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Affichage des articles du juin, 2013

D’âme à âme

Certaines interventions nécessitent de ma part de dialoguer d’âme à âme. En effet, j’ai découvert que certains problèmes énergétiques ne pouvaient pas être apaisés sans cette allégorie. Cette approche dispense d’un avertissement préalable ou postérieure avec l’individu concerné. De même, le choix de procéder ainsi dépend du trouble rencontré. Il se précise plutôt en fin de séance qu’au début. En général, j’ai l’intime conviction d’avoir suffisamment harmonisé le corps, mais qu’une gêne subsiste au dedans de la conscience. L’image renvoyée de la profondeur de l’être est généralement un sentiment de frayeur (lié à la façon de mourir, par exemple), ou de persécution (cauchemar dans l’enfance, par exemple), qui se manifeste visuellement par un replis sur soi. Ce replis sur soi très intériorisé n’est pas forcément palpable dans le quotidien de ces personnes qui s’expriment plus clairement par des vagues de mal-être indéfinissables. Il est important de comprendre que je découvre cette résist...

Miasmes chakrasiques

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bulbe Chaque chakra peut être visualisé tour à tour afin de connaître l’état physique de sa santé ou de ses perturbations. Une épaisseur est visible à l’intérieur du tube sur sa circonférence. Elle peut encombrer tout le tube jusqu’à son extrémité ou seulement par parties. De couleur noir, elle se présente comme de la suie à l’intérieur d’un conduit de cheminée. Elle produit seulement un ralentissement de l’énergie, selon le sens de rotation du chakra. Le chakra est obturé, le plus souvent à sa base. Une très faible quantité d’énergie atteint le bulbe. Le bouchon favorise la saturation du chakra. Couleur noir et bouchon assez net.  Le bulbe du chakra est imprégné d’une substance noir d’épaisseur uniforme. L’énergie amené par le tube ne permet pas sa synthèse dans le corps énergétique. Nettoyage (intuitif assez facile) : Le nettoyage par zone (chakra secondaire) ne permet pas de connaître son efficacité sur les organes dans l’état actuel de mes connaissances. Il se présente...

Âme bleue

Cette nuit là, il me semble encore difficile de dire à quoi j’ai assisté. En effet, si je me trouvais en présence d’une âme, celle-ci était d’un bleu profond. La tête de l’être était légèrement ovale et lisse, légèrement disproportionné et bien qu’aucun trait du visage n’était dessiné, je savais qu’il me souriait. De ne pas voir non plus de cheveux me surprit un peu, mais le trouble se dissipa rapidement. Il rayonnait quelque chose qui me mettait en confiance. Sa transparence ne montrait étonnamment aucun organe interne. En regardant à travers, ma vision s’agrandit aussitôt. Je me trouvais dans un espace sans profondeur, ni haut, ni bas. C’était noir et lumineux à la fois. Au loin, il y avait des points brillants, comparable à une voie lactée ; je ne voyais pas ce que c’était d’autre. De ce point de vue, je vis d’un peu plus loin deux corps graciles face à face exactement semblable sous cette apparence : les visages tournés l’un vers l’autre étaient très proches l’un de l’autre. Leurs ...

Toutes les émotions sont palpables

La découverte d'une émotion dense ne pose habituellement aucun problème, car sa polarité agit directement sur le corps subtil en freinant la circulation du fluide énergétique.  La charge d'une émotion est fréquemment reliée au souvenir d'un  événement  vécu par l'individu. La polarité de cette charge peut en attirer d'autres de même nature au même endroit, mais leur intensité peut être différente. Très souvent même. La nature vibratoire de cette émotion n'est pas la même selon qu'il s'agisse d'un point de vue (croyance, par exemple) ou qu'elle touche le physique (maltraitance, par exemple). Elle ne signifie pas non plus la même chose pour l'individu qui s'y est adapté ou qui n'y est pas parvenu. Son intensité joue le rôle d'une gâchette : elle s'insinue dans la matière si elle est suffisamment importante. Les charges des émotions révèlent en quelque sorte notre  perméabilité  aux émotions par nos interactions sociales ; un...

