Le bien et le mal dans l'Homme

Quelque soit l'évolution de notre conscience, nos peurs en disent beaucoup sur nos instincts et la façon de se protéger des situations et des autres.



Une question d'histoire


Les vertus curatives du magnétisme sont très souvent présentés comme la manifestation de dieu, des anges gardiens, des Invisibles*, de l'au-delà, mais rarement ou jamais de la seule volonté du magnétiseur. A contrario, on accordera plus aisément à un individu l'origine d'un mauvais sort dont on va dire de lui qu'il commande aux éléments et aux mauvaises entités, mais on accordera aucune importance à l'instrumentation des Invisibles dont pourrait faire l'objet cette personne. De là est apparu le don qui protège les bienveillants ou condamne les hostiles du courroux de ses semblables.

Un « don » pour « tous » ?


Il ne faut pas croire que l'individu lambda soit exempt de capacités à avantager ou à nuire à ses semblables. Avec un peu d'expérience, chacun soupçonne le potentiel de ses pensées. Habituellement, ces facultés sont simplement canalisées et limités à la morale, la Loi, par nos croyances au Bien et au Mal. Comme elles sont plus particulièrement sensibles à la peur, il ne suffit parfois de pas grand chose pour les utiliser : et alors, adieu morale, adieu Loi, adieu croyance quand il s'agit de se protéger ou de se venger d'un autre individu. D'accord, peu de gens croiront qu'ils ont réellement atteint leur cible. Très peu de gens souffriront de l'avoir fait. Très très peu de gens accepteront de se remettre en question de l'avoir fait. Mais rare seront ceux qui ressentiront la responsabilité de ne pas le faire, malgré la pulsion de le faire.

Complément
Déclaration universelle de l’UNESCO sur la diversité culturelle (pdf)
Corps à corps - enquête sur la sorcellerie dans le bocage - Jeanne Favret-Saada & Josée Contreras

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