Toutes les émotions sont palpables
La découverte d'une émotion dense ne pose habituellement aucun problème, car sa polarité agit directement sur le corps subtil en freinant la circulation du fluide énergétique.
La charge d'une émotion est fréquemment reliée au souvenir d'un événement vécu par l'individu. La polarité de cette charge peut en attirer d'autres de même nature au même endroit, mais leur intensité peut être différente. Très souvent même. La nature vibratoire de cette émotion n'est pas la même selon qu'il s'agisse d'un point de vue (croyance, par exemple) ou qu'elle touche le physique (maltraitance, par exemple). Elle ne signifie pas non plus la même chose pour l'individu qui s'y est adapté ou qui n'y est pas parvenu. Son intensité joue le rôle d'une gâchette : elle s'insinue dans la matière si elle est suffisamment importante. Les charges des émotions révèlent en quelque sorte notre perméabilité aux émotions par nos interactions sociales ; une émotion ayant par nature une certaine dynamique : colère, tristesse, rage, frustration, etc.
D'un point de vue physique, ces émotions commencent toujours par s'exprimer sous forme de tensions (musculaire, par exemple) après avoir atteint les couches denses du corps subtils, puis de douleur (osseuse, par exemple) une fois qu'elles ont atteint une densité suffisante. Le corps physique se comporte précisément comme un enregistreur d'événements du quotidien qu'il suffit de savoir toucher physiquement pour comprendre ce qui affecte un individu.
C'est la raison pour laquelle je soutiens que nos émotions présentent une certaine consistance vibratoire et que c'est par leur charge qu'il est possible de les détecter.
Prendre connaissance de la densité d'une émotion n'est pas aisée ; elle demande d'avec une certaine dextérité à détailler et nommer ses propres émotions ; il est alors possible de dissocier chez l'autre, la peur de l'angoisse, la tristesse de la frustration, la colère de l'irritabilité, le désir (sexuel) du plaisir (gratitude), la crainte de la suspicion, les pensées morbides, et tant d'autres émotions.
Il est possible de situer la conscience d'un individu d'après le repère que permet le corps ! À l'intérieur ou à l'extérieur, selon qu'il a besoin de se protéger ou de se libérer de la contrainte du corps. Il est également possible de saisir la conscience d'un individu pour l'amener à percevoir une sensation.
Prenons la peur par exemple. La peur a une densité telle qu'elle se situe en général dans les profondeurs de l'être. S'en saisir n'est pas bien compliqué, parce qu'il est possible de faire remonter son ressenti ; la vibration qu'elle communique au corps et dans la conscience permet aussitôt de comprendre comment l'individu à peur, et aussi pourquoi. Le fait de saisir cette émotion, et de montrer comment l'évacuer hors du corps sans qu'elle fasse mal, conduit l'individu à prendre conscience de sa peur d'une façon rationnelle.
Il semble que la part d'inconnu qui habille le plus souvent la peur, irrationnelle par exemple, disparaît à l'instant où au moins deux personnes l'ont reconnue (en l'occurrence, je crois que c'est la solitude face à sa propre peur qui tend le mental à la repousser loin de soi). Toutefois, la compréhension de la nature, de l'histoire, de l'intensité et de la polarité d'une émotion - quelque soit l'émotion - ne signifie pas que la personne en est libérée définitivement ! Un apaisement s'est manifesté.
Complément :
Lire vos émotions dans votre cerveau
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/science/2013/06/20/001-emotions-lecture-cerveau.shtml
La charge d'une émotion est fréquemment reliée au souvenir d'un événement vécu par l'individu. La polarité de cette charge peut en attirer d'autres de même nature au même endroit, mais leur intensité peut être différente. Très souvent même. La nature vibratoire de cette émotion n'est pas la même selon qu'il s'agisse d'un point de vue (croyance, par exemple) ou qu'elle touche le physique (maltraitance, par exemple). Elle ne signifie pas non plus la même chose pour l'individu qui s'y est adapté ou qui n'y est pas parvenu. Son intensité joue le rôle d'une gâchette : elle s'insinue dans la matière si elle est suffisamment importante. Les charges des émotions révèlent en quelque sorte notre perméabilité aux émotions par nos interactions sociales ; une émotion ayant par nature une certaine dynamique : colère, tristesse, rage, frustration, etc.
D'un point de vue physique, ces émotions commencent toujours par s'exprimer sous forme de tensions (musculaire, par exemple) après avoir atteint les couches denses du corps subtils, puis de douleur (osseuse, par exemple) une fois qu'elles ont atteint une densité suffisante. Le corps physique se comporte précisément comme un enregistreur d'événements du quotidien qu'il suffit de savoir toucher physiquement pour comprendre ce qui affecte un individu.
C'est la raison pour laquelle je soutiens que nos émotions présentent une certaine consistance vibratoire et que c'est par leur charge qu'il est possible de les détecter.
Prendre connaissance de la densité d'une émotion n'est pas aisée ; elle demande d'avec une certaine dextérité à détailler et nommer ses propres émotions ; il est alors possible de dissocier chez l'autre, la peur de l'angoisse, la tristesse de la frustration, la colère de l'irritabilité, le désir (sexuel) du plaisir (gratitude), la crainte de la suspicion, les pensées morbides, et tant d'autres émotions.
Il est possible de situer la conscience d'un individu d'après le repère que permet le corps ! À l'intérieur ou à l'extérieur, selon qu'il a besoin de se protéger ou de se libérer de la contrainte du corps. Il est également possible de saisir la conscience d'un individu pour l'amener à percevoir une sensation.
Prenons la peur par exemple. La peur a une densité telle qu'elle se situe en général dans les profondeurs de l'être. S'en saisir n'est pas bien compliqué, parce qu'il est possible de faire remonter son ressenti ; la vibration qu'elle communique au corps et dans la conscience permet aussitôt de comprendre comment l'individu à peur, et aussi pourquoi. Le fait de saisir cette émotion, et de montrer comment l'évacuer hors du corps sans qu'elle fasse mal, conduit l'individu à prendre conscience de sa peur d'une façon rationnelle.
Il semble que la part d'inconnu qui habille le plus souvent la peur, irrationnelle par exemple, disparaît à l'instant où au moins deux personnes l'ont reconnue (en l'occurrence, je crois que c'est la solitude face à sa propre peur qui tend le mental à la repousser loin de soi). Toutefois, la compréhension de la nature, de l'histoire, de l'intensité et de la polarité d'une émotion - quelque soit l'émotion - ne signifie pas que la personne en est libérée définitivement ! Un apaisement s'est manifesté.
Complément :
Lire vos émotions dans votre cerveau
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/science/2013/06/20/001-emotions-lecture-cerveau.shtml
Commentaires
Enregistrer un commentaire