D’une vie à l’autre

Texte supplémentaire ajouté le 25/02/2016 Depuis le mois d’octobre déjà, mon Instructeur * m’avait fait comprendre que je mourrais bientôt. Malgré ce rappel régulier les jours suivants, en fait, j’étais plutôt sceptique ; pourtant, force est de reconnaître que je suis mort comme cela a été dit. Seulement, ce ne fut pas la seule fois de mon vivant, ni la dernière fois. Un soir du mois de décembre, il apparu et me dit : ”c’est le moment !” De toute évidence, depuis 7 ans, sans le savoir, j’avais été préparé précisément à cet événement. Sans le savoir, j’avais servis des intérêts plus grands ou plus modestes, dans le seul but d’apprendre la valeur de l’existence, d’ouvrir mon esprit à l’environnement, d’agrandir ma conscience. Ce soir-là, il était là, serein comme toujours ; la force vibratoire de cette consigne ne me permettait pas de sentir l’importance de cette décision, mais s’imposait d’une telle façon qu’elle ne me laissait d’autres choix que celui de le suivre dans un espace qui si...

Vrille énergétique : fibre musculaire

Les vrilles de l’aura au niveau d’un membre sont parfois beaucoup plus difficiles à résoudre que les vrilles au niveau d’une articulation. Vrille : le terme tend à exprimer une perception visuelle et sensitive, sans prétendre refléter exactement une réalité physique. Ce type de vrilles est caractéristique d’un bouleversement musculaire. Il est aisé de l’observer au niveau des membres inférieurs et supérieures, plus difficilement au niveau du tronc et du bassin, plus rarement au niveau de la tête. Elles me paraissent globalement parallèles à la fibre musculaire. Le mouvement de rotation de la vrille suivrait sensiblement le sens de la fibre musculaire, et, vue de l’aura, elle y serait détectable parce qu’elle y serait exagérée. Une certaine dureté musculaire est observable, affectant la mobilité des fascias (muscles, tendons, veines, nerfs, etc.) sur toute leur longueur ou sur une partie seulement. Lorsque le problème est plus ancien (dépend de l’intensité de la force initiale pour crée...

L'aura accidenté

À la suite d'un choc violent (accident de la route, chute, par exemple), j'observe fréquemment une déformation de l'aura dans le sens de l'évitement.  La déformation énergétique n'est pas uniforme, et peut donc amplifier visuellement et mécaniquement des déformations antérieures. Pour se donner une petite idée du type de déformation constaté, il suffit d'observer le pétrissage à la main d'une pâte à pain ; l'aspect des torsions y est tout à fait similaire. D'ailleurs, l'impression  d'être vrillée , est souvent exprimée par les personnes accidentées. Bien sûr, la sensation peut disparaître d'elle-même au bout de quelques mois, mais par expérience, le temps n'efface pas complètement les stigmates de l'accident. Habituellement, les personnes se plaignent plus tard (1, 2, 10 ans après) de douleurs que les massages thérapeutiques réduisent, mais ne font pas disparaître ; de même, l'intervention de l'ostéopathe conduit parfois ...

Résistances au magnétisme curatif

La faculté de tout analyser, tout le temps, montre chez ces personnes une étendue de résistance psychénergétique* aussi palpable que les pensées qui les maîtrisent. Ces personnes sont en général assez intelligentes pour faire en sorte que tout le monde regarde le doigt qui pointe l’arbre qui cache la forêt. J’ai parfois l’impression qu’elles savent très bien ce qui les fait souffrir, mais qu’elles attendent des autres qu’ils le découvrent, comme eux, dans les moindres détails. Les déceptions s'accumulent donc depuis un moment déjà, marqué par un nœud qui présente une douleur intérieur à la fois ancienne et indéfinissable. C’est la raison pour laquelle l’approche énergétique de leur corps subtil est complexe, sans être forcément compliqué. Pour ma part, je n’éprouve aucune difficulté à entrer dans leur univers. C’est un paysage intérieur comme celui de tous les autres, avec ses particularités, ses terrains difficiles et son environnement singulier. Mes mains trouvent facilement les ...

