Flash (un peu) spécial : sur l'ionisation atmosphérique



Ce point de vue avoit déjà été abordé le 13 février 2016 dans un pli intitulé : Le champ magnétique est-il en train de s'affaiblir ?

Chaque solstice marquerait une période au cours laquelle se produirait au sein de l'écliptique une modification du champ magnétique terrestre ; sans doute qu'avec l'inversion Brunhes-Matuyama, ce phénomène est accentué. En tout état de cause, cette singularité que j'avais observé entre le 10 et le 24 janvier 2016 semble de nouveau se manifester avec autant d'intensité depuis le 16 juin dernier.
En me basant sur mon propre ressenti - à défaut d'instruments plus chers et moins efficaces (prétention parfaitement moqueuse, isn't) - cette période s'étalerait actuellement sur 12 jours (et 12 jours en 2015) et elle a atteint un pic au Solstice d'été (cette année, du 16-06 au 28-06-2016 - mise à jour prévue à la fin du mois). Cet avis tient au fait que comparativement, mon antenne paranormale laisserait penser que les équinoxes seraient des périodes relativement stables énergétiquement (sauf cette année où cette période a été vraiment brouillon !). Je continu donc toujours de chercher à - tort ? - déterminer une corrélation entre, l'activité aurorale et l'épaisseur de la couche d'ozone (ici ) et le climat mondial (ici). Ces trois composantes étant forcément reliées (selon moi). Mes premières observations ont d'abord mis en relation l'épaisseur de la couche d'ozone et le climat. Cependant, très honnêtement, cette étude a seulement mis en évidence ce que l'on sait déjà, à savoir qu'une anomalie (épaisseur de la couche d'ozone) engendre une correction (des phénomènes atmosphériques). L'homme lui donne-t-il (vraiment) un coup de main (ici) ? Si cette anomalie explique parfois localement mon ressenti, elle ne l'explique pas toujours ! J'ai donc estimé que l'accroissement de l'ionisation de l'atmosphère quelquefois provenait d'ailleurs, ce qui m'a conduit à observer d'un peu plus près l'activité aurorale (ici et ) à partir de données solaires (ici et ). Il en est ressorti (ce que l'on sait déjà) que cette activité aurorale est comme une fenêtre ouverte sur le milieu interplanétaire, sauf que celle-ci ne se limite pas seulement à de magnifiques observations dans la haute atmosphère. Ce serait plutôt la partie émergée de l'iceberg. En l'occurrence, il semblerait y avoir une nette accointance entre l'activité aurorale et le ressenti de l'excitation physique qui me chatouille de temps en temps et avec plus ou moins d'intensité. Elle serait même prévisible de quelques heures à 3 jours après son signalement ; ce serait selon la densité et la vitesse des particules électriques qui remplissent notre environnement (speed ici). Bien entendu, ce serait trop simple si ce n'était pas plus compliqué. D'ailleurs, quelquefois, la faible épaisseur de la couche d'ozone est désignée comme la seule responsable de mon ressenti, et à d'autres moments, il existerait une correspondance avec l'activité aurorale. Il suffit d'ailleurs d'observer cet historique (ici) pour se rendre compte que la couche d'ozone est plus élevée ou plus faible à certaines périodes de l'année, mais néanmoins plus faible aujourd'hui qu'hier. Ainsi, en première conclusion, le champ magnétique terrestre pourrait effectivement être (de temps en temps) une (vraie) passoire, provoquant manifestement une ionisation de notre atmosphère à travers n'importe quelle brèche dans le bouclier et un lien de cause à effet (direct) avec le réchauffement du climat (avec les conséquences que l'on connait ici ou ). Mais pourquoi de temps en temps et pas tout le temps ? Le phénomène est relativement récent, et l'origine de cette modification ne peut donc pas seulement s'expliquer comme relative au mouvement écliptique de la Terre autour du Soleil. L'explication tiendrait en une ligne, ce serait trop simple. 




