Les reptiliens

Ce témoignage raconte ma rencontre avec les reptiliens dont les contacts singuliers ont contribué à améliorer, selon moi, des échanges entre nos deux espèces.


texte augmenté et mis à jour le 16 mai 2014


Ma toute première rencontre avec un reptilien a eut lieu au cours d’une séance de thérapie énergétique, en 2009. Dans le dos de la personne, il y avait une zone épaisse et grise de toute évidence responsable de limitations que je ressentais dans la circulation de l’énergie au sein des Nāḍīs. En ajustant mon regard à la hauteur d’un chakra, des mains sont apparues ; elles n’étaient pas humaines, mais longue et griffues, un peu boudinée, écailleuses et d’une tonalité verte foncé et marron non uniforme. Il était présent dans ce corps depuis une dizaine d’année d’après les renseignement que j’ai glané. Ne sachant pas encore ce que c’était, je l’ai un peu bousculé pour qu’il libère son hôte. Ce ne fut pas sans peine. Comme je rencontrais de plus en plus souvent le phénomène, j’ai chercher progressivement à comprendre qu’elles étaient les émotions dont se

nourrissaient ces choses (la colère, l’injustice, l’angoisse, la peur, etc.), ce qui faisait qu’ils pénétraient dans l’aura (un épisode dépressif brutal - le suicide en option), ce qui pouvait leur déplaire que je puisse utiliser pour les faire partir (la résolution du problème qui a conduit à la dépression, puis, une augmentation des fréquences vibratoires du corps énergétique). Leur visage et leur physionomie me sont apparus plus précisément au fur et à mesure que je les rencontrais : en cherchant un peu sur Internet, j’ai découvert qu’ils s’agissait de reptilien. Peut être parce qu’ils ne manifestaient aucune agressivité contre mon intervention (alors que je les privais des émotions dont ils se nourrissaient), qu’ils ne se recollaient jamais aux personnes après qu’elles en aient été libérées (l’existence des victimes faisaient un bond si considérable du jour au lendemain), disons que j’ai eu peu à peu de d’empathie pour cette espèce humanoïde. J’ai tenté de communiquer avec eux parce qu’ils étaient de toute évidence intelligent (j’ignorais encore le genre d’intelligence dont ils étaient capables), mais il me semblait surtout nécessaire de comprendre pourquoi ils étaient accrochés aux humains. À cette époque, je ne connaissais pas encore toutes ces histoires qu’on racontait sur eux, et cette ignorance (candeur et surtout confiance) a probablement joué dans ma démarche.