Thot

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Texte mis à jour et complété le 24/03/16 octobre 2010 Il était là depuis 3 ou 4 jours environ. La première fois, il s’était approché très près de mon aura, ce qui m’avait vraiment gêné. Difficile après ça de l'ignorer complètement. Je n’avais rien à craindre, semblait-il me communiquer. Cependant, parce qu’il ne me disait pas ce qu’il voulait, je lui avais imposé une certaine distance, en attendant de décider. Je disposais de tant de détermination que je n'aurai pas hésité à le dégager sans aucun ménagement. C'était une précaution, agressive et puérile, car j'avais connu tant de subterfuges de la part de l'invisible pour me pomper mon énergie que je n'étais plus du tout d'humeur à me laisser faire. Sans rien dire de plus, il s'était éloigné ; mais au lieu de partir, il s'était contenté de rester planté là, à une distance que je situais entre 5 et 6 mètres de moi. Très clairement, il suivait la consigne. C'était un comportement très différent de c...

Objets éthériques non contondants

Il m'arrive de dénicher dans le corps énergétique des formes saillantes parfois responsables de douleurs physiques à cet emplacement. Vue de face, la teinte est un peu plus grise que alentour. Au toucher, je sens quelque chose, une résistance, une texture dure qui s'accroche sous la main, impliquant une légère sensation physique chez la personne, mais sans provoquer obligatoirement de douleur. Vue de côté, une empreinte un peu plus bombée se dessine parfois de façon plu   s ou moins évidente. Pour accéder à son contenu, il est indispensable de bien faire abstraction de son désir d'analyser ce que l'on perçoit. La forme complète ne se distingue vraiment qu'en ajustant son regard vers l'intérieur, autrement la forme reste évasive (pour ma part du moins) ; peut alors apparaître la tige d'une flèche (avec ou sans son empennage, la pointe étant différente selon son époque de fabrication), le manche d'un couteau (la pointe de la lame est souvent le motif de la...

Rêve

C’était une pièce circulaire baignant dans l’obscurité. Des formes cylindriques tournées vers le haut apparaissaient au fond, tout autour ; elles étaient à des hauteurs différentes, sans harmonie particulière. Je devinais leur contour grâce à leur arrête qui semblait rayonner doucement. En levant les yeux, je ne vis aucun plafond, mais la même obscurité : ce noir intense et légèrement lumineux. Il n’y avait pas de sol non plus, ce qui donnait l’impression étrange d’être en lévitation. Bien que statique, mon corps était sans entrave. Le point de vue suivant me précisa que la scène était vue d’une certaine hauteur. En contrebas, il y avait six personnes en cercle, à bonne distance, autour d’un monolithe noir, lisse et légèrement lumineux. Je ne voyais pas leur visage, dissimulé par une capuche. Leur vêtement d’une seule pièce tombait jusqu’à leurs pieds, me permettant de voir qu’ils reposaient tous sur ces cylindres ronds et noirs, surgissant d’un sol invisible. Son diamètre ne permettai...

Le poids sur les épaules

L’invisible qui m’assistait m’avait demandé de me tenir prêt pour un événement situé dans trois jours. J’ignorais tout des détails, mais pour l’essentiel, je savais que je devrais aller en ville et me laisser guider. Je ne connaissais ni l’heure du départ, ni le lieu où il allait me conduire. ”C’est le moment” me dit l’Invisible. Alors, sans me presser, j’ai pris la voiture et atteint un endroit où il était facile de se garer. J’ai remonté la rue Blatin puis la rue Lamartine. C’était un chemin que j’aimais prendre parce qu’il était calme et peu fréquenté par les automobilistes. Arrivé sur la place de Jaude, je me suis arrêté. ”Par où maintenant ?” demandais-je. Aucune réponse. Je balayais du regard la grande place à la recherche d’un signe. Il y avait beaucoup de monde et il faisait chaud comme à son habitude lorsque le soleil pointe ses rayons. Rien. Je fis un tour complet sur moi-même. ”Là” me dit mon guide. Sans m’en rendre vraiment compte, mes yeux s’étaient posés sur la porte d’en...

Le tube metavibratoire

Texte mis à jour le 22 août 2014. La sensation caractéristique d'un apport d'énergie par le 7e chakra débute chez le  néophyte avec une pression homogène sur le dessus du crane, en bol. Cette pression peut être plus ou moins douloureuse, mais elle est le plus souvent ressentie comme une lourdeur. Je ne sais pas ce qui déclenche le signal, mise à part le fait qu'il est toujours en rapport avec l'ouverture de perceptions supra-sensorielles *. La durée de la sensation varie de quelques minutes à plusieurs heures. De façon sensitives, elle prend l'idée d'une connexion qui apparaît au départ très pointue  et sensible en un point très précis au dessus de la boite crânienne . En hochant la tête, la sensation est amplifiée et il est alors possible de découvrir des informations intéressantes sur son énergie et son déplacement dans l'éther. En l'occurrence, certains tubes sont très fins (25/08/14 Le tête de poulpe )  . La sensation peut produire des douleurs cér...

