Le visage de la douleur
Nous percevons tous en soi la douleur comme une réaction à un problème physique, or je crois que nous nous arrêtons trop facilement à cette première analyse, sans doute par méconnaissance de ses conséquences psychénergétiques*.
La persistance de la douleur alors que le compte rendu clinique ne détecte rien de particulier, s'explique habituellement par une émotion bloquée (charge émotivo-statique*) que le ressenti intuitif décrit plus clairement. Elle peut ainsi résister à tous les traitements classiques et présenter une récurrence des mois ou des années durant.
Une émotion bloquée est fréquemment présente avant l'intervention du spécialiste. Son origine peut avoir pour cause une négligence par son mode de vie, un choc émotionnel ou une accumulation progressive des émotions ; si le problème survient à la naissance de l'enfant, c'est probablement la piste du patrimoine émotionnel qu'il faut suivre ; si le problème s'étale sur plusieurs années, il y a de fortes chances que l'individu l'ait géré à la force du mental. Lorsqu'il n'en peut plus - parce que le corps n'en peut plus - un événement supplémentaire dans la vie de l'individu, la moindre intervention d'un spécialiste peut détruire l'équilibre dans lequel l'émotion est confinée :
De l'émotion à la douleur
Une émotion bloquée est fréquemment présente avant l'intervention du spécialiste. Son origine peut avoir pour cause une négligence par son mode de vie, un choc émotionnel ou une accumulation progressive des émotions ; si le problème survient à la naissance de l'enfant, c'est probablement la piste du patrimoine émotionnel qu'il faut suivre ; si le problème s'étale sur plusieurs années, il y a de fortes chances que l'individu l'ait géré à la force du mental. Lorsqu'il n'en peut plus - parce que le corps n'en peut plus - un événement supplémentaire dans la vie de l'individu, la moindre intervention d'un spécialiste peut détruire l'équilibre dans lequel l'émotion est confinée :
- S'il s'agit d'une intervention chirurgicale, même bénigne, la cicatrisation peut être contrariée, ou retarder, par exemple.
- S'il s'agit d'une manipulation physique, l'approche humaine du spécialiste peut déclencher cette récurrence, par exemple.
De la douleur à l'émotion
Une émotion peut se bloquer quand l'individu se situe dans un état de vulnérabilité ; c'est une manière brutale de se déconnecter de la réalité sans perdre connaissance (sans perdre sa consciente, sans céder à la folie ?) ; cette vulnérabilité prend une forme dense dans la psyché : le mental se la représente ; elle se matérialise en une émotion perçue intérieurement comme une menace palpable ; le mental crée ensuite une limite en dessous de laquelle l'individu se sentira instinctivement en danger ; il cherchera donc dans ses rapports avec l'autre que personne ne le conduise à atteindre cette limite. Elle peut se manifester lors de l'intervention d'un spécialiste (massage, examen médical, harcèlement moral, par exemple).
Cet état peut survenir quand l'individu ressent à travers son corps une violation de territoire (soins au patient à la suite d'un accident et négligence vis à vis de sa sensibilité, inceste, violence familiale, par exemple) ; la réaction se veut instinctive. son intensité provoque une pression à l'extérieur, un retranchement de plus en plus profond en soi ; il est stimulé par la situation, l'environnement, le comportement de l'autre ; l'individu protège de sa sensation de vulnérabilité ce qu'il a de plus profond et de plus précieux en lui, un genre de nature intérieure (individualité, sentiment de soi, âme ?) ;
Elle s'impose en une tentative d'adaptation : à une situation, une pression de l'extérieure, dans le processus de reconstruction de l'individu ou dans son maintien.
La douleur visuelle comme témoin son existence
La douleur connaît de toute évidence un double cheminement :
- physique : transmis par des signaux électriques et chimiques jusqu'au cerveau.
- Subtil : elles s'impriment dans l'aura
Notre pensée est capable de capter ces 2 informations à la fois.
Les douleurs physiques demandent une certaine concentration pour être localisées intuitivement dans le corps ; à moins que la sensation soit nette, d'une intensité suffisante pour être vue, elles peuvent être difficile à localiser si elles sont diluées autour d'un épicentre ;
D'un simple balayage du regard, il est possible d'accrocher leur émission quand elles sont fortes et modérées, tandis que les douleurs sourdes et discrètes demandent vraiment de la concentration. Il est parfois difficile d'avoir la même appréciation que l'interlocuteur. Je l'interprète de façon plus fine en fonction de la tétanisation des muscles de ma main.
La palpation intuitive de l'aura permet une observation de la douleur à différents niveaux de profondeurs dans le corps éthérique, astral voire mental.
Les douleurs physiques demandent une certaine concentration pour être localisées intuitivement dans le corps ; à moins que la sensation soit nette, d'une intensité suffisante pour être vue, elles peuvent être difficile à localiser si elles sont diluées autour d'un épicentre ;
D'un simple balayage du regard, il est possible d'accrocher leur émission quand elles sont fortes et modérées, tandis que les douleurs sourdes et discrètes demandent vraiment de la concentration. Il est parfois difficile d'avoir la même appréciation que l'interlocuteur. Je l'interprète de façon plus fine en fonction de la tétanisation des muscles de ma main.
La palpation intuitive de l'aura permet une observation de la douleur à différents niveaux de profondeurs dans le corps éthérique, astral voire mental.
- Les douleurs visibles dans l'aura communiquent librement un état d'être sans forcément véhiculer d'intention à l'attention des autres ;
- des douleurs visibles peuvent chercher à attirer la compassion de l'autre d'une façon non verbale ;
- des douleurs non visibles dans l'aura tentent de dissimuler cette information aux autres ;
- les douleurs non visibles se détectent parce qu'elles influencent localement la dynamique de l'aura
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