Aujourd'hui, c'est tout le système solaire - Soleil compris - qui subit cette conjecture (ici ici), c'est surement que l'origine du « problème » se situe en dehors du système solaire en question. Un affaiblissement de l'héliosphère ? Pourquoi pas. ici. Une naine brunâtre ou vermillon ? Possible ici. Voire les deux (soyons fou). Dans tous les cas, remercions notre champ magnétique de faire de son mieux pour juguler la pression exercée par le flux de particules ionisantes en provenance du Soleil et d'ailleurs (voir ici et ici et ici). Cela ne fait que commencer, comme le montre le facteur énergétique de plus en plus remarquable, depuis, disons, 2009. Dans mon livre paru en 2010, j'écrivais à ce propos ces quelques observations (1) :


« S’il est admis que ce TVTer a évolué dans le temps pour passer grosso modo de 13 000 ub avant 2007 à 18500 ub à la fin de l’année 2008, ce taux a considérablement augmenté depuis. Mes mesures indiquent une élévation jusqu’à 26500 ub jusqu’en décembre dernier environ. Cependant, jusqu’en octobre 2009, ce TVTer a été relativement stable (de l’ordre de 35 000 ub). LE TVTer va ensuite devenir variable en l’espace de quelques semaines, en quelques jours, puis finalement en quelques heures. C’est encore le cas en ce début d’année 2010. L’amplitude de ce changement est d’ailleurs particulièrement étrange, car le TV journalier peut évoluer de 45 000 ub à 150 000 ub en l’espace de quelques heures. Ces variations ne sont pas anodines, loin s’en faut, et chacun pourra apprécier la véracité de mon analyse, en y comparant son propre ressenti. »


Il en résulte que si l'excitation ressentie actuellement nous avertit que nous subissons une douche généreuse de muons, elle pourrait, je l'ai dis, expliquer les effets mutagènes à venir - mais est-ce que ce n'est pas tout simplement mélanger ? -  en commençant par la nette prolifération d'organismes pathogènes (ici) (les bactéries et les bacilles d'abord) qui semblent brusquement apparaître (ou réapparaître) depuis début mai, sans doute surexcités par les orages (ici) et l'excédent pluviométrique (localement, scarlatine, pieds-mains-bouche, gastro-entérite, par exemple). Car bien sûr, ces élévations d'énergie provoquent une « excitation » à la fois climatique et organique, profitant (au bon sens du stress) aux êtres vivants combatifs (végétation, animaux et micro-organisme) comme un turbo à une Lada Sport. Il s'agit d'une montée de sève dans tous les sens du terme. Comme je vois mal le phénomène cesser demain, et disons-le, pas avant 1200 ans (), il pourra sembler plus ou moins évident de devoir nous y adapter en évitant de faire chier son voisin. Chez nos semblables, cette « montée de sève » débouche sur des douleurs physiques relatives à un manque d'harmonie intérieur. Après s'être fait oublier, elles participeraient ensuite à la modification progressive et remarquable de l'humeur générale. Et alors, les vieux et les jeunes deviennent aussi « cons » l'un que l'autre, comme si d'en avoir un seul n'était plus suffisant. En toute logique, un 49.3 (musique) ne rien fait pour calmer les esprits échauffés par Mère Nature... L'avenir ne nous dira pas le contraire !

A Cassandre


Mignonne, allons voir si la rose

Qui ce matin avoit desclose

Sa robe de pourpre au Soleil,

A point perdu ceste vesprée

Les plis de sa robe pourprée,

Et son teint au vostre pareil.


Las ! voyez comme en peu d'espace,

Mignonne, elle a dessus la place

Las ! las ses beautez laissé cheoir !

Ô vrayment marastre Nature,

Puis qu'une telle fleur ne dure

Que du matin jusques au soir !


Donc, si vous me croyez, mignonne,

Tandis que vostre âge fleuronne

En sa plus verte nouveauté,

Cueillez, cueillez vostre jeunesse :

Comme à ceste fleur la vieillesse

Fera ternir vostre beauté.


Les Odes (1550), Pierre de Ronsard


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(1) « Vous reprendrez bien un peu d'évolution ? », bibi, page 150

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