Les mémoires dans l'inflammation

Les douleurs liées à une inflammation dont la manifestation physique est handicapante depuis plusieurs années, a généralement une origine que l'on découvre aisément dans les émotions. L'opération qui consiste à nettoyer ces mémoires n'est pas compliquée en elle-même. Il suffit simplement de restaurer la circulation énergétique qui est rompue en amont et en aval de la blessure. En procédant de cette façon, la douleur disparaît rapidement ; il peut apparaître des résistances sous la forme de douleurs qui s'expriment brusquement à d'autres endroits dans le corps. Tout dépend du nombre d'années que l'individu traîne le problème . Elles évoquaient toujours l'idée d'une difficulté à franchir une étape. À l'évocation de cette étape, tout rentre dans l'ordre ; dans certaines difficultés rencontrées, il a été question de mort  : celle d'un proche, de son père ou de sa mère, de son enfant. De sa propre mort aussi.  Note : L'effet de la thérapi...

Rêve prémonitoire

Trois jours avant le 14 juin 2008, j'ai fait un rêve dans lequel ma femme s'endormait au volant (je dormais profondément sur le siège passager), un camion déboîtait subitement devant nous et nous le percutions par l'arrière sans pouvoir réagir.  Curieusement, il s'est avéré que nous devions assister au mariage d'un cousin à 700 km de là. Ne sachant pas s'il s'agissait d'un rêve prémonitoire, ni s'il coïnciderait avec ce déplacement, j'ai préféré prendre le volant sur la totalité du parcours. Ma femme dormit à l'aller et au retour, chose qui ne lui arrive jamais ; lorsque j'évoquais ce rêve avec elle quelques jours plus tard, elle me dit qu'elle avait été prise d'une envie irrésistible de dormir et qu'elle avait plutôt bien accueillir le fait que je conduise. Pendant le trajet à l'aller, je surveillais attentivement les véhicules venant par l'arrière, je respectais les distances de sécurité et je faisais très attention ...

Dialogue avec l'Invisible

Avant d'expliquer comment leurs interventions peuvent être à notre avantage ou non, il est nécessaire de comprendre que ni leur implication ni leur interaction avec nous est désintéressée - cela ne signifie pas non plus qu'ils le sont tous.  Je ne peux pas dire qu'il est toujours facile de correspondre avec les Invisibles ; il semble d'ailleurs exister au moins deux types de communication : la première sous la forme de messages furtifs à peine différents de notre façon de penser, mais différents quand même puisqu'ils orientent sensiblement nos choix ; la seconde, sous une forme plus directe induite par leur présence. Avec de la patience et suffisamment de détachement, il est possible de différencier leurs messages de nos pensées. Voici comment les aides communiquent avec moi. Pour commencer, leurs communications m'ont souvent fait penser à une manière de répondre à un petit enfant. Cela implique qu'ils savent comment nous prendre dans le sens du poil ; la s...

"Libères-toi"

Je méditais lorsque la voix m'a interpellé ; elle était audible de nouveau dans la journée, sans rien prononcer de plus ou presque. D’autres pensées plus claires semblaient lui répondre, subtilement, me réclamant de ne pas y faire attention, d’être prudent, de l’ignorer, en gros, de ne pas y croire. C’était très difficile de savoir si j'étais l'objet de mes propres pensées (1), ou bien si elles venaient d'ailleurs ; dans un cas comme dans l'autre rien dans la tonalité ne les distinguait de ma propre voix, à part, le désaccord de ces pensées qui me paraissait inhabituel ; la voix se manifestait dans la journée de façon spontanée, souvent quand j'étais au calme ou quand je marchais, par exemple. Elle était plutôt lointaine et sourde comme si elle cherchait à s'affranchir d'un obstacle. Elle insistait doucement comme on procède pour réveiller un enfant : "Libères-toi !" Peu à peu, il me semblait possible de voir son émetteur, mais c'était di...