C’est une femelle qui, un jour, m’a dit que la plupart de ses congénères préféraient clairement nous éviter en précisant qu’ils étaient plutôt indifférents du sort de l’humanité ; il y en avait aussi de profondément hostiles qui considéraient l’homme comme un animal non évolué et comme un parasite (cela semblait la désoler) ; et parmi ses congénères, il y en avait très peu qui souhaitait contribuer à l’évolution de l’homme, et par conséquent ils étaient incompris voire jugulés par leur propre communauté. Cette reptilienne faisait partie de ceux-là. Par la suite, les contacts avec d’autres reptiliens - mâles ou femelles - se sont multipliés, toujours au moment des séances, au cours desquels ils me parlaient alors de l’organisation de leur société : leur nombre serait considérable. Ils m’ont dit qu’ils avaient été les premiers habitants de la planète et que leur évolution les avaient conduit a en quitter la surface (une ascension ou quelque chose dans cette idée qui conduit le corps à changer de fréquence vibratoire). Le terme ”intra-terrestre” qu’ils ont parfois communiqués aux humains tentaient d’exprimer leur origine (la Terre) et leur lieu d’habitation (au sein de la Terre, et non sous la terre). Leur société serait structurée en petits groupes ou en clans de même opinion ; tous les clans seraient unis entre eux par le lien inflexible d’appartenance à la même espèce ; ce qui arrive à un reptilien est aussitôt connu des autres reptiliens. Leurs actions sont effectués avec la même unité. Chaque clan disposerait d’un chef qui se distinguerait de ses membres par ses vêtements (une sorte de justaucorps noir sans manche et un genre de pagne) et deux rangées de cornes qui leurs poussent sur le côté de la tête (des chefs de clan plus puissants (spirituellement ?) posséderaient trois rangés de cornes). Il est une figure d’autorité pour le groupe : à la fois le ”maire”, le ”policier”, le ”chef militaire”, etc. Par clan, il y aurait aussi une sorte de chef spirituel, portant une coiffe étrange sur la tête et un bâton avec pommeau. Lui se charge d’enseigner la spiritualité, en plus d’être une sorte de chaman. Son rôle est essentiel dans la société reptilienne. Autrement, seuls les membres du clan ne portent pas de vêtements. Ce n’est pas le bas de l’échelle, au sens où nous l’entendons. Chaque famille serait monogame et ne compterait au maximum que deux rejetons. Je ne connais pas leur mode de reproduc on. L’âge moyen d’un reptilien se situerait autour de 250 ans. Chez les jeunes, la tête est souvent ovale et leur menton est légèrement avancé et large. Deux trous précisent leur nez et leurs oreilles sans proéminence comme pour nous ; leurs écailles sont d’un vert clair et très fine, donnant un aspect lisse vers la tête, sauf vers le bas du corps où elles sont plus foncées. Lorsqu’ils sont plus vieux, la tête devient plus carrée, écailleuse et bosselée. Leur couleurs passe du vert foncé au brun et marron clair. Des exubérances osseuses ( ?) poussent avec l’âge sur la tête et semble former des lignes partant de l’avant vers l’arrière. L’âge, l’autorité et la sagesse semble intriquée de façon naturelle. Les émotions sont difficiles à voir visuellement. Elles sont observables énergétiquement. La colère est alors exprimée par du rouge vermillon, ou du rouge lie de vin. Ils donnent souvent l’impression d’être agressif, alors que cela ne correspond pas réellement à un état d’être. Jusqu’ici, j’ai toujours eu de bons rapports avec les reptiliens qui prenaient un hôte humain, même si les jeunes reptiliens ont toujours été un peu plus hargneux que les autres. Comme je l’ai souligné, leur grogne semble plutôt naturelle, mais ne signifie pas forcément de l’agressivité. Beaucoup d’entre eux m’ont communiqué des informations sur la meilleure façon de se libérer de leur hôte et de les aider en retour (ce qui a été le cas la plupart du temps). Cette démarche m’a beaucoup surpris (toujours en regard de ce qu’on dit sur eux). D’une part, l’influence qu’ils ont sur les humains dans ces conditions-là me semble différente d’un intérêt à en tirer un bénéfice personnel. Elle apparaît comme un moyen de réguler les émotions de l’hôte (vu comme une façon de s’en nourrir), bien que je ne pense pas que ce soit leur nourriture. D’autre part, il semblerait que leur intervention auprès des humains les ralentissent beaucoup dans leur propre évolution ; de même, pour les humains, leur propre problème existentiel les contraint à rester dans un état stationnaire, mais cela ne leur permet pas de chuter moralement plus bas, même si effectivement cela ne leur permet pas plus que les reptiliens d’évoluer. Malgré leur intelligence, ou parce qu’ils cherchaient à m’embobiner, il semblerait que les reptiliens n’aient pas compris cette nuance - la notion d’évolution semble différente chez eux - et qu’ils aient pensé bien faire, sans imaginer qu’ils seraient à leur tour piégé ( ?) par cette volonté de nous aider. Ça parait difficile à avaler à moi aussi !


Je ne peux pas dire que j’ai toujours eu de bons rapports avec les reptiliens, parce qu’il a fallu parfois placer des distances aux reptiliens vraiment agressifs que j’ai rencontré. Certains d’entre eux ont méchamment réagit quand ils ont su que j’étais en contact avec certains de leurs congénères. Ils ne s’en sont pas pris physiquement à moi, mais ont visiblement cherché à savoir quel était le nom du clan (que j’ignorais) qui traficotait avec moi. De mon point de vue, ils réagissaient comme quand on aboie sur quelqu’un. Leur physionomie et leur couleur est alors impressionnante, et peut provoquer une certaine stupeur. Cependant, je ne suis pas sûr qu’ils auraient été plus loin, naïvement sans doute.


