Les limites des espaces vibratoires
Les espaces que nous sommes susceptibles de connaître paraissent quelquefois inaccessibles parce que l'on croit qu'il est nécessaire de changer de forme vibratoire pour les atteindre.
Imaginons que l'on regarde un paysage derrière une fenêtre fermée ; un paysage s'offre à nos yeux, mais son espace est « inaccessible » puisque nous sommes séparés de lui par une fenêtre. Admettons un instant que la vitre dispose de "propriétés" qui nous permettent de la traverser ; pour atteindre le paysage, il faudra d'abord quitter l'espace dans lequel on se trouve actuellement, entrer dans un espace matérialisé par la vitre, puis entrer dans un nouvel espace représenté par le paysage. Bien sûr, ce serait déjà plus facile si l'on n'avait pas cette conviction qu'il est impossible de traverser une vitre sans la briser !
Admettons.
Le passage d'un plan vibratoire à un autre plan vibratoire est à la fois aisé et difficile. Il peut se dénicher à l'aide d'un diapason, par exemple, ou à l'aide de ses mains. En principe, deux espaces vibratoires sont délimités par un troisième qui tient lieu de limite à ces espaces. Ce point de vue place l'expérimentateur dans un espace supplémentaire à l'aide duquel il est spectateur passif des 3 précédents. Quand il place sont attention dans l'un de ces trois espaces d'étude, il est toujours spectateur passif dans cet environnement. Si son intention est de traverser chaque espace, il devient nécessairement acteur dans cette action. Ce sont très précisément nos croyances qui limiteront nos possibilités de franchir chaque espace !
Au moment de franchir ces espaces vibratoires, nous rencontrons nos certitudes rationnelles, calquées sur le monde physique ; nous pensons avec logique qu'il est impossible d'aller au-delà de la résistance que nous sentons comme un obstacle à notre progression. Pour s'en affranchir, il est nécessaire d'adopter un autre paradigme.
Tous les accès aux plans vibratoires s'appuient sur cette attitude de l'esprit. Tous nos corps vibratoires sont accessibles de la même façon. Le passage du corps énergétique au corps physique idem. Je ne dis pas que c'est simple, je dis seulement que c'est un point de vue de l'esprit. En franchissant ces espaces, on ressent vibratoirement des nuances. Ces différences expriment le milieu dans lequel chacun se situe, ce qui permet de les apprendre et de les comprendre de l'intérieur.
L'extrait du texte suivant a été ajouté le 28 février 2013 provient du livre le plan mental de C.W. Leadbeater.
Dire d'un homme qu'il passe d'un de ces plans sur un autre, n'implique donc en aucune façon qu'il change de place, mais seulement qu'il éprouve une modification de conscience. Tout homme, en effet, réunit en sa personne de la matière appartenant à chacun de ces plans et, pour chacun d'eux, un véhicule correspondant, véhicule qu'il peut employer momentanément après avoir appris l'usage. Passer d'un plan à un autre signifie par conséquent transférer le foyer de la conscience d'un véhicule à un autre et employer momentanément le corps astral ou le corps mental au lieu du corps physique. Chacun de ces corps ne répond naturellement qu'aux vibrations de son propre plan. Si donc un homme "centre sa conscience dans le corps astral, il ne percevra que le monde astral, tout comme nous ne percevons que le monde physique, quand notre conscience n'emploie que les sens physiques. Néanmoins, ces deux mondes (et bien d'autres encore) existent en pleine activité, et nous entourent sans cesse. L'ensemble de ces plans constitue, en réalité, un tout immense et vivant, bien que nos facultés rudimentaires ne soient encore capables d'en observer, à la fois, qu'une minime partie."
Admettons.
Le passage d'un plan vibratoire à un autre plan vibratoire est à la fois aisé et difficile. Il peut se dénicher à l'aide d'un diapason, par exemple, ou à l'aide de ses mains. En principe, deux espaces vibratoires sont délimités par un troisième qui tient lieu de limite à ces espaces. Ce point de vue place l'expérimentateur dans un espace supplémentaire à l'aide duquel il est spectateur passif des 3 précédents. Quand il place sont attention dans l'un de ces trois espaces d'étude, il est toujours spectateur passif dans cet environnement. Si son intention est de traverser chaque espace, il devient nécessairement acteur dans cette action. Ce sont très précisément nos croyances qui limiteront nos possibilités de franchir chaque espace !
Au moment de franchir ces espaces vibratoires, nous rencontrons nos certitudes rationnelles, calquées sur le monde physique ; nous pensons avec logique qu'il est impossible d'aller au-delà de la résistance que nous sentons comme un obstacle à notre progression. Pour s'en affranchir, il est nécessaire d'adopter un autre paradigme.
Tous les accès aux plans vibratoires s'appuient sur cette attitude de l'esprit. Tous nos corps vibratoires sont accessibles de la même façon. Le passage du corps énergétique au corps physique idem. Je ne dis pas que c'est simple, je dis seulement que c'est un point de vue de l'esprit. En franchissant ces espaces, on ressent vibratoirement des nuances. Ces différences expriment le milieu dans lequel chacun se situe, ce qui permet de les apprendre et de les comprendre de l'intérieur.
L'extrait du texte suivant a été ajouté le 28 février 2013 provient du livre le plan mental de C.W. Leadbeater.
"[...] il existe dans la nature différents plans ou départements ; à chacun correspond une matière qui lui est spéciale, d'une densité appropriée, matière qui interpénètre toujours la matière du plan immédiatement au-dessous. Il faut bien comprendre aussi que l'expression "supérieur" ou "inférieur" que nous appliquons à ces plans, ne se rapportent aucunement à leur position (puisqu'ils occupent tous le même espace), mais seulement au degré de raréfaction de leur matière consécutive particulière ou, en d'autres termes, à son degré de subdivision. Tous les genres de matière qui nous sont connus sont, au fond, identiques ; ils ne différent que par leur degré de subdivision et par leur rapidité vibratoire.
Dire d'un homme qu'il passe d'un de ces plans sur un autre, n'implique donc en aucune façon qu'il change de place, mais seulement qu'il éprouve une modification de conscience. Tout homme, en effet, réunit en sa personne de la matière appartenant à chacun de ces plans et, pour chacun d'eux, un véhicule correspondant, véhicule qu'il peut employer momentanément après avoir appris l'usage. Passer d'un plan à un autre signifie par conséquent transférer le foyer de la conscience d'un véhicule à un autre et employer momentanément le corps astral ou le corps mental au lieu du corps physique. Chacun de ces corps ne répond naturellement qu'aux vibrations de son propre plan. Si donc un homme "centre sa conscience dans le corps astral, il ne percevra que le monde astral, tout comme nous ne percevons que le monde physique, quand notre conscience n'emploie que les sens physiques. Néanmoins, ces deux mondes (et bien d'autres encore) existent en pleine activité, et nous entourent sans cesse. L'ensemble de ces plans constitue, en réalité, un tout immense et vivant, bien que nos facultés rudimentaires ne soient encore capables d'en observer, à la fois, qu'une minime partie."
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