Douleurs persistantes des membres
Il arrive que des charges émotivo-statique* traduisent leur présence dans le corps par des douleurs difficiles à éradiquer par les méthodes traditionnelles.
Les douleurs persistantes des membres montrent souvent une accumulation émotivo-statique* locale ; elle est évidente lorsqu'on pose le regard dessus ou en faisant des passes magnétiques : les informations recueillies se caractérisent régulièrement par des images ou des mini-scènes vidéo du problème exacte qui leurs ont donné naissance. Ainsi, il est possible de comprendre pourquoi le muscle, l'organe ou le ligament souffre, et comment intervenir pour le soulager. Bien que ce renseignement soit irrationnel selon le point de vue de la science moderne, je peux à n'importe quel moment et sans jamais toucher l'individu guider n'importe quel médecin sur la voie à suivre pour aider son patient. l'Establishment français ne le permet pas, mais sachez que c'est possible.
Ces images ne sont pas toujours flagrantes et peuvent de surcroit présenter des abstractions. C'est le cas, par exemple, lorsque le problème est d'origine émotionnel. Une accumulation de plusieurs ressentis personnels à l'origine du mal-être général peut causer une seule ou plusieurs douleurs physiques, et se comprendre intuitivement comme lier au même comportement de plusieurs personnes différentes. Ce méli-mélo n'est malheureusement pas rare, et il n'est pas pris suffisamment au sérieux. Il est tout au plus acquiescé du bout des lèvres par ces personnes, sans que cela change quoique ce soit à leur attitude futur.
Lorsque les charges émotivo-statiques* s'amplifient, elles peuvent d'une part se diviser et d'autre part, être reliées les unes aux autres au moyens de ramifications. Cet aspect est assez curieux d'ailleurs, car plusieurs douleurs peuvent s'accorder entre elles, sans que le motif qui en est à l'origine soit visible au premier abord. Pour le découvrir, il est nécessaire de débarrasser les douleurs en prenant celle qui se présente, comme un fil conducteur, ce qui oblige à changer fréquemment de zone corporelles. En procédant ainsi, chaque blessure déverrouillée se comporte comme si l'on remontait physiquement à la fois dans le temps et dans l'histoire de l'individu, jusqu'à atteindre son origine. J'ai connu des ramifications qui dataient de l'enfance, et d'autres qui semblaient apparemment être de même nature, mais en dehors du présent. Je l'envisage alors comme une trace du karma qu'on libère en se concentrant sur le présent. L'aspect positif de ce nettoyage est qu'une fois son origine trouvée, il est assez rare qu'un individu soit de nouveau gêné par cette douleur. Cela m'a en fait, fait comprendre que l'on ne pouvait pas tout étiqueter sous le terme psychosomatique, et qu'il existerait dans notre existence quelque chose qu'on n'imagine pas encore en psychologie (la faute au matérialisme).
Il arrive fréquemment qu'il faille magnétiser alternativement l'accumulation émotivo-statique et ses ramifications. La perception d'une amélioration se fait toujours sentir progressivement et s'accompagne le plus souvent d'une sensation de légèreté, puis de libération, à la fois physique et psychique. Bien sûr, ce serait trop beau pour être vrai, s'il n'y avait pas de temps en temps des douleurs récalcitrantes. En l'occurrence, il ne s'agit pas vraiment d'une douleur fantôme, ni exactement dans le registre de la douleur - bien que la personne l'identifie comme telle ; néanmoins, je détecte de la douleur exactement à l'endroit qu'on me dit, mais pour tout dire, l'intensité me semble différente et « vide » par rapport au contenu perceptif qu'on m'en donne. Il s'avère qu'un soin complémentaire (ou supplémentaire ?) orienté sur l'affectif, et l'attention que je porte à l'autre en particulier, soulage momentanément ces personnes ; leur souffrance se reconnaît facilement à une sorte de stratégique infantile, car il m'arrive quelquefois que dater exactement un évènement survenu dans l'histoire de l'individu expliquant ce qui a engendré cette situation et pour quelle raison. Je déplore que l'on ne prenne pas cette observation au sérieux, parce qu'il y a réellement là une manière de changer de comportement. Pour finir, il se peut que la douleur se transforme en une chose que le mental crée , et que je nomme « l'habitude de souffrir ». Il m'est difficile de faire plus si les gens ne font rien pour prendre conscience de leur façon de fonctionner !