Il est arrivé une fois où j’ai reçu la visite régulière de chefs de clan à deux crêtes. Les uns par curiosité, les autres pour me présenter à d’autres reptiliens avec un coiffe bizarre sur la tête (mais vêtus différemment des précédents). L’un d’eux était très vieux, je me souviens de sa peau écailleuse et blanche. Il semblait presqu’aveugle. Notre entrevue ne m’a pas semblé longue, et il en est ressorti chez lui une certaine satisfaction (je ne sais pas en quoi c’était satisfaisant). Par la suite, j’ai été visité par des chefs de clan à trois crêtes, qui m’ont conduit vers une « femme ». Leur reine peut être ou quelqu’un d’assez important pour qu’on ait fait toutes ces démarches. Elle m’a reçu dans ses appartements. Ce qui m’a frappé, ce sont les voiles de couleurs qui pendaient dans la pièce, dans un style arabe. Elle m’a semblé plutôt jeune (rapport à ses écailles fines et sa peau verte), mais en sa présence, je pouvais sentir toute la force de son autorité (et l’usage qu’elle en avait avec les reptiliens mâles). Elle rayonnait également une grande spiritualité - dans le sens que son rayonnement était paisible et très doux. Les deux étaient apparemment indissociables dans sa position hiérarchique. Je ne sais pas quelle usage j’avais à ses côtés, mais ma présence était visiblement sollicité sans mot dire - les questions étaient nombreuses.


Ces rencontres se sont succédé jusqu’au jour où l’on a placé un reptilien à mes côtés. On m’a dit que c’était pour ma protection (je vois pas comment, car ils étaient visuellement désarmés selon mon idée de la protection). Ça semblait sérieux, car il y eu des tours de garde, où des reptiliens de tout âge se sont succédés pendant au moins une semaine. Je dois avouer que ça me me ait mal à l’aise. D’autant qu’en cherchant à savoir à quel genre de menaces j’étais exposé, non seulement je n’obtenais aucune réponse, mais qu’en plus, je sentais l’appréhension des reptiliens (des plus jeunes en particulier). Par la suite, on me fit comprendre que le danger était écarté, et la protection s’est arrêté là.


Entre août et octobre 2011, il y a eu plusieurs visites de rep liens blessés. C’était la première fois que j’entendais parler d’une bataille. Il y en eu une autre, jusqu’en 2012, et celle-ci aurait été probablement spatiale. Ils étaient en guerre, mais je n’ai jamais su contre qui. Ils n’ont pas voulu me dire (des humains étaient-ils impliqués ? Des Gris ? D’autres extraterrestres ?). de toute évidence, toutes leurs forces étaient engagés. La seconde bataille avait fait beaucoup de morts et de blessés (que l’on m’a demandé d’aider en les magnétisant). J’ai assisté à l’évacuation de la Reine dans une grande agitation. Elle aurait été évacuée sur un site dont on m’a refusé l’accès pour me tenir à l’écart. Il y eut ensuite une période de « disette » qui affama beaucoup de clans. Puis, jusqu’à la fin de l’année 2012, un grand nombre d’entre eux ont prétendu me rencontrer afin de se libérer de leur lien avec les humains. Il ne m’ont pas expliqué pourquoi, mais j’ai vaguement compris qu’ils devaient partir (se battre ou se replier ?). Depuis, j’ai rencontré beaucoup moins de reptiliens. Ils ont peut être connu une lourde défaite (c’est un ressenti ) ou préféré se retirer dans un autre lieu, à l’abri.


Je pense que si le peuple reptilien était aussi hostile qu’on le dit, pourquoi aurait-il prit la peine de m’enseigner leurs coutumes, de m’expliquer comment leur société fonctionnait, le rôle de chacun, leurs travers, leur souffrance...


Au cours de l’année 2013, je rencontrais beaucoup moins fréquemment de reptiliens en séance ; 3 ou 4 dans les six premiers mois, de façon sporadique. L’intervention se passait toujours très bien. Néanmoins, je commençais à douter sérieusement des raisons de ces rencontres. Cette mise à l’écart dont je faisais l’objet ne collait pas après toutes les explications qu’ils m’avaient donnés. C’était sans doute volontaire, mais je sentais que nos rapports étaient différents. Ils ne communiquaient plus et se laissaient « extraire » sans broncher. La libération qui était jusqu’ici toujours palpable, soit énergétiquement, soit émotionnellement, ne l’était plus. J’ai fini par douter de cette méthode. Et du jour au lendemain, je n’ai plus rencontré un seul reptilien. Il fallu attendre 6 mois de plus pour que j’en rencontre de nouveau, mais dans des circonstances curieuses, me signifiant leur capacité à montrer que ce qu’ils veulent bien nous montrer (ou que l’on est capable de voir) dans un but que nous ne comprendrions certainement pas.

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