Les bestioles (généralités)

D’ordinaire, je vois la bestiole soit dans une vue d’ensemble de l’aura, ou au contraire dans la couche la plus proche du corps. Elle se localise aussi facilement au niveau d’un chakra majeur*.


Le terme bestiole est bien sûr à prendre au second degré.


Il m’arrive fréquemment de détecter un volume énergétique distinct de l’aura d’une personne. Sa forme et sa signature énergétique sont différentes selon la nature de cette énergie. Il arrive qu’elle se déplace d’elle-même en fonction des mouvements de la personne. Après une mise au point, il est même possible de voir le type de bestiole que c’est.


Hormis les kystes astraux (relevez la nuance) qui me semblent plutôt inertes - bien que consécutifs à des charges émotivo-statiques* bien vivantes - la plupart des espèces de bestiole que j’ai observé possède une vitalité hors du commun (toutes comparaisons faites avec des espèces terrestres analogues) ; de plus, elles manifestent le plus souvent une intelligence ou pour d’autres une capacité d’adapta on équivalente. Si du point de vue extérieur, leur présence exprime un parasitisme bio-énergétique, j’intéresse le lecteur à considérer le terrain dans lequel ces bestioles parviennent à évoluer et à se reproduire ; cela dit, toutes ne se reproduisent pas dans le corps sub l de l’homme ; il faut comprendre que leur présence est toujours en rapport avec certaines énergies récurrentes (colère, tristesse, frustra on, peur, dégoût, mépris, honte, par exemple) dont elles se nourrissent le plus souvent ou avec certains comportements (perversion, persécution (triade), manipulation, par exemple) véhiculées par la personne ; elles peuvent également cohabiter à plusieurs sans se gêner mutuellement.


Toutefois, si effectivement certaines espèces sont beaucoup plus sensibles que d’autres à des fréquences émotionnelles, tous les individus qui les expriment ces émotions ne sont pas forcément inquiétés par le parasitisme. Ces observations m’ont conduit à émettre l’idée que le parasitisme énergétique se produisait à la suite du replie de l’aura au moment où sa concentration est susceptible de les introduire. Cette dépression énergétique conduit conséquemment en une symbiose qui, au lieu de nuire au premier, lui permet d’une part de se débarrasser d’un trop plein de charges émotivo-statiques dangereux pour sa santé et d’autre part, de nourrir le second au fur et à mesure de la production de ces charges émotivo-statiques. Le problème, délicat à inventorier à cause de l’équilibre bio-énergétique sous-jacent, c’est que cette union nuit à l’évolution de l’individu. En effet, les personnes que je rencontre se plaignent le plus souvent que leur vie ou que les situations stagnent en dépit de tentatives volontaires d’y remédier.


Il arrive, en effet, que la bestiole suggestionne son hôte à son insu pour qu’elle produise suffisamment de ces fréquences émotionnelles dont elle a besoin pour exister. Une élévation des fréquences vibratoires de l’individu, déplaisante pour la plupart des bestioles, suffit généralement à les faire partir. Ce n’est pas forcément facile, car selon leur combativité (qui dépend surtout de leur âge), il peut être nécessaire de les bousculer un peu pour qu’elles acceptent de quitter leur hôte. Bien sûr, le thérapeute est susceptible, quant à lui, de glaner la bestiole : la fatigue qui suit cette opération en est souvent le signe le plus manifeste. À noter que les protections par pierre (oeil du tigre, améthyste) sont inefficaces. Il faudrait essayer avec des huiles essentielles, pourquoi pas.


Le problème qui m’a amené à l’observer a toujours été en rapport avec le fait de me synchroniser avec les énergies de la personnes pour aller la chercher et la remonter. Il faut donc être prudent dans sa façon de faire. Ensuite, j’ai souvent remarqué une remontée vertigineuse des énergies de l’individu dont il me dit un mois plus tard que sa vie a maintenant changée du tout au tout. Toutefois, pour certaines personnes, ce n’est pas vrai : bien qu’elles ne présentent aucun parasitisme, leur mode de pensées n’a pas évolués et leur vie non plus. Si dans le premier cas, le parasitisme pesait sur l’histoire de l’individu, dans le second cas, il présentait une vacuité qui sera susceptible d’être comblé par une prochaine bestiole. Il faut de tout pour faire un monde.

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