Vrille énergétique : fibre musculaire
Les vrilles de l’aura au niveau d’un membre sont parfois beaucoup plus difficiles à résoudre que les vrilles au niveau d’une articulation.
Vrille : le terme tend à exprimer une perception visuelle et sensitive, sans prétendre refléter exactement une réalité physique.
Ce type de vrilles est caractéristique d’un bouleversement musculaire. Il est aisé de l’observer au niveau des membres inférieurs et supérieures, plus difficilement au niveau du tronc et du bassin, plus rarement au niveau de la tête. Elles me paraissent globalement parallèles à la fibre musculaire. Le mouvement de rotation de la vrille suivrait sensiblement le sens de la fibre musculaire, et, vue de l’aura, elle y serait détectable parce qu’elle y serait exagérée. Une certaine dureté musculaire est observable, affectant la mobilité des fascias (muscles, tendons, veines, nerfs, etc.) sur toute leur longueur ou sur une partie seulement. Lorsque le problème est plus ancien (dépend de l’intensité de la force initiale pour créer ce e vrille), la perception d’une vrille peut ainsi sauté d’une articulation à l’autre, changer de sens de rotation, se segmenter, s’enfoncer jusqu’au squelette, aller à une extrémité physique et revenir sensiblement au point précédent. La douleur ressentie par les personnes correspond curieusement à ces descriptions perceptives. De surcroît, la douleur dans le membre est la plus vive à l’endroit ou la torsion de l’aura est maximale. Cela ne signifie pas que l’origine du problème se situe là ! Le passage des mains en magnétisant et en suivant pas à pas physiquement la vrille, c’est-à-dire son cheminement d’un bout à l’autre du muscle, conduit à libérer des tensions qui lui ont donné naissance. La progression est précise et ne supporte apparemment aucun écart, sous peine de perdre son cheminement (présence de charges émotivo-statiques*). Par ce e méthode, une sensation de légèreté musculaire et un adoucissement/disparition des tensions sont souvent perçues lorsque la libération est complète. Un rétablissement de la circulation du fluide énergétique y est d’ailleurs perceptible. Tant que cette circulation paraît intuitivement contrariée, le risque de rechute est présent. Malheureusement, les personnes arrêtent de consulter avant d’en venir à bout, car leur douleur ont disparu.
Note : Dans l’idée, ce serait comme effectuer d’une remise à zéro des signaux neurologiques responsables de la désynchronisation des myocytes sollicités (à la suite d’un choc à la fois physique et émotionnel). Complément l’histoire des appareils d’électrostimulation - Stimulation cérébrale profonde Stimulation musculaire électrique (wikipédia)
Commentaires
Enregistrer un commentaire