscient et traumatisme passé, à savoir qu'ils ne choisissent pas consciemment, mais faire comme ils sont programmés pour faire l'illusion de «libre arbitre».
- - Les forces hyperdimensionnels ont besoin de notre libre arbitre consentement / accord pour aligner leur ordre du jour. choix forcé est pas «nutritif» pour eux et non pas "nourriture de qualité", d'où la manipulation de la conscience et les croyances de masse (comme la croyance dans le gouvernement et beaucoup d'autres choses que les gens ne remettent pas en cause) est de savoir comment ils obtiennent ce qu'ils veulent. nécessité Manipulé pour l'autorité -> Stockholm Syndrome.
- - Sincère Auto-travail est impératif, déprogrammer du conditionnement culturel / social. Désillusion est inévitable dans le processus de se réveiller.
- - Importance de l'auto-travail psychologique de base; le travail de l'ombre. Quels sont vos déclencheurs émotionnels? Importance des frontières.
- - Problèmes dans les relations (non liées à l'amour Bite / Dark Side de Cupidon) quand une personne commence à se réveiller, se livre à la recherche de la vérité et de l'auto-travail, mais l'autre personne est pas. Piège / danger d'essayer de rendre l'autre personne «voir» et «réveiller».
- - Toute personne qui ne sont pas dans le processus d'auto-travail sincère, chercher la vérité (et non pas au courant de la matrice hyperdimensionnel) peut devenir un «cheval de Troie», utilisé par les entités pour se rendre à celui qui est dans le processus d'éveil. Discernement dans les relations (et pas seulement le genre romantique)
- Sites Web:
Eve Lorgen: http://evelorgen.com
James Bartley: http://theuniversalseduction.com/bartley
Laura Leon: http://www.sovereignkees.com
Bernhard Guenther: http://veilofreality.com
Tom Montalk: http : //montalk.net
Carissa Conti: http://in2worlds.net
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