Ces images ne sont pas toujours flagrantes et peuvent de surcroit présenter des abstractions. C'est le cas, par exemple, lorsque le problème est d'origine émotionnel. Une accumulation de plusieurs ressentis personnels à l'origine du mal-être général peut causer une seule ou plusieurs douleurs physiques, et se comprendre intuitivement comme lier au même comportement de plusieurs personnes différentes. Ce méli-mélo n'est malheureusement pas rare, et il n'est pas pris suffisamment au sérieux. Il est tout au plus acquiescé du bout des lèvres par ces personnes, sans que cela change quoique ce soit à leur attitude futur.
Lorsque les charges émotivo-statiques* s'amplifient, elles peuvent d'une part se diviser et d'autre part, être reliées les unes aux autres au moyens de ramifications. Cet aspect est assez curieux d'ailleurs, car plusieurs douleurs peuvent s'accorder entre elles, sans que le motif qui en est à l'origine soit visible au premier abord. Pour le découvrir, il est nécessaire de débarrasser les douleurs en prenant celle qui se présente, comme un fil conducteur, ce qui oblige à changer fréquemment de zone corporelles. En procédant ainsi, chaque blessure déverrouillée se comporte comme si l'on remontait physiquement à la fois dans le temps et dans l'histoire de l'individu, jusqu'à atteindre son origine. J'ai connu des ramifications qui dataient de l'enfance, et d'autres qui semblaient apparemment être de même nature, mais en dehors du présent. Je l'envisage alors comme une trace du karma qu'on libère en se concentrant sur le présent. L'aspect positif de ce nettoyage est qu'une fois son origine trouvée, il est assez rare qu'un individu soit de nouveau gêné par cette douleur. Cela m'a en fait, fait comprendre que l'on ne pouvait pas tout étiqueter sous le terme psychosomatique, et qu'il existerait dans notre existence quelque chose qu'on n'imagine pas encore en psychologie (la faute au matérialisme).
Il arrive fréquemment qu'il faille magnétiser alternativement l'accumulation émotivo-statique et ses ramifications. La perception d'une amélioration se fait toujours sentir progressivement et s'accompagne le plus souvent d'une sensation de légèreté, puis de libération, à la fois physique et psychique. Bien sûr, ce serait trop beau pour être vrai, s'il n'y avait pas de temps en temps des douleurs récalcitrantes. En l'occurrence, il ne s'agit pas vraiment d'une douleur fantôme, ni exactement dans le registre de la douleur - bien que la personne l'identifie comme telle ; néanmoins, je détecte de la douleur exactement à l'endroit qu'on me dit, mais pour tout dire, l'intensité me semble différente et « vide » par rapport au contenu perceptif qu'on m'en donne. Il s'avère qu'un soin complémentaire (ou supplémentaire ?) orienté sur l'affectif, et l'attention que je porte à l'autre en particulier, soulage momentanément ces personnes ; leur souffrance se reconnaît facilement à une sorte de stratégique infantile, car il m'arrive quelquefois que dater exactement un évènement survenu dans l'histoire de l'individu expliquant ce qui a engendré cette situation et pour quelle raison. Je déplore que l'on ne prenne pas cette observation au sérieux, parce qu'il y a réellement là une manière de changer de comportement. Pour finir, il se peut que la douleur se transforme en une chose que le mental crée , et que je nomme « l'habitude de souffrir ». Il m'est difficile de faire plus si les gens ne font rien pour prendre conscience de leur façon de fonctionner !
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